20/11/2013
Nouveau monde... (9)
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18/11/2013
La Petite note de Franck... (59)
"A travers la notion de jeu d’instincts, il entend trouver un axe d’appréhension du dynamisme des images du rêve. Ainsi, si toute interprétation est, chez lui, l’élaboration d’un jeu des instincts, il s’agit ici dans le cas du rêve d’observer son œuvre en se demandant ceci :
Quels sont les jeux des instincts qui se rattachent au rêve ? Et comment à travers les jeux de l’homme avec le rêve arrive-t-on à définir clairement ce qu’est ce dernier en deçà de ses diverses utilisations ? Comment repenser le rêve et ses caractéristiques au-delà de ses utilisations incomplètes voire frauduleuses dans l’histoire ? La tâche sera de comprendre chez Nietzsche une tentative originale qui se donne comme programme de penser le rêve comme « le jeu de l’homme avec la réalité".
Source : Denis MORIN
"Le rêve dans la philosophie de Nietzsche"
Mon rêve et moi...
« Donner un sens à mon rêve à ma belle utopie est celle de croire déjà à mon rêve, de lui donner une réalité encore abstraite, mais bien présente dans mon esprit. Faire corps avec elle et non seulement par l’esprit, la détacher, la promouvoir dans un ensemble de choses bien familières, lui trouver une cognition avec l’ensemble du cosmos et de la planète pour lui faire respirer un bonheur à construire, mais surtout à vivre. De cela, faire que les matières grises s’élancent dans l’élasticité et l’adaptation de ce rêve dans une concrétisation polyvalente, dans une souplesse des esprits. Osons lier nos connaissances réciproques à la fabrication, à l’émergence de ce vœu suprême, sachons le voir tous ensemble dans l’ultime minute où il viendra notre réalité, par sa seule force, sa seule combinaison fonctionnelle dans sa capacité à ce qu’il devient. Mon rêve, vous le connaissez, cher lecteur de mon blog : UN NOUVEAU MONDE FAIT D’AMOUR... où il faudra apprendre à se connaître et se tolérer dans nos différences ! Cela sera la plus belle tâche que nous aurons à accomplir être : DES ALTRUISTES ! À nous de savoir connaître le sens de ce mot : Altruiste… Et notre grand rêve ne sera alors qu’une étape à notre devenir. Travailler avec un autre état d’esprit, pour cultiver la Terre de façon à la respecter, savoir ce qui est bien pour nous et utile dans le monde des nouvelles technologies… Ne pas avoir envie de richesses de ce qu’il nous semble respectable de posséder, comprendre le milieu où l’on vit, chercher à faire des choses positives aussi bien dans l’architecture, dans le respect de la nature, dans toutes choses que l’on pense être dans cette direction. Voir dans l’évolution de nous-mêmes, dans nos rapports au quotidien, dans les difficultés, dans notre approche de la science, la santé, etc.
Notre grand devenir c’est nous-mêmes ! »
(Rendez-vous pour une nouvelle... note de Franck)
à suivre...
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26/10/2013
The story of stuff...
05:00 Publié dans société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : nouveau, monde, capitalisme, mode, aliénation, modèle, réflexion, comprendre, savoir, dénonciation, absurdité, folie
23/10/2013
Nouveau monde... (7)
CROISSANCE OU DÉCROISSANCE ?
Journalistes, ministres, statisticiens, économistes, syndicalistes, dans leur grande majorité, présentent la croissance économique comme le seul projet viable de société, le seul levier capable de nous apporter emplois, bonne santé économique et prospérité.
Pourtant, si le PIB mondial n’a cessé de croître ces 50 dernières années, les inégalités grandissantes entre individus et la surexploitation des ressources naturelles nous mènent tout droit à des impasses sociales et écologiques. L’idéologie de la croissance économique et matérielle indéfinie est-elle réellement facteur de développement, de progrès et de mieux-être pour l’humanité ? Ce modèle de société est-il durable et généralisable ?
L’heure du changement de logique semble venue, où le "toujours plus", effréné et insensé, laisse place à la sobriété heureuse, consciente et responsable.
- prendre en compte les ressources dont nous disposons vraiment, individuellement et collectivement ;
- nous demander si le PIB reflète vraiment la qualité de vie humaine et la satisfaction des habitants d’un pays dans une réflexion citoyenne personnelle et collective ;
- faire les choix personnels qui sont en adéquation avec notre éthique, nos valeurs et notre vie personnelle, familiale et citoyenne, dans une contribution "cré-active" au quotidien.
L’impossible croissance illimitée sur une planète limitée
Chercher à tout prix une croissance économique illimitée sur une planète aux ressources limitées est un non-sens qui nous voit couper la branche sur laquelle nous sommes assis. Si tous les habitants de la terre se mettaient à consommer comme un occidental moyen, il nous faudrait l’équivalent de trois planètes pour subvenir aux besoins de tous.
Ce mode de vie et de ponction des ressources naturelles n’est ni généralisable ni soutenable à long terme.
Depuis la fin des années 70, l’empreinte écologique de l’humanité a dépassé la capacité biologique de la planète : nous consommons davantage de ressources que la terre ne peut théoriquement nous en fournir de manière pérenne.
Nous vivons au-dessus de nos moyens.
"The story of stuff", d'Annie Leonard, nous dévoile le cycle de vie de tous ces objets que l'on consomme au quotidien sans vraiment savoir d'où ils viennent ni où ils vont. Elle explique d'une façon ludique mais sérieuse comment fonctionne l’économie globale matérialiste et ses conséquences sur l’économie, l’environnement et la santé.
Vous pouvez voir le film, en VO sous-titrée en français, sur le site www.storyofstuff.org
Accrochez vous, ça va vite mais c'est passionnant !
L’effet Kobe ou le non-sens de l’indice du PIB
Le PIB mesure sous forme monétaire la quantité de biens ou de services produits dans un pays sur une période donnée.
Mais il ne prend nullement en compte les raisons ou les effets qualitatifs de ces productions. Outre la fracture sociale, la pollution, le réchauffement climatique, la destruction des écosystèmes, l’épuisement des ressources... sont non seulement ignorés mais parfois même comptabilisés de manière positive dans le PIB.
L’effet Kobe fait référence à un grave tremblement de terre au Japon, ayant touché des milliers de victimes, mais ayant permis de relancer l’économie par la reconstruction nécessaire des voiries, infrastructures, logements…
Les événements les plus destructeurs comme les inondations, les accidents de voiture, les hospitalisations… stimulent paradoxalement la croissance économique et haussent l’indice de « développement » d’un pays.
Que faire ?
Sortir de l’idéologie de la croissance indéfinie signifie pour chacun d’entre nous limiter nos prétentions, lâcher notre insatisfaction perpétuelle, renoncer à nos désirs de « toujours plus » et choisir la sobriété volontaire et heureuse.
Une société qui fait ce choix éthique et politique reconnecte ses priorités à l’essentiel : satisfaire les besoins fondamentaux de tous les citoyens, veiller à la répartition équitable des biens légitimes, édifier une organisation sociale et territoriale dans le respect de l’équilibre naturel, encourager la participation « cré’active » de chacun au service de l’intérêt collectif. Aux logiques de compétition et d’antagonisme, il est possible de substituer les valeurs de coopération et de complémentarité.
L’indicateur du PIB pourrait être abandonné pour laisser place à de nouveaux outils de mesure du progrès réel de l’humanité, qui tiendraient compte de l’adéquation du développement économique et matériel avec la capacité biologique de la terre et du bien-être social.
De nouvelles approches voient le jour : PID (Produit Intérieur Doux), IBH (Indice de Bonheur Humain), IDH (Indice de Développement Humain).
Croissance et fracture sociale
La croissance économique se calcule de manière globale sans prendre en compte le niveau d’équité de répartition des richesses entre individus. L’idée qu’elle serait un vecteur de réduction des inégalités n’est désormais plus recevable.
Bien au contraire, 20% des habitants de la planète s’accaparent 80% des ressources ; les riches sont de plus en plus riches et les pauvres de plus en plus nombreux. Selon les Nations Unies, les 225 personnes les plus riches ont une fortune supérieure à ce que gagnent chaque année les trois milliards d’individus les plus pauvres (soit près de la moitié de l’humanité !).
Les inégalités au sein d’un même pays ne cessent de croître également. En Europe centrale et de l’est, malgré un fort taux de croissance ces dernières années, la proportion d’habitants vivant avec moins de un dollar par jour est passée de 0,5% en 1990 à 3,5% en 2005.
La croissance, facteur de bien-être ?
Au regard des sociétés occidentales, où le stress, l’alcoolisme, la violence, les suicides, les maladies de dégénérescence, la solitude ne font qu’augmenter, travailler plus, dépenser plus, posséder plus, ne semble pas être un gage de bonheur.
La courbe de croissance économique dans les pays développés est d’ailleurs quasiment parallèle à celle des ventes en volume d’antidépresseurs. Ainsi, le PIB ne reflète-t-il pas la qualité de vie humaine et la satisfaction des habitants d’un pays.
On a ainsi de quoi s’interroger sur la pertinence de la croissance en tant qu’indicateur de progrès et se demander à quoi servent nos efforts acharnés pour son développement, si cela ne contribue pas à offrir plus de bonheur aux vivants ?
Serait-elle seulement une idéologie savamment distillée à toute l’humanité pour la défense des intérêts privés de quelques uns et communément admise par tous par habitude ou
résignation ?
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01/10/2013
Nouveau monde... (5 & 6)
Le monde selon Pôl kraly… (tel que je le conçois dans un premier temps)
... Est un monde où l’innovation, sur toutes ses bases, se crée, dans tous les domaines, nous devons être capables de nous adapter. Élargissons notre champ de vision par les technologies du futur ; tout cela par une symbiose harmonieuse avec notre environnement, que l’humain sort grandi par la conjonction de tout cela. Se diriger vers le futur ne se fait pas au détriment de la nature, agissons avec la biodiversité. Établissons un équilibre quasi parfait, essayons de connecter nos intelligences individuelles à toutes ces synergies merveilleuses qui par enchantement (et je le crois) viendront nous aider à nous comprendre. Je rêve d’une interconnexion collective de nos consciences par le seul fait d’une émulation profonde de notre être intérieur par l’amour, l’amitié, le respect, la tolérance, l’intelligence… qui peuvent permettre d’atteindre ses idéaux. Que notre monde ne soit pas fait par la compétition absurde entre les personnes, que chacun trouve sa place dans ce qui se propose de pouvoir acquérir dans un travail qui lui est propre. De promouvoir son « travail » sans recherche à acquérir plus d’argent ; trouvons une alternative différente pour que les hommes puissent s’épanouir dans ce qu’ils font, sans forcément avoir des comptes à rendre, si l’on pouvait travailler selon un rythme bien propre à soi. Et supprimer d’être de plus en plus riche, supprimer cette compétition ridicule qui tue l’homme à la base qui l’empêche d’évoluer dans un climat serein. Il faudrait revoir le travail tel qu’il est conçu de nos jours avec un chef d’entreprise, puis des cadres supérieurs, puis des actionnaires qui pourrissent l’éveil de ce que certains cherchent à faire sérieusement et avec application. Donner la chance à se trouver un métier qui nous transforme. Mettre des formations en place à l’aide de ces métiers de demain pour qu’ils soient plus riches et plus captivants. Arrêtons ces hiérarchies octogonales et pyramidales qui vont du chef au simple ouvrier, si l’on pouvait écouter tout le monde sur une bonne base de départ, sans un salaire exorbitant pour les uns. Que les personnes de la naissance à la mort puissent vivre décemment... Je propose : « UN REVENU UNIVERSEL DE BASE », qui selon moi serait bien utile à tout individu pour émerger et qui se voudrait salutaire. Je ne crois pas à la croissance dans ce monde que nous vivons. Bâtissons une autre planète plus intelligente, plus humaine, plus respectable des êtres qui peuplent cette terre, qu’il soit animal, végétal, humain ou autres… L’avenir qui se dresse devant nous, est une grande opportunité de s'ouvrir à ce monde dont je parle, sachons monter dans ces wagons de l’espoir. Un grand effort est à faire pour que toutes les consciences de ce monde d’aujourd’hui sachent acquérir ce Nouveau Monde. La solidarité, la compréhension, la tolérance, les différences culturelles, religieuses... peuvent ne pas être des obstacles si nous formons notre intellect à ce grand rêve auquel je crois. Je le formule encore : « CE MONDE SE FERA PAR UNE INTERCONNEXION COLLECTIVE DE NOS CONSCIENCES PAR LE SEUL FAIT D’UNE ÉMULATION PROFONDE DE NOTRE ÊTRE INTÉRIEUR PAR L’AMOUR, etc. » Si demain, la vie venait à changer, il faudrait se montrer respectueux et être à l’écoute de cette vie nouvelle, le mot humilité aurait, alors, toute sa force !
à suivre...
Le monde selon Pôl Kraly… (Tel que je le conçois dans un deuxième temps... après cela, à nous de définir son évolution)
Je disais dans « le monde tel que je le conçois dans un premier temps », que ce monde se fera par une interconnexion collective de nos consciences par le seul fait d’une émulation profonde de notre être intérieur par l’amour, l’amitié, la tolérance, etc.. Oui, j’y crois intensément mais cela se fera par une acceptation individuelle de la personne à cette transformation. Dès lors que nous aurons accepté de jouer le jeu et d’entrer dans ce Nouveau Monde, il faudra lâcher prise sur quelques mauvaises habitudes, et faire un travail sur soi. Mais je vois encore plus loin, en digne utopiste que je suis, cela se fera « assez facilement », car je crois fortement à l’émulation profonde et collective qui se chargera de cette tâche avec discernement et intelligence. Je viens d’achever un livre "Chemins escarpés" de pensées philosophiques et spirituelles (je suis à la recherche d’un éditeur) où je parle de la méthode de ce « concept » tout à fait révolutionnaire. S’il se devait d’avoir une révolution, elle se doit d’être pacifique et sans effusion de sang, je la vois ainsi et ce ne sont pas les idées d’extrême droite qui viendront perturber ce changement. Car c’est dans les têtes de ceux que j’appelle les « Éveilleurs de Consciences », des gens tout à fait à l’opposé de ces pensées fascisantes et dépassées, que se fera ce changement. Ce monde ainsi changé évoluera dans le bon sens et sera meilleur que celui qui s’achève (je veux dire le monde capitaliste), le monde auquel j’aspire commence à émerger et c’est tant mieux. Dans l’urgence de résoudre les problèmes de ce monde finissant, je souhaiterais que toutes les intelligences et chefs d’État se mettent autour d’une table pour envisager ce nouveau paradigme, il en est encore temps, c’est là notre unique chance de vivre autrement et mieux en respectant la nature et sa biodiversité, car c’est bien là que la question urgente dont il faudra trouver la réponse immédiate. Je ne suis pas un gourou, mais un être de conscience qui prend le temps de penser, de vivre et d’espérer pour le bien de l’humanité tout entière !
05:00 Publié dans société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : nouveau monde, émulation, grandir, bien-être, vivre, harmonie, respect, tolérance, intelligence, construire, conscience
11/09/2013
La Petite note de Franck... (57)
« La race humaine doit sortir des conflits en rejetant la vengeance, l’agression et l’esprit de revanche. Le moyen d’en sortir est l’amour. »
de Martin Luther King
N’ayons pas peur du monde qui se formule et qui pointe, le monde doit changer, et il change... L’utopiste que je suis voit ce changement sans effusion de sang. Je rêve, grossièrement, à ce changement dans une mutation intelligente qui passe par les consciences de celles qui s’allument de plus en plus dans ce monde-là ; je veux dire par là que ce monde capitaliste tant à s’essouffler et à venir à bout de souffle. La transition se fera lentement ou très vite, moi je vois des signes probants, il suffit d’avoir un œil observateur sur les choses. Je demande à ceux qui veulent observer d’avoir ce privilège du recul et une bonne analyse ensuite fera son œuvre. Être à l’écoute par les images, les radios, les livres ; tout ce qui doit nous interpeller à l’oreille doit être déchiffré, mais il faut savoir discerner les paroles ou les écrits de chacun. Cela s’acquiert par l’assiduité prolongée de l’intelligence au service de ce changement, il faut l’avoir (ce monde nouveau) dans sa tête déjà, je veux dire par là pour que cela change positivement. Le grand utopiste que je suis, formule ce changement tout en douceur dans sa « petite » tête, si l’on veut que cela se passe sans effusion de sang, il faut déjà le penser toute en bien-être dans son cerveau, et par télépathie l’inscrire dans les cerveaux réceptifs. Le monde sortira de son marasme actuel par cette belle et généreuse utopie, et ceux qui pensent comme moi savent en conséquence, qu’il faut le rêver pour qu’il puisse naître !
(Rendez-vous pour une nouvelle... Note de Franck)
à suivre...
05:04 Publié dans société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : nouveau monde, note, franck, pensée, amour, bien-être, conscience, luther king, vivre, générosité, philosophie, vie
10/09/2013
Le Monde selon Caroline Fourest... (1)
05:00 Publié dans société | Lien permanent | Commentaires (0)