Allez les yeux invisibles vers le beau.

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19/07/2013

Zénitude... (22)

Chantez !

 

chanter-comme-une-casserole-1277131138.jpgPrenez le CD avec la chanson que vous aimez le plus. lancez le disque et chantez ! Aucune importance si vous n'avez pas l'oreille musicale : concentrez-vous sur les paroles de la chanson. Chantez-là une deuxième fois. Vous vous sentirez immédiatement plus libre et plus léger(e).

 

(Extrait de "Petit cahier d'exercices pour rester zen dans un monde agité" de Erik Pigani - Ed. "Jouvence" - 2010)

08/07/2013

Trois maîtres de vie... (10)

images-1.jpegLa question du bonheur véritable, de la vie juste, du sens de l'existence, s'est posée pour moi assez tôt. J'étais adolescent. La lecture des dialogue de Platon fut une véritable révélation. Socrate y parlait de la connaissance de soi, de la recherche du vrai, du beau, du bien, de l'immortalité de l'âme. Il abordait sans détours des questions qui me paraissait convaincante, à l'inverse des réponses toutes faites et insatisfaisantes du catéchisme de mon enfance. Et puis, quelques années plus tard, je devais avoir seize ans, ce fut la découverte de l'Inde et particulièrement du Bouddha. Divers ouvrages initiatiques et romanesques - siddharta de Herman Hesse ou Le Troisiéme Oeil de Lobsang Rampa - me conduisirent à un remarquable petit ouvrage : L'Enseignement du Bouddha d'après les textes les plus anciens, de Walpola Rahula. Nouveau déclic : le message du Bouddha me parlait autant que celui de Socrate par sa justesse, sa profonde cohérence, sa rationalité, son exigence pleine de douceur. J'aurais pu en rester là, tant que ces deux maîtres nourrissaient mon esprit. Pourtant, j'allais bientôt faire une troisième rencontre décisive : à dix-neuf ans j'ouvris les Evangiles pour la première fois. Je tombai par hasard sur l'Evangile de Jean, et ce fut un choc profond. Non seulement les paroles de Jésus s'adressaient à mon intelligence, mais elles touchaient aussi mon coeur. Je mesurai alors le décalage parfois abyssal entre ses paroles d'une incroyable audace qui libèrent l'individu en le responsabilisant et le discours moralisateur de tant de chrétiens qui enferment l'individu en le culpabilisant.

 

(Extrait de "Socrate, Jésus, Bouddha" de Frédéric Lenoir - Ed. "Fayard" - 2009)


à Suivre...

05/07/2013

Astuces Feng shui... (28)

Cours d'eau passant devant la maison :

 

images-1.jpegPour les maisons orientées vers des directions secondaires (en regardant depuis l'intérieur), l'eau doit couler de droite à gauche. Dans le cas des maisons orientées vers des directions cardinales, l'eau doit passer de gauche à droite. Si l'eau d'un grand fossé voisin de la maison coule vers une direction erronée, bloquez sa vue depuis votre porte d'entrée.

 

(Extrait de "365 astuces Feng shui " de Lillian Too - Guy Trédaniel Editeur - 2006)


à suivre...

03/07/2013

La Petite note de Franck... (54)

Unknown.jpegSuis-je un optimiste béat, un doux rêveur (comme le pensent mes amis) pour résumer un utopiste ? Je ne pense pas être la seule personne au monde qui imagine que ça bouge positivement à travers la planète. Je vois chaque jour des initiatives heureuses et conscientes à chaque coin du globe. Tenez, par exemple, l’écologie fait un grand « boum » dans les têtes et je vois, moi qui regarde ou écoute les reportages ou documentaires, une prise de conscience individuelle ou collective de la population pour améliorer le sort de la planète. Même des actes de solidarité ou des effets de bon sens que des gens apportent au quotidien pour une aide salutaire. Ou d’autres initiatives pour parfaire un bien-être immédiat pour que cela aille mieux pour nous tous. Les grincheux ne cesseront pas de nous dire que tout va mal, que ce monde va à sa perte, mais ne voient pas ou ne cherchent pas à voir (ce qui est plus grave) ces choses positives. Non, je ne suis pas pessimiste pour notre avenir et arrêtons de voir le mal partout. Mais il est sûr qu’il y a beaucoup à faire pour que ça change radicalement, laissons le temps au temps pour nous permettre de vivre mieux. En tout cas, la conscience humaine est en marche pour ce changement-là ! Utopiste même dans mes écrits, je veux être, je suis l’auteur d’un roman (publié il y a 5 ans à compte d’auteur) qui s’intitule « Ce que doivent être les choses » où je raconte le monde en 2081, un monde fait de conscience, de bon sens et d’intelligence dont les rapports humains se dévoilent au fil du roman et nous font comprendre les connexions entre les êtres aussi bien des humains, des végétaux et même de toutes les intelligences du cosmos  ! Je vous invite à lire ce beau roman (que j’ai envoyé aux Maisons d’Édition) sur mon blog, (un petit rappel pour une lecture judicieuse) oublier les cinq premières pages et commencer l’ouvrage au chapitre « Éveil à la nourriture des choses »…


Demain, est devant nous, il suffit d’y croire !


(Rendez-vous pour une nouvelle... note de Franck)


à suivre...

25/06/2013

Astuces Feng shui... (27)

Les plantes vertes luxuriantes accroissent les revenus :

 

images-1.jpegPlacez une plante verte luxuriante dans le secteur sud-est de votre séjour ou bureau. Plus elle est épanouie, mieux c'est. Choisissez des plantes  aux feuilles rondes et épaisses, comme la plante de jade. Plus les feuilles sont rondes et charnues, plus les plantes sont propices. Evitez les plantes à épines ou aux feuilles longues et pointues. Si belle qu'elle soit, toute plante effilée engendre des flècles empoisonnées - évitez sa présence dans votre maison ou votre jardin. Ne les positionnez surtout pas devant le bord pointu d'une colonne ou d'un coin saillant, qui les frappera. Lorsque les plantes placées au sud-est commencent à dépérir, vos finances seront affectées. Puisque vous utiliser les plantes pour charger les lieux en énergie (et non en tant que remèdes), il est conseillé de vous servir de vraies plantes.

 

(Extrait de "365 astuces Feng shui" de Lillian Too - Guy Trédaniel Editeur - 2006)

à suivre...

23/06/2013

Santé & Cosmo Tellurisme... (21)

Polarités d'un aimant :

 

images-1.jpegProcurez-vous en aimant en "U" et posez-le sur une table, les deux pôles face à vous. Mettez le pendule immobile au-dessus d'un pôle, sans poser de question. Le pendule doit tourner vers la droite si c'est le pôle positif. Placez ensuite le pendule sur l'autre pôle ; il doit tourner en sens contraire. Vérifiez en introduisant dans le champ de vos pensées la vibration mentale des mots "pôle positif" ou "pôle négatif".

Votre imagination vous permettra de multiplier les exercives, il est important de bien maîtriser un exercice avant de passer au suivant.

 

(Extrait de "Santé & Cosmo Tellurisme" de B. Legrais et G. Altenbach - Ed. "Dangles" - 1984)

 

à suivre...

11/06/2013

Pour un revenu universel...

revenu,universel,vivre,liberté,bien-être,raisonnable,communauté,fraternité,solidarité,intelligent,actionAu delà des clivages sociaux, des corporations, des écoles de pensée, nous, signataires du présent appel, voulons contribuer à provoquer dès maintenant une transformation réaliste et constructive de la société : celle du revenu de vie.

Qu’est-ce que le revenu de vie?

L’idée est soutenue de longue date par de nombreuses personnalités, de tous horizons politiques, de toutes confessions et de toutes nationalités. Elle est connue sous des appellations diverses : allocation universelle, revenu d’existence, revenu citoyen, revenu universel, revenu social garanti, dividende universel, revenu de base, etc. (cf. Wikipedia)

Le revenu de vie ne doit pas être confondu avec le RMI, le RSA et autres allocations attribuées de manière conditionnelle. Le revenu de vie, lui, est automatique, inconditionnel et inaliénable. Il concerne tout le monde, riches ou pauvres. Il est attribué à chaque individu, de la naissance à la mort. Son montant est suffisant pour garantir à chacun une existence décente – quoi qu’il arrive -. Il est cumulable avec les autres revenus (salariés ou non). Il ne peut être saisi aux plus modestes, mais il entre dans l’assiette d’imposition des plus aisés.

Le revenu de vie ne rémunère pas l’emploi, mais le travail au sens large

Ni l’emploi salarié, ni les revenus du capital, ni les aides sociales classiques ne peuvent prétendre désormais garantir le droit à l’existence de chacun tel que défini à l’article III de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme. C’est un fait : en raison de l’informatisation et de l’automatisation de la production, le plein-emploi ne peut plus être atteint. Par contre le travail est toujours d’actualité, et sa tâche est immense.

Il est plus que jamais nécessaire que chacun puisse travailler, d’abord à prendre soin de lui-même, de ses parents, de ses enfants et de ses proches, travailler ensuite pour contribuer aux biens communs accessibles à tous (connaissances, arts, culture, logiciels, etc.), travailler enfin à inventer et à mettre en oeuvre à toutes les échelles les moyens qui permettront de léguer une planète vivable aux générations futures.

Loin d’être un encouragement à la paresse, nous affirmons que le revenu de vie permettra à chacun, dans la mesure de ses capacités et de son désir, de s’engager de manière sereine, libre et responsable, dans des travaux essentiels pour l’intérêt général que les emplois traditionnels n’ont pas vocation à assumer.

Comment financer le revenu de vie ?

Il s’agit précisément d’engager pour le financement du revenu de vie tous les moyens alloués à l’entretien de la chimère du plein emploi. L’institution du revenu de vie implique pour les pays qui le mettront en place de revoir leur système fiscal et social, et probablement de reprendre un certain niveau de contrôle sur la création monétaire qu’ils avaient abandonné aux banques. Les calculs des économistes qui ont réfléchi en profondeur à cette question montrent que cela est parfaitement possible (cf. simulations).

Il n’est nul besoin d’attendre quelque cataclysme pour envisager cette profonde transformation. Cela peut se faire progressivement et sans dommage, à condition qu’il existe une prise de conscience et un engagement suffisamment massif. C’est à cet engagement que nous, signataires de cet appel, voulons amener.

Qu’avons-nous à perdre ?

L’illusion d’un emploi salarié et dûment rémunéré pour tous s’est volatilisé avec la crise. Avec cette disparition, va s’évanouir aussi pour beaucoup le réflexe de se définir en fonction de son activité professionnelle. Il ne faut pas le cacher, l’institution du revenu de vie amènera probablement à s’interroger plus encore, sur notre identité, notre rôle dans la société, notre aspiration à procréer en regard des problèmes de démographie, et sur la nature de ce que nous voulons transmettre à nos enfants.

L’institution du revenu de vie ne va pas sans mises en cause profondes de nombreuses habitudes. Nous pensons néanmoins que cette mutation des consciences et des comportements peut s’effectuer sans violence, et dans un esprit d’entr’aide mutuelle afin que se développe une nouvelle culture de la responsabilité.

Qu’avons-nous à gagner ?

L’institution du revenu de vie remet en cause le “travail” tel qu’il est compris usuellement, à savoir comme base du capital et des rapports sociaux. On le sait, la réduction du “travail” au seul “emploi” provoque automatiquement l’exclusion de ceux qui en sont privés, la peur du chômage chez les salariés, et le contrôle social des assistés. Cette confusion entre “travail” et “emploi” a un coût énorme pour la société aussi bien financièrement que socialement. Les pathologies sociales et psychiques qu’elle entraîne ne sont tout simplement plus soutenables.

Nous n’attendons pas du revenu de vie qu’il règle tous les maux, mais nous affirmons qu’il est absolument nécessaire pour surmonter la crise de confiance actuelle en réduisant le niveau intolérable, de pauvreté, d’exclusion et de peur.

Action

Au moment où les médias annoncent quotidiennement l’imminence de catastrophes provoquées par l’effondrement des économies, le réchauffement climatique ou les pandémies, nous affirmons qu’il existe un moyen efficace pour faire face collectivement et pour mobiliser les forces vives: c’est la voie du revenu de vie.

Nous citoyens signataires de cet appel, demandons, aux politiques de tous bords, aux syndicats et aux experts, en France et partout dans le monde, de prendre en compte cette voie dans les délais les plus brefs et d’engager avec nous cette grande transformation.

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