Allez les yeux invisibles vers le beau.

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01/10/2012

Poème du jour...

images-2.jpegLa libération naturelle de nos actes se mesure à la différence de nos émotions, dans un effet de sagesse, notre esprit agit et visualise les schémas pratiques de nos pensées. C’est alors que l’éveil de notre conscience en établit la route à suivre. Dès lors, une liberté naturelle des sensations se développe, s’accomplit dans l’abandon total à voir notre moi profond comme une énergie positive à notre envie de voir la vie se créer. Lucidité et cohérence sont les mots qu’il faut retenir dans l’épanouissement de notre moi en adéquation avec notre corps. Ainsi l’existence produit clairement à notre route le chemin à suivre. Lorsque l’air se raréfie, il faut alors prolonger son souffle vers le divin comme une bonne récompense qu’offrent les actes régénérants de l’indicible feu qui couve la moiteur de l’air que tu respires. Insufflons alors le processus de la vie à nos vérités profondes comme : la naissance de la lumière au sein d’une communauté d’êtres en avance sur son temps. L’identité de ceux-là sera le garant de vies épanouissantes pour un autre monde, fait d’amour et de liberté. Une pureté primordiale viendra accueillir ses nouveaux maîtres du monde dans un message clair et scintillant. Renaissance de tous les peuples dans le dévouement spirituel et naturellement lumineux, comme l’apothéose de ce que j’appelle : l’intime lumière des heureux.

 

(Inédit de Pôl Kraly " Chemins escarpés" - à paraître aux Ed. "Pays d'herbes")

06/09/2012

Pensée du Jour...

L'idéal de la vie

n'est pas l'espoir

de devenir parfait,

c'est la volonté

d'être toujours

meilleur.

 

(Ralph Waldo Emerson - Philosophe & Poète américain)

15/08/2012

Chemins escarpés... (7)

 

J’erre dans le cycle des existences, et d’une violente colère naît l’écoute d’un corps de plénitude et de vie. La voie se veut royale et distante, être dans cette voie te rapproche de l’essentiel de ce qui demeure en toi comme une force vitale. Ta présence intrinsèque et comme une présence éveillée qui fait naître au-dessus de certaines têtes la lumière de l’âme. Corps d’Eveillés au sein de l’espace lumineux et éternel. Une porte s’ouvre vers la dévotion de l’esprit, abandonne cette propension, ne t’y attache pas, n’y adhère pas, soit la confiance de l’éclatante splendeur qu’elle suscite. Je t’invite à suivre la lumière jaune de l’ampoule qui conjointement épouse ton âme propre à l’âme de ce monde. Les représentations mentales de ton cerveau sont exposées à la détermination de l’esprit, et vers ce fleuve… Tu dois aller pour te ressourcer, pour t’abreuver… Un langage universel est à naître sous l’impulsion authentique de ton cœur et ton esprit, prépare-toi à divulguer ce langage, de toute façon il viendra naturellement à la parole simultanément. À ce moment-là, sous l’emprise d’une force réelle, l’universel langage éveillera pleinement ton esprit à une plénitude sereine. Les visions pures et les sagesses se feront semblables à ce que tu es, un roi !


(Poème de Pôl kraly - inédit extrait de "Chemins escarpés" - à paraître)

03/08/2012

Eveil à la conscience...

Consciences éveillez-vous !

 

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12/07/2012

Poème du jour...

Ici, il ouvre sa bouche blanche. Là, il se défend sur toute la ligne, avec ces arbres retranchés, ces êtres noirs. Là encore, il prend la forme lourde et chaude de la fatigue, comme des membres de terre écorchés par une charrue.

Je m'arrête au bord de mon souffle, comme d'une porte, pour écouter son cri.

Ici, dehors, il y a sur nous une main, un océan lourd ert froid, comme si on accompagnait les pierres.

 

(Poème de André du Bouchet - " Le Moteur Blanc" -Ed. Galimard - 1961)

02/07/2012

Le temps qui reste...

28/06/2012

Poème du jour...

LE CANCRE

 

Il dit non avec la tête

mais il dit oui avec le coeur

il dit oui à ce qu'il aime

il dit non au professeur

il est debout

on le questionne

et tous les problèmes sont posés

soudain le fou rire le prend

et il efface tout

les chiffres et les mots

les dates et les noms

les phrases et les pièges

et malgré les menace du maître

sous les huées des enfants prodiges

avec des craies de toutes les couleurs

sur le tableau noir du malheur

il dessine le visage du bonheur.

 

(Poème de Jacques Prévert - "Paroles" - Ed. Gallimard - 1972)