24/12/2013
Noël 2013...
05:00 Publié dans société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : illuminations, noël, monde, capital, bonnes fêtes, joie, émerveillement, réflexions
23/12/2013
L'utilité de la Fourmi...
Beaucoup de gens ont la répugnance des fourmis, parce qu'ils les jugent inutiles et envahissantes. Il est vrai que les dégâts que ces petits insectes causent sur l’agriculture ne sont plus à démontrer. Toutefois, dans certaines mesures, ces petites bêtes peuvent aussi être utiles et constituer des alliés de l'homme.
Les fourmis assurent la protection de la forêt
Les formica ou fourmis rousses créent leur nid à partir de brindilles dans la forêt. C’est l'une des espèces les plus fortes et les plus redoutables de la forêt. Ce sont de véritables prédateurs pour les insectes, les crustacés, les mollusques, les vers qui vivent dans la forêt. Les études ont montré que plusieurs millions d’animaux invertébrés sont dévorés en une saison par les ouvrières formicas appartenant à une seule colonie. Les fourmis rousses agressent particulièrement les chenilles. Ce faisant, elles assurent la protection de la forêt, plus particulièrement des conifères contre les dévastateurs et les destructeurs comme les chenilles processionnaires. Les grands forestiers savent très bien que la présence de colonies fourmilières donne vie aux forêts. En Allemagne, en 1880, la loi prononce une peine d’amende à celui qui détruit les nids de fourmis de bois. En Italie, les nids de fourmis ont été acheminés par les forestiers vers les régions attaquées par l'invasion des chenilles. Dans certaines propriétés, des personnes sont engagées pour récolter les œufs de fourmis. On les appelle les « fourmilleux ». McCook a aussi rapporté que beaucoup de fourmis fileuses ont été transportées à Canton pour lutter contre l'invasion des chenilles papillons dans les orangeraies. En Afrique et en Amérique, les fourmis nomades n'ayant pas de nids fixes, se déplacent dans la forêt tropicale et ravagent tous les insectes, les petits invertébrés, les rats, les vers. Malheureusement, elles se sont aussi attaquées à l'homme. C’est pour cette raison que les habitants locaux ont dû quitter les lieux le temps de leur passage.
Les fourmis soignent les blessures
En Amérique du sud, les Indiens utilisent les fourmis champignonnistes pour soigner leurs blessures. Ils faisaient mordre leur plaie par des fourmis qui ont une grosse tête et des mandibules. Une fois que les mandibules refermées, ils coupent le corps de la fourmi et se servent de sa tête comme d’une agrafe chirurgicale. On utilise aussi de la même façon les magnans d’Afrique. En Europe, on récupère l’acide formique d’une Formica ou fourmi rousse pour fabriquer des médicaments au XVIII et XIXe siècle. On lui attribuait des vertus soignantes, notamment stimulantes. Cet acide formique était aussi utilisé autrefois par certains oiseaux comme un moyen de se débarrasser des parasites, en pratiquant des bains de fourmi. En Chine, on utilise également la formica pour vivre au-delà des 100 ans.
05:00 Publié dans Nature | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : fourmi, utilité, soigner, blessures, biodiversité, réflexions, médicaments, comprendre, savoir
22/12/2013
Poème du jour...
Rêvé pour l'hiver
L'hiver, nous irons dans un petit wagon rose
Avec des coussins bleus.
Nous serons bien. Un nid de baisers fous repose
Dans chaque coin moelleux.
Tu fermeras l'oeil, pour ne point voir, par la glace,
Grimacer les ombres des soirs,
Ces monstruosités hargneuses, populace
De démons noirs et de loups noirs.
Puis tu te sentiras la joue égratignée...
Un petit baiser, comme une folle araignée,
Te courra par le cou...
Et tu me diras : " Cherche ! " en inclinant la tête,
- Et nous prendrons du temps à trouver cette bête
- Qui voyage beaucoup...
Arthur Rimbaud
05:00 Publié dans Littérature | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : rêvé, hiver, poème, rimbaud, rose, baiser, voyage, poète, réflexions, comprendre, savoir
20/12/2013
Pensée du Jour...
" C'est une grande folie de vouloir être sage tout seul. "
Barouch Spinoza
05:00 Publié dans Philosophie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : spinoza, folie, sage, réflexion, philosophe, philosophie, comprendre, savoir
19/12/2013
Astuces Feng shui... (37)
Les miroirs en tant qu'amplificateurs :
Une disposition astucieuse et l'utilisation des miroirs dans les maisons et les magasins crée un excellent Feng shui. Un grand miroir mural placé sur l'une des parois de la salle à manger et reflétant la nourriture placée sur la table est extrêmement propice, car il "double" les plats reflétés. Pour être bénéfique, le miroir doit être assez grand et ne pas couper "couper" la tête ou les pieds des gens.
Les miroirs reflètent parfaitement les symboles fastes, les jardins, les paysages. L'image d'un cours d'eau extérieur renvoyée dans la maison grâce à un miroir a un effet très faste, apportant la richesse.
(Extrait de "365 astuces Feng shui" de Lillian Too - Guy Trédaniel éditeur - 2006)
à suivre...
05:00 Publié dans Santé | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : feng shui, bien-être, miroir, richesse, emplacement, énergies, réflexions, comprendre, savoir, amplificateur
18/12/2013
Chemins & Dialogues... (6)
Chemin… (7)
Mon corps tout entier aspire longuement à se créer en ingérant toutes les pulsations possibles. Sa capacité à se mouvoir par des pensées claires venues à lui et à son esprit, par toutes les activités dans une métamorphose agréable au cortex. Des milliers de luminosités captives libéreront par la simple contraction de celui-ci à respirer et à inspirer les suggestions les plus dynamiques à ses cellules. De là se régénéreront de nouvelles cellules, grâce à l’effort du corps pour assimiler les idées parcourant les neurones du cerveau jusqu’à l’intégralité de l’organisme. La conscience apparaîtra utile à cette réalisation avec le soutien de l’inconscient dans une sorte d’émulation collective d’elles-mêmes ; de cette alchimie méditative tout à l’intérieur de l’être se considéra comme transformer par cette seule expérience positive du corps et de l’esprit.
&
Dialogue… (7)
Adopter toutes les respirations utiles, au fonctionnement du corps par des solutions mentales. Absorber toutes les pensées sonores et lumineuses afin que tout s’harmonise dans l’intégralité de l’organisme, par-delà les efforts à accomplir. De façon que de nouvelles cellules intègrent toutes les informations concevables pour l’amélioration du corps et de l’esprit ! Pour que l’inconscient réclame à la conscience comment créer à l’intérieur de l’être une osmose tranquille pour une vie inédite ? Par le positif, atteindre cet idéal, comme référence de l’intelligence en action, de cette pratique immuable viendront se greffer d’autres possibilités merveilleuses que nous réserve notre anatomie.
(Pensées et Réflexions inédites de Pôl Kraly in "Chemins & Dialogues" - à paraître)
à suivre...
05:00 Publié dans Littérature | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : kraly, écrivain, philosophie, pensées, réflexions, dialogue, chemin, textes, inédits, comprendre, savoir
17/12/2013
Textes pour grandir... (2)
L’HOMME SANS COSTUME
L’homme est pour une grande part, absent de lui-même, de cette révélation qui le met en cause ; voilà la raison simple ou sotte de se vouloir se grandir. En même temps qu’il essaie de paraître de lui-même par la pensée, l’homme s’habitue à lui-même. De son désir d’être celui qui fait homme, de porter l’habit qu’il se doit d’enfiler pour montrer à tous qu’il est bien habillé. « Des petits jeux de lumière tournaient avec agilité autour de sa tête en des chercheuses de poux, pour se trouver un sens, il demeurait l’homme sans costume ». Alors intervient le vrai bon sens de sa conscience ; de celle qui le détermine à se vêtir lui-même cet humain et par-delà même de se croire nu, que cache-t-il ? Ce que le monde lui offrait, c’est-à-dire d’être un homme civilisé, l’homme ne se sentit pas ses os à travers cet habit qui n’était pas fait pour lui. Être de ces hommes dont la nudité n’est pas un tabou aux yeux des autres où craindre que « l’habit ne fait pas le moine » selon l’usage que l’on veut bien donner à l’homme qui se voit nu. Chercher alors dans la conscience le vêtement que son inconscience ne veut pas qu’il porte n’est pas à la portée du dernier venu. Une longue étude poussa des savants émérites à savoir la raison de ce désir de ne pas se vêtir. De ne pas comprendre cette pudique chose d’être en somme habillé comme les gens dits « normaux ». Ainsi les consciences se veulent en conformité dès lors qu’elles se reconnaissent avec l’ensemble des êtres vêtus. Que penser de cet homme dont la nudité se situe dans son inconscience, sa conscience le rend-il aveugle ? Pourquoi ce message partant de son inconscience n’est-il pas arrivé à sa conscience, alors ? Je vous réponds simplement que son habit est resté dans son inconscience parce que l’homme en question se croyait habillé. Que faut-il alors que vous pensiez de cette petite histoire dont je vous narre la plus confidentielle intrigue ? Je vous en délivre, enfin, l’épilogue : le vêtement n’est pas d’usage à être porté, si on le porte c’est que la décence nous dit de le porter. C’est alors qu’intervient la conscience et l’on doit comprendre que notre attitude doit tenir de ce que nous dit cette seule vérité dans la subjectivité la plus concrète, l’habit se porte sans le pouvoir d’analyse qu’il est sur nous ce vêtement fait de chair et d’os.
(Texte inédit de Pôl Kraly sur "Ce que la conscience à nous dire de l'homme sans costume")
15:16 Publié dans Littérature | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : kraly, conscience, inconscience, sans costume, philosophique, texte, inédit, écrivain, réflexion, comprendre, savoir