Allez les yeux invisibles vers le beau.

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06/08/2013

La Petite note de Franck... (55)

note,réflexion,philosophie,comprendre,savoir,utopie,bien-être,changement,monde,éveilleurs,conscience,intelligenceSi dans nos têtes rêveuses (pour la plupart) nous rêvions tous ensemble à un autre monde ! Alors que ce monde du capital expire, on pourra dire que ceux qui font travailler les autres n’auront plus besoin de ses salariés. Que le monde du travail aujourd’hui n’ait vocation qu’à disparaître, car il ne sert que les intérêts financiers des grosses entreprises, de leurs dirigeants, de leurs actionnaires et toutes ces masses hideuses des requins de la finance… Je propose une autre solution : Le rêveur, je suis peut-être un doux rêveur, en somme un utopiste, mais on donne comme définition du mot UTOPIE : « Pays imaginaire où les habitants sont gouvernés d’une manière idéale et sont parfaitement heureux ». Tout d’abord, je suis pour « Un revenu universel de base » (cliquez sur le lien… Revenu universel)  ; qui donnera la possibilité à chaque individu sur cette Terre à un salaire : de sa naissance à sa mort (quelle belle idée ! Enfin des personnes pourront vivre décemment). Ce changement-là ne peut qu’éclore par une majorité de gens dont les consciences se sont éveillées. Dans mon roman « Méloé », je parle de ces gens « Les Éveilleurs de Conscience » et puis j’en fais le prolongement, dans mon merveilleux roman, à compte d’auteur « Ce que doivent être les choses »... Où je parle d’une société en 2081 qui grâce à la conscience de ces personnes qui ont éveillé ces gens-là à la télépathie,  à l’intelligence, leur rapport à la nature, aux êtres, aux végétaux, aux choses de l’esprit, de la pensée à la pensée. Lorsque ce grand moment arrivera où « DES GENS DE "BONNES CONSCIENCES" SE METTRONT AUTOUR D’UNE TABLE POUR DISCUTER ET SE DIRE QUE CE MONDE CAPITALISTE N'EST PLUS CELUI QUI PERMET A L'HOMME ET AUX HOMMES DE VIVRE DECEMMENT, ET QU'IL FAUT DONNER SA CHANCE UN AUTRE MONDE PLUS HUMAIN » en évitant toute effusion de sang et que ce monde nouveau sera le fruit de l’intelligence offerte à la raison !


(Rendez-vous pour une nouvelle petite... de Franck)


à suivre...

02/08/2013

"Ces affreuses années"...(suite & fin)

3. La prise en compte des discriminations
années,50-60,social,réfexion,réalités,comprendre,savoir,économie,discriminations,conséquencesLa société française s'ouvre à la diversité, notamment en matière de mœurs. La famille traditionnelle demeure un modèle de référence et un cadre majoritaire, mais elle recule en proportion : le divorce, autorisé depuis lexixe siècle, s'est banalisé, ainsi que les naissances hors mariage encore stigmatisées dans les années 1930. Les familles recomposées sont de plus en plus nombreuses. L'égalité entre hommes et femmes est désormais non seulement reconnue mais protégée : ainsi, depuis 2000 à certaines élections, la « parité » est la règle, les partis politiques devant présenter autant de femmes que d'hommes.
Les années 1960 voient se manifester la revendication des femmes à maîtriser leur sexualité mais surtout leur fécondité. Dans le même temps, elles accèdent massivement au travail salarié. Les revendications féministes dénoncent la condition des femmes aliénées par le travail salarié, le travail domestique et les enfants. Pour s'émanciper et accéder à une meilleure qualité de vie, il semble nécessaire que la femme puisse maîtriser sa fécondité. Une première étape a lieu en 1967 avec la loi initiée par Lucien Neuwirth autorisant le recours à la contraception orale (pilule contraceptive). Mais le recours à la contraception n'est pas remboursé par la Sécurité sociale et, surtout, l'avortement reste illégal. C'est en 1975 que Simone Veil parvient, dans un climat politique tendu, à faire voter la légalisation de l'interruption volontaire de grossesse. Cependant, si les femmes ont désormais la maîtrise de leur fécondité, leur représentation et leur rôle dans la société ne changent qu'avec lenteur.
Depuis les années 1980 enfin, la tolérance envers l'homosexualité progresse : en 1999, le PACS a constitué une forme de reconnaissance officielle des unions homosexuelles. À l'époque, certaines de ces avancées ont été violemment contestées et le sont encore par une partie de la population, notamment en ce qui concerne l'IVG et le PACS.

Conclusion

Depuis 1958, la France s'est donc profondément transformée, et à un rythme qui s'accélère. Le meilleur exemple de cette accélération est sans doute la révolution informatique, qui touche le grand public depuis les années 1980 environ : c'est un domaine où bien souvent les parents doivent se mettre à l'école de leurs enfants… Rien d'étonnant à ce que certains se sentent dépassés, d'autant que ces mutations très rapides ont lésé des catégories de la population, comme par exemple les paysans ou les ouvriers touchés par le chômage. On peut se demander aujourd'hui en quoi la persistance des inégalités et la montée du communautarisme influencent le vote des Français.

© rue des écoles

03/07/2013

La Petite note de Franck... (54)

Unknown.jpegSuis-je un optimiste béat, un doux rêveur (comme le pensent mes amis) pour résumer un utopiste ? Je ne pense pas être la seule personne au monde qui imagine que ça bouge positivement à travers la planète. Je vois chaque jour des initiatives heureuses et conscientes à chaque coin du globe. Tenez, par exemple, l’écologie fait un grand « boum » dans les têtes et je vois, moi qui regarde ou écoute les reportages ou documentaires, une prise de conscience individuelle ou collective de la population pour améliorer le sort de la planète. Même des actes de solidarité ou des effets de bon sens que des gens apportent au quotidien pour une aide salutaire. Ou d’autres initiatives pour parfaire un bien-être immédiat pour que cela aille mieux pour nous tous. Les grincheux ne cesseront pas de nous dire que tout va mal, que ce monde va à sa perte, mais ne voient pas ou ne cherchent pas à voir (ce qui est plus grave) ces choses positives. Non, je ne suis pas pessimiste pour notre avenir et arrêtons de voir le mal partout. Mais il est sûr qu’il y a beaucoup à faire pour que ça change radicalement, laissons le temps au temps pour nous permettre de vivre mieux. En tout cas, la conscience humaine est en marche pour ce changement-là ! Utopiste même dans mes écrits, je veux être, je suis l’auteur d’un roman (publié il y a 5 ans à compte d’auteur) qui s’intitule « Ce que doivent être les choses » où je raconte le monde en 2081, un monde fait de conscience, de bon sens et d’intelligence dont les rapports humains se dévoilent au fil du roman et nous font comprendre les connexions entre les êtres aussi bien des humains, des végétaux et même de toutes les intelligences du cosmos  ! Je vous invite à lire ce beau roman (que j’ai envoyé aux Maisons d’Édition) sur mon blog, (un petit rappel pour une lecture judicieuse) oublier les cinq premières pages et commencer l’ouvrage au chapitre « Éveil à la nourriture des choses »…


Demain, est devant nous, il suffit d’y croire !


(Rendez-vous pour une nouvelle... note de Franck)


à suivre...

30/06/2013

"Ces affreuses années"...(4)

Unknown.jpegIII. L'évolution des croyances, des pratiques culturelles et des mentalités

1. L'évolution des croyances
En 1972, 87 % des Français se disaient catholiques contre 64  % aujourd'hui. La pratique religieuse s'est effondrée : à l'heure actuelle moins de 5 % des Français vont à la messe. La culture religieuse recule et les recommandations de l'Église en matière sexuelle, notamment, ne sont plus guère suivies.
Par ailleurs, l'immigration a amené un autre changement radical avec l'apparition d'une communauté musulmane importante. L'islam est aujourd'hui la deuxième religion de France. Il demeure cependant limité, pour l'essentiel, aux milieux issus de l'immigration.
2. La montée de la culture de masse : vers la démocratisation et la diversification ?
Les Français ont plus de loisirs aujourd'hui qu'en 1958, grâce à l'allongement des vacances, à une plus grande longévité et donc du temps passé à la retraite, grâce enfin à la diminution globale du temps de travail (40 heures par semaine en 1945, 39 heures en 1982, 35 heures en 1998 mais remises en cause depuis 2002 par les incitations fiscales aux heures supplémentaires). Ainsi, les loisirs, avec l'industrie touristique, sont devenus l'un des secteurs les plus actifs de l'économie : les Français partent de plus en plus, et de plus en plus loin. Les mass medias et les industries de la musique se sont aussi considérablement développés et ont acquis une prospérité sans précédent.
Entre 1945 et 1975, la durée moyenne des études s'étant elle ausi allongée, le nombre d'adolescents scolarisés de plus de 14 ans passe de quatre cent cinquante mille à quatre millions. Grâce à un accès plus facile aux études supérieures, l'école joue pleinement son rôle d'ascenseur social. Cela revient à dire que les enfants vivent mieux que leurs parents et que les enfants d'ouvriers ne sont plus nécessairement eux-mêmes ouvriers comme autrefois. Le développement des moyens matériels et l'allongement de la scolarisation ont finalement rendu la culture accessible à un plus grand nombre de personnes et créé une catégorie nouvelle de consommateurs de biens culturels. Ce phénomène émerge dans les années 1960 lorsque les « baby-boomers » arrivent à l'adolescence, et se généralise par la suite. 
L'État se dote d'une politique culturelle – dès 1958, un ministère des Affaires culturelles confié à André Malraux est créé – et impulse de grands projets liés à la Culture. Ce sont les « grands chantiers » de la Ve République : le Centre Beaubourg, le Grand Louvre, la BNF, le musée des Arts premiers.

© Rue des Ecoles


à suivre...

19/06/2013

"Ces affreuses années"...(3)

II. L'évolution de la population et des modes de vie

société,50-60,évolution,démographie,population,modes de vie,facteurs,exode rural,croissance urbaine,réflexions,comprendre,savoir,philosophie1. L'évolution démographique et ses facteurs
La population a augmenté de 17 millions entre 1954 et le début du xxie siècle, soit davantage qu'entre 1700 et 1950. De 1940 à 1965, la natalité a augmenté, c'est ce qu'on appelle le « baby-boom », puis celle-ci a diminué pour se stabiliser depuis quelques années à un niveau qui assure à peine le renouvellement des générations.
L'immigration explique en partie l'augmentation de la population : un Français sur quatre a aujourd'hui au moins un grand-parent d'origine étrangère. Encouragée pendant la période de reconstruction et les Trente Glorieuses, l'immigration est toutefois stoppée lorsque survient la crise économique. Il s'agit de réduire le nombre de travailleurs étrangers en interdisant leur entrée et en incitant ceux qui sont déjà présents à repartir dans leur pays d'origine. Les filières clandestines subsistent mais le regroupement familial est de plus en plus limité, tout comme l'accueil des réfugiés.
L'espérance de vie a elle aussi nettement progressé : la population, après avoir rajeuni à l'époque du baby-boom, compte désormais une proportion de plus en plus importante de personnes âgées. La différence entre l'espérance de vie des hommes et celle des femmes se creuse, au profit de ces dernières.
2. Exode rural et croissance urbaine
Du fait des changements dans l'agriculture, la France connaît une accélération de l'exode rural et une urbanisation rapide, caractérisée par la croissance des banlieues. L'exode rural atteint son apogée dans les années 1950. Les transformations du territoire français sont telles que le sociologue Henri Mendras évoque la « fin des paysans », c'est-à-dire la fin d'un mode de vie. Depuis les années 1980 cependant, les campagnes ont cessé de se vider, accueillant de plus en plus de non-agriculteurs.
La France s'est nettement urbanisée : à peine majoritaires en 1945, les villes rassemblent désormais 77 % de la population. Au cours des Trente Glorieuses on assiste à l'émergence de la « grande distribution » qui permet d'écouler la production et les biens de consommation dans les grands centres urbains. En 1963, Carrefour ouvre à Sainte-Geneviève-des-Bois, dans la banlieue parisienne, le premier hypermarché de France et d'Europe. Parallèlement, certaines banlieues concentrent les populations en difficulté et il s'y déroule de violentes émeutes, comme en novembre 2005.

© Rue des Ecoles

à suivre...

 

14/06/2013

La Petite note de Franck... (53)


images-1.jpegLe monde capitaliste est en train de s’écrouler, l’émergence d’un Nouveau Monde apparaît,  pour un monde humaniste et solidaire. La Grèce et la Turquie éclatent, les Printemps arabes sont dans la mouvance d’une mutation qui se fera par les réseaux sociaux et malheureusement aussi par les armes, tous les pays du Sud en ont ras le bol de ses politiciens qui sont, 
pour la plupart, corrompus (je ne dis pas que tous sont des voyous, ne tombons pas dans un amalgame dangereux). Le monde de la finance quant à lui est à revoir  ; les banques ne cherchent que leur intérêt. Et le petit citoyen que je suis, pense, à un revenu universel pour tous !…  Il pense, aussi, à un changement radical des pensées et des modes de vies actuelles. Être dans le positif et croire en l’avenir j’y crois... et je le verrais bien cet avenir avec les jeunes. Confidence pour confidence (titre d’une chanson), je pense sincèrement que les jeunes vivront mieux que leurs parents. Vous vous demandez comment  : par les nouvelles technologies, les nouveaux métiers de demain (qui seront plus captivant) ;  par l’informatique et les réseaux sociaux qui font bouger les sociétés de ce monde et font que les mentalités changent, que les pensées deviennent plus positives que négatives. D’ailleurs, ce sont les pensées négatives qui font avancer les pensées positives pour le bien de cette planète. Les consciences des peuples font leur travail de sape pour le bien de l’humanité ! Croyez-moi… Il faut créer un nouveau paradigme pour une planète plus vivable.



(Rendez-vous pour une nouvelle... note de Franck)


à suivre....

11/06/2013

Pour un revenu universel...

revenu,universel,vivre,liberté,bien-être,raisonnable,communauté,fraternité,solidarité,intelligent,actionAu delà des clivages sociaux, des corporations, des écoles de pensée, nous, signataires du présent appel, voulons contribuer à provoquer dès maintenant une transformation réaliste et constructive de la société : celle du revenu de vie.

Qu’est-ce que le revenu de vie?

L’idée est soutenue de longue date par de nombreuses personnalités, de tous horizons politiques, de toutes confessions et de toutes nationalités. Elle est connue sous des appellations diverses : allocation universelle, revenu d’existence, revenu citoyen, revenu universel, revenu social garanti, dividende universel, revenu de base, etc. (cf. Wikipedia)

Le revenu de vie ne doit pas être confondu avec le RMI, le RSA et autres allocations attribuées de manière conditionnelle. Le revenu de vie, lui, est automatique, inconditionnel et inaliénable. Il concerne tout le monde, riches ou pauvres. Il est attribué à chaque individu, de la naissance à la mort. Son montant est suffisant pour garantir à chacun une existence décente – quoi qu’il arrive -. Il est cumulable avec les autres revenus (salariés ou non). Il ne peut être saisi aux plus modestes, mais il entre dans l’assiette d’imposition des plus aisés.

Le revenu de vie ne rémunère pas l’emploi, mais le travail au sens large

Ni l’emploi salarié, ni les revenus du capital, ni les aides sociales classiques ne peuvent prétendre désormais garantir le droit à l’existence de chacun tel que défini à l’article III de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme. C’est un fait : en raison de l’informatisation et de l’automatisation de la production, le plein-emploi ne peut plus être atteint. Par contre le travail est toujours d’actualité, et sa tâche est immense.

Il est plus que jamais nécessaire que chacun puisse travailler, d’abord à prendre soin de lui-même, de ses parents, de ses enfants et de ses proches, travailler ensuite pour contribuer aux biens communs accessibles à tous (connaissances, arts, culture, logiciels, etc.), travailler enfin à inventer et à mettre en oeuvre à toutes les échelles les moyens qui permettront de léguer une planète vivable aux générations futures.

Loin d’être un encouragement à la paresse, nous affirmons que le revenu de vie permettra à chacun, dans la mesure de ses capacités et de son désir, de s’engager de manière sereine, libre et responsable, dans des travaux essentiels pour l’intérêt général que les emplois traditionnels n’ont pas vocation à assumer.

Comment financer le revenu de vie ?

Il s’agit précisément d’engager pour le financement du revenu de vie tous les moyens alloués à l’entretien de la chimère du plein emploi. L’institution du revenu de vie implique pour les pays qui le mettront en place de revoir leur système fiscal et social, et probablement de reprendre un certain niveau de contrôle sur la création monétaire qu’ils avaient abandonné aux banques. Les calculs des économistes qui ont réfléchi en profondeur à cette question montrent que cela est parfaitement possible (cf. simulations).

Il n’est nul besoin d’attendre quelque cataclysme pour envisager cette profonde transformation. Cela peut se faire progressivement et sans dommage, à condition qu’il existe une prise de conscience et un engagement suffisamment massif. C’est à cet engagement que nous, signataires de cet appel, voulons amener.

Qu’avons-nous à perdre ?

L’illusion d’un emploi salarié et dûment rémunéré pour tous s’est volatilisé avec la crise. Avec cette disparition, va s’évanouir aussi pour beaucoup le réflexe de se définir en fonction de son activité professionnelle. Il ne faut pas le cacher, l’institution du revenu de vie amènera probablement à s’interroger plus encore, sur notre identité, notre rôle dans la société, notre aspiration à procréer en regard des problèmes de démographie, et sur la nature de ce que nous voulons transmettre à nos enfants.

L’institution du revenu de vie ne va pas sans mises en cause profondes de nombreuses habitudes. Nous pensons néanmoins que cette mutation des consciences et des comportements peut s’effectuer sans violence, et dans un esprit d’entr’aide mutuelle afin que se développe une nouvelle culture de la responsabilité.

Qu’avons-nous à gagner ?

L’institution du revenu de vie remet en cause le “travail” tel qu’il est compris usuellement, à savoir comme base du capital et des rapports sociaux. On le sait, la réduction du “travail” au seul “emploi” provoque automatiquement l’exclusion de ceux qui en sont privés, la peur du chômage chez les salariés, et le contrôle social des assistés. Cette confusion entre “travail” et “emploi” a un coût énorme pour la société aussi bien financièrement que socialement. Les pathologies sociales et psychiques qu’elle entraîne ne sont tout simplement plus soutenables.

Nous n’attendons pas du revenu de vie qu’il règle tous les maux, mais nous affirmons qu’il est absolument nécessaire pour surmonter la crise de confiance actuelle en réduisant le niveau intolérable, de pauvreté, d’exclusion et de peur.

Action

Au moment où les médias annoncent quotidiennement l’imminence de catastrophes provoquées par l’effondrement des économies, le réchauffement climatique ou les pandémies, nous affirmons qu’il existe un moyen efficace pour faire face collectivement et pour mobiliser les forces vives: c’est la voie du revenu de vie.

Nous citoyens signataires de cet appel, demandons, aux politiques de tous bords, aux syndicats et aux experts, en France et partout dans le monde, de prendre en compte cette voie dans les délais les plus brefs et d’engager avec nous cette grande transformation.

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