Allez les yeux invisibles vers le beau.

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20/11/2013

Nouveau monde... (9)

Colibris, victime de son succès !

Le 25 octobre dernier, Pierre Rabhi s’est adressé aux colibris. Pierre a rendu un bel hommage à toutes celles et ceux qui sèment et essaiment chaque jour les graines de la transition. Une monnaie locale à Strasbourg, un éco-village près de Lorient, une école à pédagogie coopérative dans le Périgord, chaque projet de la société civile est une goutte d’eau qui participe à éteindre l’incendie.

Oui, nous sommes devenus une force citoyenne qui compte, une force citoyenne active et puissante. Oui, nous avons le devoir de continuer, inexorablement.

Comme le dit Pierre "nous sommes en quelque sorte heureux d’être victime de notre succès".Pour continuer à polliniser les initiatives positives de la société civile, à relier les acteurs locaux sur leur territoire et se donner les moyens d’accompagner chaque citoyen en transition… nous avons besoin de vous !

Colibris souhaite lancer un projet citoyen d’envergure. Il s’agit maintenant de construire la prochaine grande étape du mouvement, avec la création d’une université colibris pour la transition, qui proposerait à chacun un apprentissage complet, pas à pas, dans les domaines de l’éducation, l’agriculture, l’économie... pour acquérir les connaissances et les compétences nécessaires à la réalisation de son projet. Cette mission ambitieuse est apparue comme une évidence. Nous sommes de plus en plus nombreux à vouloir reprendre notre pouvoir, alors donnons nous les moyens d’agir efficacement, ensemble.

Si chacun de nous participe à soutenir Colibris, si chacun de nous invite une personne de son entourage à rejoindre le mouvement, nous parviendrons à être cette force citoyenne dont nous rêvons : indépendante, active et autonome ! 

Avec élan et détermination,

Céline, Sophie, Anne-Laure, Marianne, Caroline, et toute l’équipe de Colibris

Actu

La boutique des colibris est en ligne !

Le dernier livre de Pierre Rabhi, "Semeur d’espoirs", le livre-CD "La Légende du Colibri" racontée et chantée en exclusivité par Zaz pour Colibris, les hors-séries de Kaizen… Vous pouvez désormais acheter en ligne les dernières publications spécialement sélectionnées par le mouvement.
En privilégiant le site de Colibris pour vos achats, vous participez à soutenir financièrement l’association.

>>> Offrez utile, passez à la boutique !

Notre partenaire : le Printemps de l'éducation

C’est avec le Printemps de l’Éducation que Colibris a engagé sa (R)évolution de l’éducation en octobre dernier. Ce mouvement a pour objectif "de fédérer et représenter les acteurs du renouveau éducatif et de nourrir la réflexion et les échanges à travers la recherche et la diffusion de pratiques innovantes."
Pour mieux comprendre les principes des nouvelles pédagogies, le Printemps de l’Éducation vous propose un petit lexique des pédagogies différentes que nous mettons à votre disposition sur le site de Colibris.
Pour aller plus loin, nous vous invitons à visiter leur site, et leur "annuaire du renouveau éducatif", très bien fourni (plus de 600 acteurs), et à consulter les dates du Tour de France engagé depuis octobre dernier. Pour tous les colibris qui s’intéressent aux questions d’éducation, le Printemps, c’est en toutes saisons !

www.printemps-education.org

Agir

Continuez à filmer vos "(R)êves d’école" !

Près de 200 colibris ont mis leur (R)êve d’école en ligne. Vous pouvez les voir sur le groupe (R)évolutionnons l'éducation, sur Vimeo !
C’est à vous maintenant ! En mode "micro-trottoir", avec un téléphone, un appareil photo vidéo, une caméra, interviewez vos amis, vos enfants, des passants, petits et grands, et demandez-leur de répondre en une phrase à la question : "Pour toi, c’est quoi l’école idéale ?"
(Pour mettre sa vidéo en ligne, c’est simple ! Voir le tutoriel)

Pierre Rabhi, Coline Serreau, et l’équipe de Colibris ont eux aussi leurs (R)êves d'école !
>>> Voir le clip de lancement

Les groupes locaux Colibris sont en pleine effervescence pour cette campagne.
>>> Découvrez leurs actions ici !

Des Acteurs, des Projets

Une nouvelle carte des acteurs
La nouvelle carte des acteurs engagés est en ligne sur le site de Colibris ! Vous y trouverez où manger bio, local et de saison, construire une maison plus écologique, trouver ou créer une AMAP...
Réalisée en collaboration avec Les Marchés Citoyens, notre partenaire historique, cet outil de géolocalisation s'appuie sur la technologie Open Street Map, cohérente avec nos valeurs et aussi très performante !

>>> (Re)découvrez cet outil pratique et participez à sa mise à jour ! 


(R)évolutionner l’éducation, on le fait dans l’Hérault !
Les groupes locaux Colibris du Pays Lodévois et de Montpellier ont tous les deux participé à la journée de lancement de la campagne Éducation du 5 octobre dernier, comme plus de 30 autres villes. À Montpellier, une école élémentaire Steiner/ Waldorf démarre. Rentrée prévue pour septembre 2014. La (R)évolution ne fait que commencer !
Plus d'infos : www.steinerwaldorf-montpellier.fr
Contact : montpellier@colibris-lemouvement.org

À Lodève, les colibris soutiennent l’association "l’Arbreapépins" dans la création d’une école coopérative. Une journée de présentation du projet est organisée le dimanche 24 novembre (de 11h à 17h à Mourèze). Venez participer à l’émergence d’une "école qui rend les enfants heureux" !
Contact : lodevois@colibris-lemouvement.org

Caféméléon : Le Café des Enfants de Béthune et ses environs
Le Caféméléon est un projet de café nomade. Le bus (à faible empreinte écologique) proposera des produits locaux et de saison aux enfants et aux parents. Il a pour objectif de participer à l’épanouissement de l’enfant, recréer du lien social dans la localité, de ransmettre des valeurs de partage, de solidarité et de coopération, et de sensibiliser à une autre manière de consommer.
Le bus devrait être sur les routes au printemps 2014 ! Audrey qui a lancé le projet, fait partie des nominées de la 1ère édition du Prix des Femmes au Salon Marjolaine (jusqu'au 17 novembre à Paris) !
En savoir plus : www.facebook.com/Cafemeleon 
Contact : cafedesenfants@free.fr

Devenez Colibri reporter !
Vous avez des talents de journaliste ou de vidéaste, et vous connaissez une initiative remarquable près de chez vous : école, jardin, écolieu ou encore entreprise ? Faites-la connaître à tous les colibris !
>>> Découvrez les reportages déjà réalisés dans le webzine Colibris.
Les reportages remarquables sont aussi publiés dans le magazine Kaizen !
Ça vous tente ? Contactez-nous !

La Famille des Colibris

La Ferme des Enfants
C’est en 1999 que Sophie Rabhi a créé une école à la ferme, pour permettre à des enfants d’évoluer au sein d’une structure plus respectueuse de leurs besoins. Cela se traduit par la pratique d’une pédagogie de la bienveillance en plein centre d’un magnifique espace naturel devenu un projet écologique, solidaire et intergénérationnel : le Hameau des Buis. Une école, puis un collège, se développent depuis des années, en cherchant à ouvrir une nouvelle approche de l’éducation, plus proche de l’enfant comme de la nature.
www.la-ferme-des-enfants.com
>>> En savoir plus sur la Ferme des Enfants
>>> Voir l’entretien colibris avec Sophie Rabhi, lors de l’Université des Colibris, en juillet 2012.
>>> Feuilleter le livre "La Ferme des Enfants", aux Éditions Actes Sud / Colibris, dans la collection Domaine du Possible.

Terre & Humanisme
Les deuxièmes rencontres Maraîchage sur Sol Vivant auront lieu le 26 novembre au centre agroécologique des Amanins (Drôme). Réservées aux maraîchers.
Plus de renseignements sur www.terre-humanisme.org

Histoire de colibri : Barnabé le

Aujourd'hui journaliste pour Reporterre, le quotidien de l’écologie, et organisateur du Festival du Livre et de la Presse d'Écologie, Barnabé Binctin, 24 ans, a travaillé six mois dans l’équipe de Colibris. Partons à la rencontre d’un jeune colibri plein d’avenir !

Toutes tes activités tournent autour de l'écologie. D'où te vient cette envie d'y consacrer ton énergie ?

Je crois que le vrai déclic vient de mon année vécue en Inde. L'expérience de dépaysement m'a ouvert l'esprit et fait découvrir un autre rapport à la terre. L'Inde reste un pays à majorité rurale, alors pour moi qui ait toujours vécu dans des villes françaises... L'agriculture indienne est un concentré de problèmes qui ont tous à voir avec l'écologie : la sécheresse, l'accaparement des terres, la disparition des semences potagères... Aujourd'hui, les suicides de paysans sont un fait social qui ravage les campagnes indiennes. Je vivais en ville, certes, mais les enjeux en termes de pollution ou de gestion des déchets y sont également colossaux. C'est un peu tout ça que j'ai pris de plein fouet, en plus des petites choses de la vie quotidienne : un autre rapport aux animaux, une alimentation très souvent végétarienne, et puis une nature à couper le souffle...
>>> Lire la suite, sur le réseau social des colibris

Animations

Dans le cadre de la campagne (R)évolutionnons l'Éducation, nous vous proposons quelques idées de jeux coopératifs, à pratiquer avec les petits... ou les grands ! L’été dernier, les équipes de Colibris et du Printemps de l’éducation en ont testé plusieurs, dans l’entraide et la bonne humeur !

Règle du jeu du Cercle-chaise. Les participants se tiennent chacun derrière une chaise, disposés en cercle. Ils basculent ensuite leur chaise en avant, sur deux pieds, et doivent la maintenir d’une seule main. L’animateur dit un chiffre, et les participants doivent avancer d’autant, en passant d’une chaise à l’autre, en même temps, et du même côté, en attrapant la chaise suivante. Le but est de ne pas laisser tomber les chaises ou les laisser reposer sur leurs quatre pieds. Trop facile ? On peut corser les choses ! On laisse les joueurs annoncer un chiffre librement, et ils doivent avancer de la somme de tous les chiffres !
Ce jeu nécessite de coordonner un rythme maîtrisé à l’échelle du groupe entier, c'est très formateur !
>>> Retrouvez de nombreux jeux coopératifs, sur le site des Colibris !

Merci à Yannis, de la Compagnie Alter Ego.

À voir, à lire

Livres

Pierre Rabhi, semeur d'espoirs
Livre d’entretien avec Olivier Le Naire
Coédition Actes Sud / Colibris, collection Domaine du Possible


Partout en France, on refuse du monde à ses conférences et son discours n’a jamais été aussi actuel et pertinent. Alors que Pierre Rabhi a fêté ses 75 ans, ses paroles d’homme intègre, porteur de valeurs exemplaires et qu’il a mises en pratique tout au long de sa vie, ont besoin d’être entendues. Ce livre a pour objet d’élargir son propos, de le confronter plus ouvertement encore aux réalités de la société actuelle, en particulier celles des jeunes générations urbaines. Avec pour objectif de leur montrer en quoi ce message peut les toucher, les aider à changer, à mieux prendre conscience d’enjeux qui leur échappent. À mieux vivre aussi.
Ce long entretien avec Olivier Le Naire est aussi l’occasion pour lui de porter un regard rétrospectif, voire autocritique sur son parcours et son action. L’occasion aussi de revenir sur ses choix, de les expliquer, de les discuter, de parler de ses proches, de sa vie quotidienne, de l’actualité, de ses relations avec les autres mouvements écologistes, des limites de son action, de sa relation à la notoriété et de son lien avec la France et les Français… De la nécessité et de l’art de transmettre.
>>> À découvrir à la boutique des colibris !

Made in Local. Emploi, croissance, durabilité : Et si la solution était locale ?
de Raphaël Souchier, aux Éditions Eyrolles. Préface d’Ervin Làszlò

Nourriture, énergie, santé, argent… Dans bien des domaines, des logiques mondialisées dirigent notre quotidien, non sans dérives. Il existe pourtant des alternatives : un mouvement de rééquilibrage se développe, qui réhabilite le local, les circuits courts, le développement durable, la démocratie.
Parti à la rencontre de nombreux entrepreneurs qui, en France et ailleurs, se sont engagés dans cette voie, Raphaël Souchier rapporte leurs expériences, de la création de systèmes locaux de nourriture à la relocalisation industrielle, de l’invention d’outils de financement à celle de nouveaux médias. Il s’intéresse en particulier au mouvement Balle, pionnier de cette nouvelle approche, qui réunit plus de 30 000 entreprises locales dans 80 villes et régions d’Amérique du Nord. Peu à peu se dessinent les contours d’une "nouvelle économie locale" qui redonne du sens au travail et permet à des territoires entiers de revivre.
Et si le local était la solution ? "Made in local" rend accessible tout un vivier d’idées, d’expériences et d’outils pour penser et vivre l’économie autrement.
Plus d'infos : www.madeinlocal.info

Kaizen N°11, nov-déc.
Au sommaire de ce nouveau numéro : un désenfumage sur "Vivre en ville, c’est plus écolo ?", portfolio "Reza, femmes de paix", un entretien poétique avec Gilles Clément, un dossier sur la force de la communauté, des cadeaux de Noël à faire soi-même, la chronique de Pierre Rabhi sur "la condition animale dans la modernité", et bien d’autres choses !
>>> Feuilleter le numéro

 

Hors-série Kaizen "La France en Transition"
140 pages sur les initiatives qui sont à la pointe de la Transition dans l’Hexagone. 17 initiatives dans l’agriculture, l’énergie, l’habitat, l’économie, l’éducation. Cinq infographies pour évaluer en un coup d’œil où nous en sommes de la transition en France et en Europe. Huit organisations citoyennes à la pointe du changement. Interviews de Thierry Salomon, Delphine Batho, Philippe Meirieu, Yves Cochet.
>>> À découvrir à la boutique des colibris

Vidéos

Le Droit de semer
Ce (joli) court métrage d'animation a pour objectif d'expliquer simplement la réglementation des semences. Un bel outil pratique pour alimenter le débat public, empêtré dans la complexité des réglementations.
Avec la créativité et l'humour au service de l'expertise, Open Solutions for Seeds résume le sujet en une vidéo de cinq minutes, drôle et efficace.
>>> À découvrir et à partager ! 

"Je ne suis jamais allé à l’école !"
André Stern nous raconte l’histoire d’un enfant heureux qui, bien que profondément enraciné dans notre société et sa modernité, grandit loin de toute scolarisation, sans stress, sans compétition, sans programme préétabli ni référence à une quelconque moyenne.
Il tord le cou à certaines idées reçues : vivre loin de l’école ne conduit pas à devenir un sauvage analphabète, asocial et incompétent ; les moyens d’accéder au savoir et à la réussite sont nombreux et inattendus ; le cas d’André Stern n’est pas l’apanage d’une famille aisée.
>>> Voir l’interview réalisée par Joanna Moodstep
>>> Découvrir le livre "Et je ne suis jamais allé à l’école"

agenda
  • Jusqu'au 17 novembre : Salon Marjolaine, au Parc Floral, Vincennes.

En plus d'être le plus grand marché bio de France, avec ses 550 exposants, Marjolaine est aussi un lieu de rencontres et d'échanges grâce à : un cycle de ciné-conférence, 120 ateliers pour mieux consommer, un café écolo pour débattre...
Retrouvez les colibris tous les matins sur le stand PAV44.
>>> En savoir plus

  • Jusqu’au 30 novembre : Festival de films Alimenterre, en France, en Europe et en Afrique de l'ouest.

Ce festival de films est l’événement central de la campagne Alimenterre, coordonnée par le Comité Français pour le Solidarité Internationale (CFSI). Il invite à des débats avec des spécialistes d'Europe ou d'Afrique sur les enjeux agricoles et alimentaires Nord - Sud, à partir d’une sélection de films documentaires.
>>> Toutes les infos

  • 15 - 22 novembre : Festival du Film Nature et de l’Environnement, à Mûrs Erigné (49).

Devenu un événement incontournable de l’Anjou, ce festival présente des courts, moyens et longs métrages sur les enjeux fondamentaux liés à notre environnement et à notre santé.
Lieu : Centre culturel Jean Carmet, route de Nantes - Mûrs Erigné.
En savoir plus : festivalfilmnature-murserigne.org

  • 17 Novembre : Congrès "Comment évoluer ?", Auditoire du Centre Culturel de Woluwe St-Pierre, à Bruxelles.

Avec Anne Van Stappen (docteur en médecine, formatrice en communication non-violente), Michèle Cédric (journaliste), Dimitri Haikin (psychologue, passionné par le désert), Raouf Oufkir (emprisonné 20 ans par Hassan II, auteur de "Pourquoi l’intégrisme nous menace"), Riccardo Petrella (politologue et économiste italien), Pierre Rabhi et Jeanne Siaud- Facchin (psychologue, auteure de "Comment la méditation a changé ma vie").
Infos : 0032 (0)2- 773 05 88 ou michelecedric@skynet.be

  • 20 et 21 novembre : Café Auroville "Sadhana Forest : une réponse pour ré-enchanter le monde ?", à Paris 11e.

Auroville International France et Sadhana Forest France vous invitent à un Café Auroville pour débattre avec Aviram Rozin de la reforestation pour réparer les éco-systèmes.
À 19h, à l’Atelier Fil Rouge, 4 rue Saint Nicolas - 75011 Paris.
Gratuit, mais réservation obligatoire.

  • 22 novembre : Conférence de Pierre Rabhi, à Velaux (13).

À 20h30, à l’Espace NoVa Velaux - 997 avenue Jean Moulin - 13880 Velaux.

  • 22 - 25 novembre : Salon "Vivez Nature", Eurexpo - Lyon, Chassieu (69).

Venez découvrir une centaine d’exposants qui vous feront découvrir leur métier et leurs produits du terroir ! Agriculteurs, producteurs, viticulteurs et artisans seront là pour vous accueillir.
Informations : vivez-nature.com

  • 29 novembre : Soirée débat "Éducation alternative ou alternative à l'éducation ?", au Perreux-sur-Marne (94).

Colibris, l'association Boucles de la Marne, et le Printemps de l'Éducation vous invitent à participer à cette soirée débat sur le thème "Éducation alternative ou alternative à l'éducation : quels champs des possibles pour une société dont les valeurs centrales sont des libertés de l'éveil, d'épanouissement, et d'émancipation de chaque individu ?"
Lors de cette soirée, venez échanger avec André Stern, Patrick Neveu, Charlotte Dien et Isabelle Combes !
À 19h à l'Auditorium - 62 avenue George Clémenceau - 94170 Le Perreux-sur-Marne.
Des questions ? tntbouclesdelamarne@gmail.com
>>> S'inscrire

  • 29 novembre - 1er décembre : salon NaturaBio, Grand Palais, Lille (59).

C’est le plus grand salon bio et bien-être du Nord avec 11.000 visiteurs et 200 exposants ! Ateliers pratiques corporelles, conférences, dégustation, ateliers cuisine et créatifs... il y aura pour tous les goûts !
Infos : www.salon-naturabio.com

  • 29 novembre : Colloque "De nouvelles solutions pour préserver le foncier agricole", à Paris 15e.

Organisé par Terre de Liens, ce colloque présentera la nouvelle fondation reconnue d’utilité publique et les partenariats à développer pour préserver les terres agricoles et favoriser installations et transmissions sur nos territoires.
>>> Programme et inscription

  • 29 - 30 novembre : Assises transfrontalières de la société civile "La Transition dans le Grand Genève", Genève.

Après les monnaies locales et l'économie, l'écopsychologie et la Transition intérieure, EcoAttitude vous convie à une manifestation destinée à renforcer la cohésion et le lien social dans la société civile transfrontalière du Grand Genève.
Lieu : Maison des Associations, 15 rue des Savoises, à Genève.
>>> Plus d’infos

  • 28 novembre - 7 décembre : Festival international du Film Nature et Environnement, au Cinéma le Méliès, à Grenoble (38).

Rendez-vous désormais incontournable pour les amoureux du cinéma et de la nature, ce festival vous propose une riche sélection des meilleurs films écologiques du moment !
>>> En savoir plus

  • 19 décembre : Pierre Rabhi, Témoin des Possibles, à Paris.

Pierre Rabhi sera le "témoin" du jour et invite des personnalités à venir témoigner à ses côtés : Jacques Salomé, Erwan Lecoeur, Claire Chanut.
À 18h30, au Théâtre du Palais Royal, 38 Rue de Montpensier - 75001 Paris
>>> En savoir plus
Réservations : 01 42 97 40 00 / resa@theatrepalaisroyal.com

18/11/2013

La Petite note de Franck... (59)

"A travers la notion de jeu d’instincts, il entend trouver un axe d’appréhension du dynamisme des images du rêve. Ainsi, si toute interprétation est, chez lui, l’élaboration d’un jeu des instincts, il s’agit ici dans le cas du rêve d’observer son œuvre en se demandant ceci :

Quels sont les jeux des instincts qui se rattachent au rêve ? Et comment à travers les jeux de l’homme avec le rêve arrive-t-on à définir clairement ce qu’est ce dernier en deçà de ses diverses utilisations ? Comment repenser le rêve et ses caractéristiques au-delà de ses utilisations incomplètes voire frauduleuses dans l’histoire ? La tâche sera de comprendre chez Nietzsche une tentative originale qui se donne comme programme de penser le rêve comme « le jeu de l’homme avec la réalité".


Source : Denis MORIN

"Le rêve dans la philosophie de Nietzsche"


 

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Mon rêve et moi...


 « Donner un sens à mon rêve à ma belle utopie est celle de croire déjà à mon rêve, de lui donner une réalité encore abstraite, mais bien présente dans mon esprit. Faire corps avec elle et non seulement par l’esprit, la détacher, la promouvoir dans un ensemble de choses bien familières, lui trouver une cognition avec l’ensemble du cosmos et de la planète pour lui faire respirer un bonheur à construire, mais surtout à vivre. De cela, faire que les matières grises s’élancent dans l’élasticité et l’adaptation de ce rêve dans une concrétisation polyvalente, dans une souplesse des esprits. Osons lier nos connaissances réciproques à la fabrication, à l’émergence de ce vœu suprême, sachons le voir tous ensemble dans l’ultime minute où il viendra notre réalité, par sa seule force, sa seule combinaison fonctionnelle dans sa capacité à ce qu’il devient. Mon rêve, vous le connaissez, cher lecteur de mon blog : UN NOUVEAU MONDE FAIT D’AMOUR... où il faudra apprendre à se connaître et se tolérer dans nos différences ! Cela sera la plus belle tâche que nous aurons à accomplir être : DES ALTRUISTES ! À nous de savoir connaître le sens de ce mot : Altruiste… Et notre grand rêve ne sera alors qu’une étape à notre devenir. Travailler avec un autre état d’esprit, pour cultiver la Terre de façon à la respecter, savoir ce qui est bien pour nous et utile dans le monde des nouvelles technologies… Ne pas avoir envie de richesses de ce qu’il nous semble respectable de posséder, comprendre le milieu où l’on vit, chercher à faire des choses positives aussi bien dans l’architecture, dans le respect de la nature, dans toutes choses que l’on pense être dans cette direction. Voir dans l’évolution de nous-mêmes, dans nos rapports au quotidien, dans les difficultés, dans notre approche de la science, la santé, etc.


Notre grand devenir c’est nous-mêmes ! »


 (Rendez-vous pour une nouvelle... note de Franck)

 

à suivre...

 

26/10/2013

The story of stuff...

23/10/2013

Nouveau monde... (7)

 

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CROISSANCE OU DÉCROISSANCE ?

Journalistes, ministres, statisticiens, économistes, syndicalistes, dans leur grande majorité, présentent la croissance économique comme le seul projet viable de société, le seul levier capable de nous apporter emplois, bonne santé économique et prospérité.
Pourtant, si le PIB mondial n’a cessé de croître ces 50 dernières années, les inégalités grandissantes entre individus et la surexploitation des ressources naturelles nous mènent tout droit à des impasses sociales et écologiques. L’idéologie de la croissance économique et matérielle indéfinie est-elle réellement facteur de développement, de progrès et de mieux-être pour l’humanité ? Ce modèle de société est-il durable et généralisable ?
L’heure du changement de logique semble venue, où le "toujours plus", effréné et insensé, laisse place à la sobriété heureuse, consciente et responsable.

En résumé, faire le choix de la croissance ou de la décroissance c’est :
  • prendre en compte les ressources dont nous disposons vraiment, individuellement et collectivement ;
  • nous demander si le PIB reflète vraiment la qualité de vie humaine et la satisfaction des habitants d’un pays dans une réflexion citoyenne personnelle et collective ;
  • faire les choix personnels qui sont en adéquation avec notre éthique, nos valeurs et notre vie personnelle, familiale et citoyenne, dans une contribution "cré-active" au quotidien.

L’impossible croissance illimitée sur une planète limitée

Chercher à tout prix une croissance économique illimitée sur une planète aux ressources limitées est un non-sens qui nous voit couper la branche sur laquelle nous sommes assis. Si tous les habitants de la terre se mettaient à consommer comme un occidental moyen, il nous faudrait l’équivalent de trois planètes pour subvenir aux besoins de tous.

Ce mode de vie et de ponction des ressources naturelles n’est ni généralisable ni soutenable à long terme.

Depuis la fin des années 70, l’empreinte écologique de l’humanité a dépassé la capacité biologique de la planète : nous consommons davantage de ressources que la terre ne peut théoriquement nous en fournir de manière pérenne.
Nous vivons au-dessus de nos moyens.

"The story of stuff", d'Annie Leonard, nous dévoile le cycle de vie de tous ces objets que l'on consomme au quotidien sans vraiment savoir d'où ils viennent ni où ils vont. Elle explique d'une façon ludique mais sérieuse comment fonctionne l’économie globale matérialiste et ses conséquences sur l’économie, l’environnement et la santé.
Vous pouvez voir le film, en VO sous-titrée en français, sur le site www.storyofstuff.org
Accrochez vous, ça va vite mais c'est passionnant !

L’effet Kobe ou le non-sens de l’indice du PIB

Le PIB mesure sous forme monétaire la quantité de biens ou de services produits dans un pays sur une période donnée.

Mais il ne prend nullement en compte les raisons ou les effets qualitatifs de ces productions. Outre la fracture sociale, la pollution, le réchauffement climatique, la destruction des écosystèmes, l’épuisement des ressources... sont non seulement ignorés mais parfois même comptabilisés de manière positive dans le PIB.

L’effet Kobe fait référence à un grave tremblement de terre au Japon, ayant touché des milliers de victimes, mais ayant permis de relancer l’économie par la reconstruction nécessaire des voiries, infrastructures, logements…

Les événements les plus destructeurs comme les inondations, les accidents de voiture, les hospitalisations… stimulent paradoxalement la croissance économique et haussent l’indice de « développement » d’un pays.

Que faire ?

Sortir de l’idéologie de la croissance indéfinie signifie pour chacun d’entre nous limiter nos prétentions, lâcher notre insatisfaction perpétuelle, renoncer à nos désirs de « toujours plus » et choisir la sobriété volontaire et heureuse.

Une société qui fait ce choix éthique et politique reconnecte ses priorités à l’essentiel : satisfaire les besoins fondamentaux de tous les citoyens, veiller à la répartition équitable des biens légitimes, édifier une organisation sociale et territoriale dans le respect de l’équilibre naturel, encourager la participation « cré’active » de chacun au service de l’intérêt collectif. Aux logiques de compétition et d’antagonisme, il est possible de substituer les valeurs de coopération et de complémentarité.

L’indicateur du PIB pourrait être abandonné pour laisser place à de nouveaux outils de mesure du progrès réel de l’humanité, qui tiendraient compte de l’adéquation du développement économique et matériel avec la capacité biologique de la terre et du bien-être social.
De nouvelles approches voient le jour : PID (Produit Intérieur Doux), IBH (Indice de Bonheur Humain), IDH (Indice de Développement Humain).

Croissance et fracture sociale

La croissance économique se calcule de manière globale sans prendre en compte le niveau d’équité de répartition des richesses entre individus. L’idée qu’elle serait un vecteur de réduction des inégalités n’est désormais plus recevable.

Bien au contraire, 20% des habitants de la planète s’accaparent 80% des ressources ; les riches sont de plus en plus riches et les pauvres de plus en plus nombreux. Selon les Nations Unies, les 225 personnes les plus riches ont une fortune supérieure à ce que gagnent chaque année les trois milliards d’individus les plus pauvres (soit près de la moitié de l’humanité !).

Les inégalités au sein d’un même pays ne cessent de croître également. En Europe centrale et de l’est, malgré un fort taux de croissance ces dernières années, la proportion d’habitants vivant avec moins de un dollar par jour est passée de 0,5% en 1990 à 3,5% en 2005.

La croissance, facteur de bien-être ?

Au regard des sociétés occidentales, où le stress, l’alcoolisme, la violence, les suicides, les maladies de dégénérescence, la solitude ne font qu’augmenter, travailler plus, dépenser plus, posséder plus, ne semble pas être un gage de bonheur.

La courbe de croissance économique dans les pays développés est d’ailleurs quasiment parallèle à celle des ventes en volume d’antidépresseurs. Ainsi, le PIB ne reflète-t-il pas la qualité de vie humaine et la satisfaction des habitants d’un pays.

On a ainsi de quoi s’interroger sur la pertinence de la croissance en tant qu’indicateur de progrès et se demander à quoi servent nos efforts acharnés pour son développement, si cela ne contribue pas à offrir plus de bonheur aux vivants ?

Serait-elle seulement une idéologie savamment distillée à toute l’humanité pour la défense des intérêts privés de quelques uns et communément admise par tous par habitude ou
résignation ?

(source : Association "Colibris")

 

01/10/2013

Nouveau monde... (5 & 6)

Le monde selon Pôl kraly… (tel que je le conçois dans un premier temps)

 

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... Est un monde où l’innovation, sur toutes ses bases, se crée, dans tous les domaines, nous devons être capables de nous adapter. Élargissons notre champ de vision par les technologies du futur ;  tout cela par une symbiose harmonieuse avec notre environnement, que l’humain sort grandi par la conjonction de tout cela. Se diriger vers le futur ne se fait pas au détriment de la nature, agissons avec la biodiversité. Établissons un équilibre quasi parfait, essayons de connecter nos intelligences individuelles à toutes ces synergies merveilleuses qui par enchantement (et je le crois) viendront nous aider à nous comprendre. Je rêve d’une interconnexion collective de nos consciences par le seul fait d’une émulation profonde de notre être intérieur par l’amour, l’amitié, le respect, la tolérance, l’intelligence… qui peuvent permettre d’atteindre ses idéaux. Que notre monde ne soit pas fait par la compétition absurde entre les personnes, que chacun trouve sa place dans ce qui se propose de pouvoir acquérir dans un travail qui lui est propre. De promouvoir son « travail » sans recherche à acquérir plus d’argent ;  trouvons une alternative différente pour que les hommes puissent s’épanouir dans ce qu’ils font, sans forcément avoir des comptes à rendre, si l’on pouvait travailler selon un rythme bien propre à soi. Et supprimer d’être de plus en plus riche, supprimer cette compétition ridicule qui tue l’homme à la base qui l’empêche d’évoluer dans un climat serein. Il faudrait revoir le travail tel qu’il est conçu de nos jours avec un chef d’entreprise, puis des cadres supérieurs, puis des actionnaires qui pourrissent l’éveil de ce que certains cherchent à faire sérieusement et avec application. Donner la chance à se trouver un métier qui nous transforme. Mettre des formations en place à l’aide de ces métiers de demain pour qu’ils soient plus riches et plus captivants. Arrêtons ces hiérarchies octogonales et pyramidales qui vont du chef au simple ouvrier, si l’on pouvait écouter tout le monde sur une bonne base de départ, sans un salaire exorbitant pour les uns. Que les personnes de la naissance à la mort puissent vivre décemment... Je propose :  « UN REVENU UNIVERSEL DE BASE », qui selon moi serait bien utile à tout individu pour émerger et qui se voudrait salutaire. Je ne crois pas à la croissance dans ce monde que nous vivons. Bâtissons une autre planète plus intelligente, plus humaine, plus respectable des êtres qui peuplent cette terre, qu’il soit animal, végétal, humain ou autres… L’avenir qui se dresse devant nous, est une grande opportunité de s'ouvrir à ce monde dont je parle, sachons monter dans ces wagons de l’espoir. Un grand effort est à faire pour que toutes les consciences de ce monde d’aujourd’hui sachent acquérir ce Nouveau Monde. La solidarité, la compréhension, la tolérance, les différences culturelles, religieuses... peuvent ne pas être des obstacles si nous formons notre intellect à ce grand rêve auquel je crois. Je le formule encore : « CE MONDE SE FERA PAR UNE INTERCONNEXION COLLECTIVE DE NOS CONSCIENCES PAR LE SEUL FAIT D’UNE ÉMULATION PROFONDE DE NOTRE ÊTRE INTÉRIEUR PAR L’AMOUR, etc. » Si demain, la vie venait à changer, il faudrait se montrer respectueux et être à l’écoute de cette vie nouvelle, le mot humilité aurait, alors, toute sa force !  


à suivre... 


Le monde selon Pôl Kraly… (Tel que je le conçois dans un deuxième temps... après cela, à nous de définir son évolution)


Je disais dans « le monde tel que je le conçois dans un premier temps », que ce monde se fera par une interconnexion collective de nos consciences par le seul fait d’une émulation profonde de notre être intérieur par l’amour, l’amitié, la tolérance, etc.. Oui, j’y crois intensément mais cela se fera par une acceptation individuelle de la personne à cette transformation. Dès lors que nous aurons accepté de jouer le jeu et d’entrer dans ce Nouveau Monde, il faudra lâcher prise sur quelques mauvaises habitudes, et faire un travail sur soi. Mais je vois encore plus loin, en digne utopiste que je suis, cela se fera « assez facilement », car je crois fortement à l’émulation profonde et collective qui se chargera de cette tâche avec discernement et intelligence. Je viens d’achever un livre "Chemins escarpés" de pensées philosophiques et spirituelles (je suis à la recherche d’un éditeur) où je parle de la méthode de ce « concept » tout à fait révolutionnaire. S’il se devait d’avoir une révolution, elle se doit d’être pacifique et sans effusion de sang, je la vois ainsi et ce ne sont pas les idées d’extrême droite qui viendront perturber ce changement. Car c’est dans les têtes de ceux que j’appelle les « Éveilleurs de Consciences », des gens tout à fait à l’opposé de ces pensées fascisantes et dépassées, que se fera ce changement. Ce monde ainsi changé évoluera dans le bon sens et sera meilleur que celui qui s’achève (je veux dire le monde capitaliste), le monde auquel j’aspire commence à émerger et c’est tant mieux. Dans l’urgence de résoudre les problèmes de ce monde finissant, je souhaiterais que toutes les intelligences et chefs d’État se mettent autour d’une table pour envisager ce nouveau paradigme, il en est encore temps, c’est là notre unique chance de vivre autrement et mieux en respectant la nature et sa biodiversité, car c’est bien là que la question urgente dont il faudra trouver la réponse immédiate. Je ne suis pas un gourou, mais un être de conscience qui prend le temps de penser, de vivre et d’espérer pour le bien de l’humanité tout entière!

 

 


11/09/2013

La Petite note de Franck... (57)

« La race humaine doit sortir des conflits en rejetant la vengeance, l’agression et l’esprit de revanche. Le moyen d’en sortir est l’amour. »

 

de Martin Luther King

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N’ayons pas peur du monde qui se formule et qui pointe, le monde doit changer, et il change... L’utopiste que je suis voit ce changement sans effusion de sang. Je rêve, grossièrement, à ce changement dans une mutation intelligente qui passe par les consciences de celles qui s’allument de plus en plus dans ce monde-là;  je veux dire par là que ce monde capitaliste tant à s’essouffler et à venir à bout de souffle. La transition se fera lentement ou très vite, moi je vois des signes probants, il suffit d’avoir un œil observateur sur les choses. Je demande à ceux qui veulent observer d’avoir ce privilège du recul et une bonne analyse ensuite fera son œuvre. Être à l’écoute par les images, les radios, les livres; tout ce qui doit nous interpeller à l’oreille doit être déchiffré, mais il faut savoir discerner les paroles ou les écrits de chacun. Cela s’acquiert par l’assiduité prolongée de l’intelligence au service de ce changement, il faut l’avoir (ce monde nouveau) dans sa tête déjà, je veux dire par là pour que cela change positivement. Le grand utopiste que je suis, formule ce changement tout en douceur dans sa « petite » tête, si l’on veut que cela se passe sans effusion de sang, il faut déjà le penser toute en bien-être dans son cerveau, et par télépathie l’inscrire dans les cerveaux réceptifs. Le monde sortira de son marasme actuel par cette belle et généreuse utopie, et ceux qui pensent comme moi savent en conséquence, qu’il faut le rêver pour qu’il puisse naître!

 

 

(Rendez-vous pour une nouvelle... Note de Franck)

 

à suivre...

10/09/2013

Le Monde selon Caroline Fourest... (1)

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Ecoutez

Le Monde selon Caroline Fourest..

 Une

Emission de France Culture en podcast.

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