Allez les yeux invisibles vers le beau.

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17/02/2015

Sagesse de la Conscience... (9)

L’ÉTERNITÉ A LA PLACE DU TEMPS

 

Prose,philosophique,spirituelle,kraly,écrivain,éternité,temps,poésie,réflexions,comprendre,savoir,connaîtreDe la perception du temps, il ne reste que le prélude d’un soleil qui se lève dans le cœur des humains. Sachez que toute conduite en rapport avec cet organe palpitant qui bat à l’intérieur de nous, amène à des heures fortes pour demain. Il faut comprendre que les aubes se veulent la promesse de jours meilleurs, et qu’ainsi elles nettoient le ciel au-dessus de nos têtes. L’astre lumineux, lui, caresse de ses rayons la beauté des consciences qui s’éveillent. On peut ainsi dire que la rosée du matin existe pour nous rassurer, et qu’elle se transforme en une énergie communicative qui dégage des ondes positives dans l’atmosphère et même au-delà. Ces vibrations pénètrent les pores de notre peau, pour nourrir nos cellules et donner à notre sang un éclat encore plus pur. De la sorte, nos cerveaux entrent en relation avec l’univers et se connectent au monde. Le temps en devient, alors, comme figé, il n’a plus de sens, et ne possède plus ces heures qui s’écoulent ; il siège maintenant aux confins du cosmos où celles-ci se comptent comme inutiles, nous sommes parvenus à l’éternité !

 

 

(Prose philosophique & Spirituelle inédite in "Sagesse de la Conscience" de Pôl Kraly - à paraître) 

 

à suivre...

15/01/2015

Sagesse de la Conscience... (8)

images-4.jpegPRÈS DE L’ÉTOILE RIEUSE

 

Il s’agira là de pouvoir demeurer lumineux près de l’étoile rieuse, car avec la flore qui s’étalera autour de nous, cela éveillera nos âmes aux entités de la vie. Du cosmos, des milliers de corps célestes déverseront leurs sourires sur le monde pour plus d’amour, que devrons-nous en penser. Que cela sera le signal fort qui se composera à nos oreilles par ce chant mélodieux de l’euphonie gracieux que nous percevrons dans un son à peine sensible, mais qui nous parviendra. Ainsi s’illustrera la meilleure façon d’avancer dans nos consciences et de vivre par rapport à cela, l’heureuse issue en constituera un nouveau jardin à cultiver pour nous tous. On pourra confier à nos cœurs la juste mise en place de cette harmonie afin que cela irrigue nos cellules et purifie notre sang. Il y a de la grandeur à attendre dans nos cerveaux pour que tout cela brille dans tous les systèmes rattachés à celui-ci. Notre connaissance s’en trouvera fortement évoluée et nos pensées apparaîtront claires comme les fontaines qui jaillissent par delà la planète. L’univers s’ouvrira à nous dans sa démesure et nous pourrons voyager par la télépathie vers d’autres civilisations.

 

(Prose philosophique et spirituelle inédite de Pôl Kraly in "Sagesse de la Conscience" - à paraître)

 

à suivre...

05/12/2014

Sagesse de la Conscience... (6)

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LE BAISER DU MATIN

 

Une silhouette solitaire agrippée à l'âme s’envola vers le ciel, elle murmura ce nom : « Pensée »... et alors apparut la destinée blanche de la conscience. Celle-ci demeura étincelante jusqu’à l’aurore, car elle s’était levée à l’aube, ignorant au passage tous les côtés du talus du chemin qu’elle avait emprunté, plaisant et épanouissant. Il nous faudra chercher dans sa démarche ailée, la beauté évanescente de sa grandeur ; lumineuse, elle réveilla le jour. La prophétie qu’elle promène influence cette vie de son souffle serein et admirable. Elle embrase les parfums des champs qui se trouvent dans ses pas, dont de multiples idées foisonnent dans le vent et caressent ses joues roses. Le saviez-vous : l’esprit demeure son plus puissant ami, il nourrit en lui de fortes pensées positives qui s’émerveillent à chaque embarquement pour l’amour. Cherchez ce que cette chose produira de fleurissant à l’âme et vous comprendrez le pourquoi de tant de joies dans ce monde ; venez nous retrouver dans ce paradis bleuté, il y a des sentiments à entendre. Mais mon cœur grandit sous les assauts du bonheur, il nous faut en préparer le nid, les oiseaux piaillent déjà.

 

(Prose philosophique et spirituelle inédite de Pôl Kraly in "Sagesse de la Conscience" - à paraître)

 

à suivre...

04/11/2014

Sagesse de la Conscience... (5)

prose,philosophique,spirituelle,inédite,kraly,écrivain,poète,réflexions,savoir,comprendre,connaître, à paraître,sagesse,conscienceUN FRISSON DE BIEN-ÊTRE A VENIR

 

Il s’agit d’aller vers la beauté d’une étoile à travers les grands arbres. Au foyer de cette forêt vivent et dorment les âmes, douillettement. Les esprits siègent en intelligence pour évoquer et revendiquer le droit de se sentir parmi elles, ils veulent que tout se mette en place dans les comportements des hommes. Par cette sensation d’attente viendra à émerger une fusion nécessaire, un entrelacement prodigieux entre ces deux entités par ce chant, qui a pour nom « euphonie », et qui nous arrivera. De ces choses que le ciel prépare à cet événement, un feu d’artifice magnifique enchantera une aube nouvelle aux yeux de tous. La lumière du soleil se voudra chaleureuse à chacun et enfantera sur la planète une nature reconstituée, belle et étincelante. Par la dignité et l’altruisme, nous apprendrons à aimer l’autre, l’univers enverra des messages de galaxies lointaines. La douceur d’une communication par télépathie gagnera nos oreilles, l’heure aura sonné pour que nous sachions vivre heureux. Il faudra parvenir à enseigner cette langue originale qui s’imposera à notre compréhension dans une harmonie parfaite et érudite. La vie apparaîtra comme le renouveau d’une existence réinventée où la clairvoyance et la connaissance parfumeront nos cœurs en émois !

 

(Prose philosophique & spirituelle inédite de Pôl Kraly in "Sagesse de la Conscience" - à paraître)

 

à suivre...

24/10/2014

Sagesse de la Conscience... (4)

COMME SUR UN NUAGE

 

nuage,prose,philosophique,spirituelle,kraly,écrivain,pensée,réflexions,savoir,comprendre,connaîtreIl était évident que du haut de mon nuage je voyais le travail de la fourmi qui s’agitait dans tous les sens pour trouver son chemin. Je voyais, aussi, le point central de la planète, un espace de verdure où s’enlaçaient la vie et les humains. Baignés par le soleil qui de sa généreuse lumière caressait affectueusement leur nid douillet où ils reposaient. Pas un brin de vent ne les distrayait de leur activité amoureuse. Ils vivaient là sans ombrage et sans peur, ils avaient compris qu’ils étaient fortement attachés à l’un et à l’autre, chaleureusement ils devenaient altruistes et aimaient mère Nature. Des soleils désormais viendront à naître dans le ciel qui les préservait au chaud, cajoleurs de leur amour. Moi, du haut de mon nuage, je voyais cela et le cœur heureux, maintenant, je savais ce qui les unissait, je descendrais de mon nuage que lorsque la pluie tombera. Comme par magie, elle aura fait fondre mon nuage. Ainsi, tout l’univers se redessinera parfaitement à la mine d’un crayon créateur, et l’on comprendra, facilement, que la vie et l’humain sont liés au cosmos par les lois tangibles de l’amour et de la connaissance. Que l’on ne pouvait pas séparer ces deux entités qui se composaient pour s’entendre ! Car ils auront reçu du lointain de l’univers le chant doux et mélodieux de ce que j’appelle « euphonie. » Et de cela, de multiples chemins s’ouvriront sous leurs pas, la vie constituera un chemin ; l’amour trouvera, lui aussi, le sien et l’humain avancera pour rassembler les cœurs profonds par les consciences retrouvées.

 

(Prose philosophique et spirituelle inédite de Pôl Kraly in "Sagesse de la Conscience" - à paraître)

 

à suivre...

02/10/2014

Sagesse de la Conscience... (3)

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LE RÊVEUR DE LA VIE

 

 

L’être est vraiment en possession d’établir la route vers où il doit aller au-delà des dédales, il éclaire sa route par sa lumière intérieure. La ville n’est pas trop loin à ses pieds de géant, il joue en se déplaçant à se cacher du soleil à travers les platanes. Seigneur de beauté, il ramène en lui tous les parfums des prés qui l’entoure, rêveur, il ne se soucie pas du temps. Marcheur infatigable, la vie s’ouvre à lui, alors dans sa tête il cherche à s’expliquer le monde. Il découvre que le cosmos qu’il regarde renferme sa naissance, que les étoiles sont ses amies, que les planètes tournent autour de lui pour mieux l’attirer à elles. Il comprend, aussi, que du fin fond du big-bang il a sa réponse à son existence, qu’il ne mesure pas encore la chance de vivre et de marcher inlassablement. Que son univers à lui se compose de son cosmos personnel lié à celui du grand espace, où admirateur, il contemple avec émerveillement sa place. Il pense qu’il est confortable de vouloir être celui qui est connecté à cet ensemble magnifique en symbiose avec les arbres, les fleurs des champs, les animaux qui se promènent et le soleil là-haut qui lui envoie ses rayons pour plus d’amour ! Il comprend que son chemin est interminable pour aller à la ville, mais aussi qui est long pour voyager dans l’espace ? Par son cœur, il ressent cela avec joie, et il égrène de son parcours de chants sereins ; le nez dans les nuages il respire le temps, la vie et la douce monotonie des jours. Il sait maintenant que l’existence se compose de ce qu’il est pour que ses cellules, ses neurones, son organisme répondent par enchantement à son humeur. Que la vie éternelle se renouvelle magnifiquement selon ses désirs et grâce à son optimiste, qu’il faut être le plus en concordance avec ce que nous sommes, avec ce qui le constitue. Il a compris tout cela, présentement il peut marcher sans peur sur ses chemins existants.

 

 

(Prose philosophique et spirituelle inédite de Pôl Kraly in "Sagesse de la conscience - à paraître) 

 

à suivre...

04/09/2014

Sagesse de la Conscience... (1)

 

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LES EXIGENCES DE L’AUBE

 

Il y a à acquérir des heures fortes qui submergent la transition de l’aube au jour. Formaliser de la puissance de celle-ci pour qu’elle se hisse au-dessus des nuages le moment venu. Que pouvons-nous penser de cette injonction au temps,  notre être la perçoit-il toujours ? Pouvoir obtenir une cognition discrète susceptible de s’élever dans ce laps de temps issu de cet instant. Cherchons à comprendre le pourquoi de cet éveil soudain au soleil, au jour, à l’heure, ou alors à la minute. Dans tout réveil, il y a une fraction de seconde où l’aube se lève. Ce que notre corps a du mal à concevoir, c'est sa relation au matin, et pendant ce temps, celui-ci parvient à s’ouvrir au monde. Penser que toute lueur apparaît prédisposée à voir dans une fleur, un animal, une pierre à ressentir les premières chaleurs des rayons de l’astre du jour. La métamorphose de ce macrocosme se met en place pour une nouvelle journée, qui orchestrera son cycle. Ce que certains êtres ne sauront pas expliquer, c'est le renouvellement immuable qui s’établit de façon naturelle sur vingt-quatre heures et qui prédispose à ce que les humains en comprennent les lois. Il y a les saisons qui ont une fréquence que la rotation de la Terre entraîne vers l’exigence d’elle-même, dont nos yeux ne conçoivent même pas la réalité. Si ceux-ci ne captent pas ces changements, les individus que nous sommes ne verront pas les influences néfastes qui sur le métabolisme de chaque être agiront en conséquence. Il nous faut recevoir l’intensité de la lumière de chaque période pour évaluer le degré d’influence dans tout notre organisme, obtenir cette lueur diaphane ne peut que nous donner le rythme ancestral de l’univers lié au cosmos. Tout resplendit dans nos têtes à condition que notre esprit soit en osmose avec les éléments de la nature. Utiliser son cerveau pour connaître la saveur de ces composants et nous saisirons le système de base de toutes choses.

 

 (Prose philosophique & spirituelle inédite de Pôl Kraly in "Sagesse de la Conscience" - à paraître)