Allez les yeux invisibles vers le beau.

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18/09/2016

Cadeau du Jour... (18)

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16/09/2016

Le non-jugement dans le Bouddhisme...(2)

images.jpeg(suite...)

 

Surtout, les personnes ne sont pas comme elles sont pour rien, il y a toujours une raison à ce qu'elles sont ( ou à ce que leur égo est, plutôt), nous ne pouvons donc nous permettre de les juger, de dire si ce sont de « bonnes » ou « mauvaises » personnes, sans être à leur place, ou au moins sans avoir toutes les données.

 

Le relatif et l'absolu : la même chose vue sous un angle différent

 

Il faut cependant bien comprendre que la vacuité, le Nirvana, n'est pas non plus indépendant du reste: il est relié au monde relatif, au Samsara. Sans Samsara, pas de Nirvana.. Et inversement, car le Samsara et le Nirvana sont une seule et même chose, la seule chose qui change étant notre regard sur le monde : dans le Samsara, nous jugeons, nous catégorisons, et dans le Nirvana, il n'y a plus rien à juger, nous ne catégorisons plus... Pourtant, nous voyons la même chose. Quand nous sommes dans le Nirvana, nous voyons la même chose que quand nous sommes dans le Samsara. La seule chose qui change, c'est ce que notre esprit fait de ce qu'il voit . Dans le Samsara, il catégorise, et donc « juge » le monde qui nous entoure, alors que dans le Nirvana, il appréhende simplement le monde, sans y apporter une quelconque pensée, juste il est « là », avec le reste... Sans se poser de question, sans se dire que ce qu'il voit est telle ou telle chose, sans se prendre non plus pour l'égo. De manière ultime, l'esprit est libre de toute formation de pensée, et donc le jugement n'en fait pas partie...

 

Le bien et le mal

 

Pour juger quelqu'un, se dire si ce qu'il fait est « bien » ou « mal », nous devons déjà admettre que « bien » et « mal » existent. Hors, ce n'est pas le cas dans le bouddhisme : rien n'est « bien » ni « mal » en soi, de par l'interdépendance, et l'impermanence. Ce n'est pas l'acte en lui-même qui fait que quelque chose est « bien » ou « mal », car d'une époque à l'autre, les conventions changent, et de par l'interdépendance, on peut faire une chose « mal » avec de « bonnes » intentions. Donc, ce qui compte, c'est non pas l'acte en lui-même, mais l'intention qu'il y a derrière. Avant, avoir des rapports sexuels avant le mariage était mal, aujourd'hui, c'est normal. Le bien et le mal sont relatifs, à nos sociétés, à nos intentions, et ils font donc partie du monde relatif, le Samsara. Si vous assommez quelqu'un par plaisir, on peut dire que c'est mal dans une certaine mesure, car votre intention est de faire du mal. Si vous assommez cette même personne exactement de la même façon, mais parce qu'elle est en train d'essayer d'en tuer 30 autres, votre acte ne sera plus motivé par « faire le mal », mais par « empêcher le mal ». On pourra donc dire que votre geste était altruiste, car motivé par le bien des autres, et non par l'intention de faire du mal à quelqu'un. Le non-jugement est un principe bouddhiste, car de manière ultime, il n'y a pas à juger, comme il 'y a pas de soi, ni de bien ou de mal, de manière indépendante. Cependant, ce n'est pas parce que tout est vacuité, que rien n'est « mal ».
Il faut bien comprendre que le bouddhisme n'est pas du nihilisme, il ne s'agit pas de nier le bien, le mal, ni de nier la personnalité. Mais il s'agit par contre de comprendre que tout est vacuité, donc interdépendant et impermanent.


à suivre...

13/09/2016

La Glande Pinéale...(1)

Unknown.jpegLa glande pinéale pourrait être la partie la plus importante de votre système nerveux tout entier. Il s’agit essentiellement d’une antenne spirituelle, votre équivalent physique d’un troisième œil.

Il est essentiel pour atteindre des niveaux plus élevés de conscience tout en restant dans un corps physique.

→ Activer la pinéale pour accéder aux mondes parallèles, un mécanisme naturel qui fera passer l’humanité à l’ère spirituelle

La glande pinéale se trouve au centre géométrique du cerveau. Elle est creuse et rempli d’un fluide contenant des cristaux.

La calcification fait en sorte que les cristaux dans la glande s’attachent aux dépôts de minéraux. Ainsi, les cristaux ne peuvent plus exercer leur propriété de piézoluminescence.

Les effets de la calcification sont la dépression, l’anxiété, la boulimie/anorexie, la schizophrénie et d’autres formes de maladies mentales. La calcification vient aussi perturber la sécrétion de la mélatonine.

La mélatonine, souvent dénommée hormone du sommeil, est surtout connue comme étant l’hormone centrale de régulation des rythmes chronobiologiques, et d’un certain point de vue, de pratiquement l’ensemble des sécrétions hormonales.(…) Elle est sécrétée par la glande pinéale en réponse à l’absence de lumière. La mélatonine semble avoir de multiples fonctions, autres qu’hormonales, en particulier comme antioxydant (anti-cancer). Elle semble aussi jouer un rôle dans le système immunitaire.

L’image nous montre le dieu ailé sumérien Enki avec un cône de pin dans la main. On retrouve dans beaucoup de cultures la symbolique du cône de pin représentant la glande pinéale (siège de l’âme).
La calcification de la glande pinéale est causée principalement par le fluorure qui circule dans notre sang.

Le fluorure vient des pâtes à dents, de l’eau du robinet et de l’eau en bouteille, dans certains aliments, des médicaments psychotropes comme le prozac qui est aussi appelé fluoxétine et qui contient 30% de fluorure. La glande pinéale contient la plus grande concentration de fluorure dans le corps.

Calcification …?

Malheureusement, pour la plupart des gens, la glande pinéale est fortement entartrée. Tant et si bien qu’elle apparait comme un morceau de calcium lors d’une IRM. Alors, quelle est la calcification, et quelles en sont les causes?

La calcification est l’accumulation de cristaux de phosphate de calcium dans diverses parties du corps. C’est un processus naturel causé par les nanobactéries primaily. les Nanobactéries sont des microorganismes qui forment de minuscules coquilles de phosphate de calcium autour d’eux, essentiellement pour se protéger de votre système immunitaire. Il ressort de la dernière recherche que cela peut être la cause de la plupart des maladies.

De l’arthrite, aux accidents vasculaires cérébraux, du cancer aux maux de dos. Grâce au système alimentaire SAD (standard régime américain) horribles, la plupart des gens sont exposés à beaucoup plus de ces organismes que jamais, et que non seulement, sont calcifiées par d’autres moyens aussi.

 

à suivre...

 

11/09/2016

Le non-jugement dans le Bouddhisme...(1)

non-jugement,bouddhisme,respect,tolérance,signification,mots,important,conventions,bouddha,nirvana,réflexions,comprendre,savoir,connaîtreLe non-jugement dans le bouddhisme

 

Tout d'abord, qui signifie « juger » ? Juger c'est mettre une étiquette sur quelque chose et/ou quelqu'un. On peut aussi appeler cela « catégoriser ». On juge et/ou catégorise quoi/qui ? Quelque chose et/ou quelqu'un qu'on considère comme différent de soi-même, et ayant des caractéristiques propres, indépendantes du reste.

 

Dans le bouddhisme, le non-jugement est important, car sans lui on ne peut connaître la vacuité : dans le Nirvana, il n'y a plus de mots, donc plus de jugements... Nous ne sommes plus « nous », mais nous sommes le tout, une fois débarrassés de notre égo. Il n' a donc plus lieu, ni même possibilité de juger, si l'on ne se considère pas comme différent du reste, et que l'on ne peut même plus utiliser de mots, n'étant plus dans le monde relatif... Les mots sont un jugement, une catégorisation du monde qui nous entoure. On appelle un table « table », mais cela représente quoi ? Dans la tête de tout le monde, « table » désigne quelque chose avec 4 pieds, et une planche au milieu. Mais si cette table a 3 pieds, est-ce toujours une table, ou non ? C'est ainsi qu'on peut comprendre à quel point on catégorise le monde qui nous entoure, et à quel point nous sommes habitués, et donc conditionnés, à le faire. On peut ensuite se demander pourquoi tel mot est tel mot, pourquoi la couleur « bleu» s'appelle « bleu » ?
"Qu'y a-t-il dans un nom? Ce que nous appelons une rose, sous un autre nom sentirait aussi bon." (Bouddha, Canon Pali)
C'est là que l'on voit que des étiquettes, des conventions, ont été posées sur des choses, des concepts, et qu'on est tellement conditionné à les employer, qu'on ne se pose même plus la question du pourquoi du comment.

 

La vacuité : rien n'est « vraiment » ce par quoi il est désigné

 

En examinant bien, rien n'est vraiment le mot par lequel il est désigné. Exemple tout simple, un mot se dira d'une façon dans une langue, d'une autre façon dans une autre langue.. Pourtant, ce sera exactement le même objet, avec les mêmes caractéristiques. Cela montre bien l'interdépendance de tout. De plus, les choses ne sont pas telles qu'elles sont sans raison : une table est l'endroit sur lequel on mange, mais nous aurions très bien pu manger sur autre chose, et il y a des cultures où ils ne mangent pas à table... Et l'on peut aussi très bien avoir un usage tout autre d'une table, que celui que nous en avons habituellement en Occident. Il en va de même pour les êtres humains : nous mettons des étiquettes pour les « juger », les catégoriser, mais ces étiquettes ne sont que le reflet d'un certain concept, qui ne peut pas représenter à lui seul ce qu'est ou n'est pas la personne (surtout que les humains sont bien plus compliqués que des objets, car chaque humain, bien que regroupant des caractéristiques similaires aux autres, est différent, de par sa psychologie, sa vie, et son karma).

 

à suivre...

08/09/2016

Santé & Cosmo Tellurique... (40)

santé,cosmo tellurique,bien être,architecture,bio,géobiologie,travaux,type,vibrations,thérapie,terrain,région,matériaux,leurrais,altenbach,mesurer,habitations,harmonieuses,réflexion,comprendre,savoir,connaîtreIl n'existe pas de bio-architecture type (suite) :

 

Nous n'avons pas la prétention, dans ce chapitre, de donner les principes et les préceptes de la bio-architecture ou de l'habitation saine, mais nous souhaitons préciser qu'il n'existe pas une architecture type, chaque architecture nécessitant une adaptation aux vibrations de la région, du terrain, etc.

Pour mener à bien ce genre de travaux, la présence de "sensitifs" est obligatoire pour "mesurer" l'incidence des formes, des matériaux, etc.

Au sein du Centre international de géosophie (C.I.G. - CP 2971 - CH-1002 Lausanne, Suissse) qui étudie la géobiologie, la bio-architecture et les thérapies cosmos-telluriques, nous travaillons avec la collaboration des géobiologues, architectes, médecins, etc., à la réalisation d'habitations harmonieuses et saines pour l'épanouissement des générations futures.

 

(Extrait de "Santé et Cosmo-Tellurisme" de B. Legrais & G. Altenbach - Ed. "Dangles" - 1984)

06/09/2016

La Pensée Positive... (20)

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d'efficacité personnelle (suite) : 

 

Nos pensées et nos actes sont déterminés par des convictions personnelles. Si un individu est certain de pouvoir réussir à surmonter une crise, il a plus de chance de pouvoir effectivement la surmonter, même si la croyance optimiste ne coïncide pas avec ses capacités objectives. Les attitudes positives augmentent la motivation à poursuivre des objectifs nouveaux et difficiles en faisant preuve de sens de l'effort et de persévérance. En revanche, les attitudes négatives empêchent de prendre des initiatives ou incitent à baisser les bras prématurément : si l'on s'attend à ne rien obtenir, on ne va rien tenter ou s'arrêter à la première tentative. La pensée positive permet d'éviter les sombres pronostics du style : " Je sais déjà que cela ne marchera pas." Elle se dit au contraire : " Je ne sais pas comment, mais je vais y arriver." L'optimiste peut reconnaître plus facilement les opportunités qui s'offrent à lui et, contrairement au pessimiste, ne se complaît pas dans le catastrophisme. L'optimiste est une conception de la vie qui, fondamentalement, dit oui à la vie. on s'en trouve plus léger, plus ouvert et plus fort.

 

(Extrait de "La Pensée Positive" d'Elke Nürnberger - Ed. "Ecolibris" - 2014)

 

à suivre...

 

02/09/2016

Sagesse...(3)

L’importance de l’Amour dans le Bouddhisme


Unknown.jpegLe Bouddhisme est une religion pacifique. En effet, selon les enseignements de Bouddha, l’amour et le Bouddhisme sont indissociables. Amour de son prochain, amour de toute vie, amour de la sagesse… Elle peut prendre diverses formes.
Bouddhisme et Amour

 

La place de l’amour dans le Bouddhisme


Le Bouddhisme est une religion qui cherche la libération de l’âme de chaque personne grâce à son éveil, l’empêchant ainsi de vivre et revivre dans la souffrance. L’initiation au Bouddhisme implique la connsaissance du principe du Karma et de la renaissance. Le Karma étant une relation de cause à effet, effectuer de bonnes actions dans la vie permet d’échapper au mauvais Karma. Mais une action ne peut être bonne que si elle est guidée par la compassion. De ce fait, la première forme d’amour dans le Bouddhisme est la compassion. Elle consiste à éviter de faire souffrir autrui. Elle pourrait même chercher à le guérir du mal.

L’amour à travers la bienveillance
La deuxième forme de l’amour est la bienveillance. La bienveillance vise à procurer du bonheur à autrui. Ces deux formes d’amour sont résumées et expliquées par cette citation de Bouddha :

« Que tous les êtres soient heureux ! Qu’ils soient en joie et en sûreté ! Toute chose qui est vivante, faible ou forte, longue, grande ou moyenne, courte ou petite, visible ou invisible, proche ou lointaine, née ou à naître, que tous ces êtres soient heureux ! Que nul ne déçoive un autre ni ne méprise aucun être si peu que ce soit ; que nul, par colère ou par haine, ne souhaite de mal à un autre. Ainsi qu’une mère au péril de sa vie surveille et protège son unique enfant, ainsi avec un esprit sans limites doit-on chérir toute chose vivante, aimer le monde en son entier, au-dessus, au-dessous et tout autour, sans limitation, avec une bonté bienveillante infinie. Étant debout ou marchant, assis ou couché, tant que l’on est éveillé, on doit cultiver cette pensée. Ceci est appelé la suprême manière de vivre. »