05/02/2015
Réveil en douceur...
05:00 Publié dans Nature | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : méditation, nature, amour, vie, planète, bien être, détente, douceur, réveil, réflexion, comprendre, savoir, connaître
02/02/2015
Le Miracle de la Pleine Conscience... (16)
Mesurer et suivre sa respiration :
Dans les sessions de méditation que j'organise pour les non-Vietnamiens, je suggère habituellement différentes méthodes très simples que j'ai déjà essayées. Pour les débutants, je propose parfois la méthode qui consiste à suivre la longueur de sa respiration. J'invite une personne à s'allonger par terre sur le dos. Puis je demande alors à tous les participants de l'entourer et de l'observer pour que je puisse mettre en évidence ce qui se passe quand on respire :
Bien qu'inspiration et expiration soient le travail des poumons et se produisent dans la région du thorax, la région de l'abdomen joue aussi un certain rôle. L'abdomen s'élève lorsque les poumons se remplissent. Au début de l'inspiration, l'abdomen ressort et, aux deux tiers de celle-ci, il commence à s'abaisser. Ce qui explique ce fonctionnement est l'existence d'une membrane musculaire séparant le thorax de l'abdomen : le diaphragme. Lorsque vous inspirez correctement, l'air remplit d'abord la partie inférieure des poumons, puis la partie supérieure ; le diaphragme pousse donc vers le bas, ce qui ressortir l'abdomen. lorsque l'air remplit le haut des poumons, la poitrine se gonfle et l'abdomen s'abaisse.
C'est la raison pour laquelle les gens disaient autrefois que la respiration commençait au nombril et se terminait aux narines.
(Extrait de "Le Miracle de la Pleine Conscience" de Thich Nhat Hanh - Ed. "J'ai Lu" - 1994)
à suivre...
05:00 Publié dans Littérature | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : respiration, expiration, poumon, abdomen, thorax, pleine conscience, miracle, bien être, détente, réflexion, comprendre, savoir, connaître
30/01/2015
Zapping...
05:00 Publié dans société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : zapping, vie, planète, monde, réflexion, comprendre, connaître, savoir
29/01/2015
La Pensée positive... (1)
Positivez ! A l'heure où on ne parle que de crise et de catastrophes en tous genres, cet appel à l'optimisme peut sembler paradoxal. Et pourtant ! En ces temps difficiles, nous avons justement besoin de penser positivement afin d'envisager l'avenir sous un meilleur jour.
Bonne nouvelle : la pensée positive est possible, même dans les conditions les plus défavorables. Il s'agit ni plus ni moins de changer d'attitude, de point de vue sur soi-même, sur les autres et sur les événements.
- Comment agit la pensée positive ?
- Pourquoi la pensée positive rend plus heureux ?
- Quels sont les obstacles à la pensée positive ?
- Comment penser et communiquer de manière optimiste ?
(Extrait de "La Pensée Positive" de Elke Nümberger - Ed; "Ecolibris - 2014)
Nous allons voir dans cette nouvelle rubrique toutes les étapes pour parvenir à une Pensée Positive.
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27/01/2015
Le droit de l'environnement...
05:00 Publié dans société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : société, planète, droit, conférence, huglo, environnement, géographie, réflexion, comprendre, connaître, enjeux
26/01/2015
Ce que doivent être les choses... (Chapitre 1)
Paris, octobre 2031.
1
Le jour de ma rencontre avec Nyad et Lian, j’étais en compagnie de Prat, mon meilleur ami. Mon nom est Lôl. Après avoir été comédien — à l’époque je l’appelais « l’artiste ambulant » — Prat était devenu peintre mural. Il peignait des anges à la perfection, on le demandait pour cela. Nous vivions en communauté d’artistes sous un même toit. Prat et moi étions les plus âgés, j’abordais mes 78 ans et lui, ses 79 ans. Je travaillais encore pour notre contribution à la solidarité, j’avais abandonné l’écriture de romans pour devenir écrivain public. La société nous imposait un travail pour que nous soyons acceptés. Toutes les personnes se devaient d’exercer un métier d’entraide, peu importait l’âge. Nous étions sur le parvis de la basilique du Sacré-Cœur où Prat avait, à l’intérieur, peint des chérubins, lorsque nous vîmes, devant nous, deux anges, sorte d’apparition, se tenir par la main. Il ne suffisait donc pas de voir des anges dans une église, il y en avait aussi à l’extérieur ! Cette image restera gravée longtemps dans ma mémoire, car peu habituelle en 2031. Tout comme il était prudent, de nos jours, de cacher notre supposé athéisme, surtout pour moi, — la suite vous en révèlera l’extraordinaire — car on ne plaisantait pas avec cela, tout signe ostentatoire était mal vu, comme le fait de se tenir la main par exemple. C’était l’un des nombreux paradoxes de notre époque.
Lian vint vers nous et m’accosta :
— Je vous connais.
— Vous me connaissez ?, répondis-je.
— Oui, j’ai lu l’un de vos livres, Loémé, dans lequel vous parliez des « Éveilleurs de conscience ».
— Mon premier livre, effectivement. Mais comment se fait-il que vous me connaissiez, j’ai arrêté d’écrire depuis plus de vingt ans, on ne parle plus de moi nulle part.
— J’ai communiqué par l’esprit, me répondit-il, un sourire aux lèvres.
Effectivement, de nos jours, beaucoup des gens de la ville s’exprimaient par la pensée, il y avait même des professeurs pour cela qu’on appelait, en souriant, « les grands communicants ». Mais de nombreuses personnes, tel Lian, s’imposaient cette « gymnastique » toute cérébrale en groupe ou individuellement.
– Il me suffit, poursuivit-il, d’avoir lu un livre de vous pour que je puisse communiquer avec votre pensée. Mais la vôtre n’est peut-être pas réceptive, dit-il, non sans quelque audace.
J’avais depuis longtemps abandonné l’idée de fonctionner par télépathie, l’exercice n’était plus de mon âge. Le dialogue n’était pour certains qu’un complément, une précision de la pensée, un substitut ; pour d’autres, il n’y avait que le langage, à l’irréversibilité rassurante. On se méfiait de ceux qui ne juraient que par la télépathie. « Les Penseurs », comme on s’amusait à les appeler, étaient des gens doués capables de s’adapter à ce monde mieux que nous. Ces êtres d’intelligence certaine avaient un sens du raisonnement, un esprit agile et perspicace propre aux personnes très influentes.
— Que vous reste-t-il de cette lecture ?, me permis-je d’avancer.
— Mon éducation, répondit-il. Il poursuivit :
— Je vais vous présenter Nyad.
Celle-ci, d’un pas gracieux, s’avança d’emblée vers nous, j’étais conquis par cette jeune fille à la peau métissée ; Prat aussi était sous son charme.
Ses premiers mots, qu’elle prononça en nous tendant la main, semblèrent venir d’une autre planète :
— Je parviens à recevoir de belles ondes de vous.
Prat renchérit :
— Qu’est-ce que vous entendez par belles ondes ?
— Vos ondes de naissance.
— Ondes de naissance ?, dis-je sans comprendre.
Dans un langage magnifique, elle spécifia :
— Celles qui, en ce moment précis, vous transportent près de nous.
— J’avoue ne pas comprendre…
Le doigt sur les lèvres, elle ajouta :
— Vos ondes de naissance, qui sont les mêmes que celles de Lian et moi, se cristalliseront dans le temps. Vous comprendrez un jour.
Il y avait des êtres dont l’intelligence était étonnante. Prat et moi étions sous le charme de ces deux consciences élevées. S’adressant à nous, Lian précisa :
— Nos chemins sont liés, on se reverra.
Ils nous saluèrent, affichèrent dans le même temps un sourire magnifique, puis nous quittèrent. Deux chérubins s’envolèrent devant nos yeux ébahis. Prat devint un autre homme, tandis qu’un long frisson extrasensoriel me traversait le corps et gagnait mon cerveau. Nous restâmes quelques minutes sans voix, essayant de nous remettre de nos émotions.
Nous montâmes dans le« Flyingworld », un bus propulsé par l’énergie du vent. Depuis quelques années, déjà, les ingénieurs avaient réussi à mettre au point ce bus révolutionnaire, qui se déplaçait avec ce procédé et qui avait remplacé le tramway et voitures. Il existait encore de petits taxis — sorte de véhicules —, qui fonctionnaient avec la même énergie, mais de capacité d’accueil très restreinte. Depuis l’année 2025, « l’automobile », comme on la désignait à cette époque, n’appartenait plus à ce monde et ne faisait plus rêver. Paris était devenue une mégalopole dont le trafic arrivait à saturation. Vivaient là des gens de toutes origines et l’on y parlait souvent en anglais. La langue française n’avait pas perdu de son éclat ; c’était la deuxième à être distinguée dans le pays aux frontières éclatées. Des pourfendeurs de la langue des anciens Gaulois, assez nombreux cependant dans la capitale, s’exprimaient en français enrichi de mots à la consonance bien particulière, à la fois mélange d’anglais et de français, mais aussi d’autres langages. Lian qui venait de la province du « Hunan », avait fait de courts séjours dans plusieurs pays et il vivait à présent en France ; il était chinois, était très doué en informatique et avait acquis de nombreux pouvoirs surnaturels. Nyad, tout aussi puissante, était née en Afrique du Sud. Cela faisait six mois qu’ils vivaient à Paris. Je sus cela lors de notre deuxième rencontre que l’on fit le lendemain, assis sur l’herbe autour d’un bon repas, ce que Lian m’avoua, en toute amitié.
Nous arrivâmes devant « L’Aigle déchu », notre résidence. Prat et moi occupions la même chambre et la partagions avec une ancienne star de cinéma venue d’Allemagne. Avia Mankoff était beaucoup plus jeune que nous et approchait des 68 ans, elle avait tourné avec les plus grands. La plupart des films, aujourd’hui, étaient des documentaires spécialisés sur le comportement des êtres vivants, dans des milieux aux conditions biotiques. Nous gagnâmes notre chambre, Avia était nue devant le miroir, comme souvent. Elle se réfugiait dans le passé et le souvenir de sa jeunesse, époque où elle était adulée sous les flashes des photographes de la « presse people »,bien réduite de nos jours. Elle avait connu de multiples amants, tous richissimes, et ne vivait que dans le souvenir d’un bonheur fané, révolu. À la demande de Prat, toujours habile dans ce genre de situation, Avia se rhabilla. L’heure du dîner sonna, et nous descendîmes dans la cuisine. Nous nous installâmes à la grande table commune, où nous étions dix-huit. Le repas était assuré par deux personnes, Gylie, la plus âgée, et la jeune Lyane, qui n’avait pas vingt ans. Celle-ci était très sensible, d’une gentillesse extrême et d’une santé délicate. Cette jeune femme n’avait pas de parents légitimes et nous arrivait d’Alger. Elle était aux petits soins pour nous. Tout le monde la prenait en pitié et l’aimait. Même le gros Grato Samsor, ancien sculpteur, très bourru et parfois méchant, l’épargnait. On ne lui connaissait aucune relation avec des garçons de son âge, elle sortait très peu de l’enceinte de la résidence.
Ce jour-là, au dîner, la cuisine française était pour une fois à l’honneur, sous la forme d’un bœuf bourguignon cuisiné avec de la viande de synthèse. Ce plat tout à fait classique était cependant très rare à notre époque, car la nourriture, s’étant diversifiée, était devenue équilibrée. On arrivait à produire une gastronomie saine où tout était calculé, les consommateurs privilégiaient une nourriture cosmopolite, variée, dosée selon sa valeur nutritive et enrichie en apports caloriques et bioénergétiques.
Régulièrement, avant de m’endormir je lisais. Les auteurs étaient pleins de talents, d’une intelligence, d’une imagination débordante. Le contenu de ces lectures était si riche qu’il me guidait dans une certaine ligne de conduite. Dans les écoles, la façon de voir de ces stylistes était analysée, pour voir comment cela était enseigné, décrypté ; ces écrivains décrivaient le monde d’alors, réel et positif. Par leurs histoires, ils illustraient pour leurs lecteurs un monde d’images d’une telle force qu’il avait relégué le cinéma au second plan. Je me laissais captiver par lecture du livre électronique d’un jeune romancier allemand du nom de Léor Brogel un ouvrage au titre intrigant : Yris et devenir un autre.
(Extrait de "Ce que doivent être les choses" de Pôl Kraly - à paraître)
05:00 Publié dans Littérature | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : kraly, livre, manuscrit, écrivain, conscience, roman, chapitre 1, extrait, à paraître, réflexion, comprendre, savoir, connaître
25/01/2015
Le niveau vibratoire de la terre...
Le Niveau vibratoire de notre planète change grâce à l’influence cosmique.
Le bombardement constant de notre soleil et des différentes constellations aide notre système solaire à augmenter sont états vibratoire. Ainsi la terre bénéficie de ses rayonnements qui lui permettent d’évoluer.
A chaque nouvelle lune et pleine lune la terre et la mer absorbent aussi de nouvelles énergies qui augmentera l’état vibratoire de notre planète.
La terre reçoit ses énergies grâce à ses vortex ou chakras situé tout autour du globe qui lui permettent de recueillir des énergies subtiles comme l’être humain (voir les chakras planétaire de robert coon)
Le niveau vibratoire de la Terre augmente ainsi que l'indique l'évolution de son champ magnétique (résonance de Schumann). Ceci entraine un changement positif de nos mentalités : plus de compassion, de partage et de compréhension. Quand ce changement aura-t-il lieu ? Nul ne le sait, mais en attendant, nous devons nous adapter à ces énergies plus élevées.
Notre Univers n’est constitué que d’énergie. La matière elle-même ne serait que de l’énergie concentrée qui vibre, qui bouge, qui change et qui se transforme. Au fil du temps, l’Univers a évolué inéluctablement. Les particules ont donné naissance aux atomes qui se sont à leur tour regroupés pour aboutir à des molécules de plus en plus complexes et élaborées à l’image des protéines qui constituent notre organisme.
Ainsi depuis toujours l’Univers a évolué du simple vers le complexe, mais aussi vers la conscience, de plus en plus de conscience. Ceci n’a été possible que grâce à une augmentation progressive du niveau vibratoire universel.
Depuis maintenant prés de 40 ans cette augmentation autrefois très douce, a pris un nouveau tournant et le niveau vibratoire de la Terre, mais aussi de notre système solaire et d’une partie (au moins) de notre galaxie s’élève de plus en plus rapidement pour atteindre aujourd’hui un niveau inégalé. Et cela va continuer.
Ce phénomène a été observé depuis de nombreuses années, par l’élévation importante de la résonance de Schumann qui reflète le niveau du champ électromagnétique terrestre et qui est observable au niveau de la haute atmosphère (ionosphère). Cette élévation est certainement responsable des graves séismes et des éruptions volcaniques que la terre a connus ces dernières années, ainsi que du déplacement accéléré du pôle nord et de la prochaine inversion des pôles (qui peut survenir demain, tout comme dans un siècle ou deux).
Or, cette élévation du niveau vibratoire de la Terre nécessite de la part de nos organismes, une adaptation constante. Elle est en grande partie responsable des états de fatigue, des grandes émotivités, des anxiétés, des déprimes et des troubles du sommeil que l’on rencontre fréquemment de nos jours. Et si cette inadaptation persiste, cela peut mener à de véritables maladies, voire à des phénomènes d’auto combustion.
Pour aider notre corps à s’adapter à ce phénomène général, il convient de prendre un peu plus de temps pour lui permettre de récupérer, se détendre et se reposer. Une alimentation saine, biologique et équilibrée est bien sûr souhaitable tout comme des cures de détoxication à base de spiruline ou de chardon-marie.
Sur le plan psychique, il est conseillé de se libérer de toutes les vieilles peurs, les vieux conflits non résolus, les croyances erronées dont nous sommes porteurs. L’EFT, la PNL, la psychothérapie peuvent y aider.
La MEDITATION est un incontournable.
Je trouve que l’utilisation des huiles consacrées est la meilleur façon d’augmenter notre états vibratoire car elle va permettre au corps physique de s’harmoniser avec l’état vibratoire de l’huile.
Source : NGSM.EU
05:00 Publié dans Science | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : vibratoire, niveau, terre, conscience, évolution, compréhension, phénomène, méditation, santé, corps, mental, réflexion, comprendre, savoir, connaître