Allez les yeux invisibles vers le beau.

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

23/10/2013

Nouveau monde... (7)

 

images-1.jpeg

CROISSANCE OU DÉCROISSANCE ?

Journalistes, ministres, statisticiens, économistes, syndicalistes, dans leur grande majorité, présentent la croissance économique comme le seul projet viable de société, le seul levier capable de nous apporter emplois, bonne santé économique et prospérité.
Pourtant, si le PIB mondial n’a cessé de croître ces 50 dernières années, les inégalités grandissantes entre individus et la surexploitation des ressources naturelles nous mènent tout droit à des impasses sociales et écologiques. L’idéologie de la croissance économique et matérielle indéfinie est-elle réellement facteur de développement, de progrès et de mieux-être pour l’humanité ? Ce modèle de société est-il durable et généralisable ?
L’heure du changement de logique semble venue, où le "toujours plus", effréné et insensé, laisse place à la sobriété heureuse, consciente et responsable.

En résumé, faire le choix de la croissance ou de la décroissance c’est :
  • prendre en compte les ressources dont nous disposons vraiment, individuellement et collectivement ;
  • nous demander si le PIB reflète vraiment la qualité de vie humaine et la satisfaction des habitants d’un pays dans une réflexion citoyenne personnelle et collective ;
  • faire les choix personnels qui sont en adéquation avec notre éthique, nos valeurs et notre vie personnelle, familiale et citoyenne, dans une contribution "cré-active" au quotidien.

L’impossible croissance illimitée sur une planète limitée

Chercher à tout prix une croissance économique illimitée sur une planète aux ressources limitées est un non-sens qui nous voit couper la branche sur laquelle nous sommes assis. Si tous les habitants de la terre se mettaient à consommer comme un occidental moyen, il nous faudrait l’équivalent de trois planètes pour subvenir aux besoins de tous.

Ce mode de vie et de ponction des ressources naturelles n’est ni généralisable ni soutenable à long terme.

Depuis la fin des années 70, l’empreinte écologique de l’humanité a dépassé la capacité biologique de la planète : nous consommons davantage de ressources que la terre ne peut théoriquement nous en fournir de manière pérenne.
Nous vivons au-dessus de nos moyens.

"The story of stuff", d'Annie Leonard, nous dévoile le cycle de vie de tous ces objets que l'on consomme au quotidien sans vraiment savoir d'où ils viennent ni où ils vont. Elle explique d'une façon ludique mais sérieuse comment fonctionne l’économie globale matérialiste et ses conséquences sur l’économie, l’environnement et la santé.
Vous pouvez voir le film, en VO sous-titrée en français, sur le site www.storyofstuff.org
Accrochez vous, ça va vite mais c'est passionnant !

L’effet Kobe ou le non-sens de l’indice du PIB

Le PIB mesure sous forme monétaire la quantité de biens ou de services produits dans un pays sur une période donnée.

Mais il ne prend nullement en compte les raisons ou les effets qualitatifs de ces productions. Outre la fracture sociale, la pollution, le réchauffement climatique, la destruction des écosystèmes, l’épuisement des ressources... sont non seulement ignorés mais parfois même comptabilisés de manière positive dans le PIB.

L’effet Kobe fait référence à un grave tremblement de terre au Japon, ayant touché des milliers de victimes, mais ayant permis de relancer l’économie par la reconstruction nécessaire des voiries, infrastructures, logements…

Les événements les plus destructeurs comme les inondations, les accidents de voiture, les hospitalisations… stimulent paradoxalement la croissance économique et haussent l’indice de « développement » d’un pays.

Que faire ?

Sortir de l’idéologie de la croissance indéfinie signifie pour chacun d’entre nous limiter nos prétentions, lâcher notre insatisfaction perpétuelle, renoncer à nos désirs de « toujours plus » et choisir la sobriété volontaire et heureuse.

Une société qui fait ce choix éthique et politique reconnecte ses priorités à l’essentiel : satisfaire les besoins fondamentaux de tous les citoyens, veiller à la répartition équitable des biens légitimes, édifier une organisation sociale et territoriale dans le respect de l’équilibre naturel, encourager la participation « cré’active » de chacun au service de l’intérêt collectif. Aux logiques de compétition et d’antagonisme, il est possible de substituer les valeurs de coopération et de complémentarité.

L’indicateur du PIB pourrait être abandonné pour laisser place à de nouveaux outils de mesure du progrès réel de l’humanité, qui tiendraient compte de l’adéquation du développement économique et matériel avec la capacité biologique de la terre et du bien-être social.
De nouvelles approches voient le jour : PID (Produit Intérieur Doux), IBH (Indice de Bonheur Humain), IDH (Indice de Développement Humain).

Croissance et fracture sociale

La croissance économique se calcule de manière globale sans prendre en compte le niveau d’équité de répartition des richesses entre individus. L’idée qu’elle serait un vecteur de réduction des inégalités n’est désormais plus recevable.

Bien au contraire, 20% des habitants de la planète s’accaparent 80% des ressources ; les riches sont de plus en plus riches et les pauvres de plus en plus nombreux. Selon les Nations Unies, les 225 personnes les plus riches ont une fortune supérieure à ce que gagnent chaque année les trois milliards d’individus les plus pauvres (soit près de la moitié de l’humanité !).

Les inégalités au sein d’un même pays ne cessent de croître également. En Europe centrale et de l’est, malgré un fort taux de croissance ces dernières années, la proportion d’habitants vivant avec moins de un dollar par jour est passée de 0,5% en 1990 à 3,5% en 2005.

La croissance, facteur de bien-être ?

Au regard des sociétés occidentales, où le stress, l’alcoolisme, la violence, les suicides, les maladies de dégénérescence, la solitude ne font qu’augmenter, travailler plus, dépenser plus, posséder plus, ne semble pas être un gage de bonheur.

La courbe de croissance économique dans les pays développés est d’ailleurs quasiment parallèle à celle des ventes en volume d’antidépresseurs. Ainsi, le PIB ne reflète-t-il pas la qualité de vie humaine et la satisfaction des habitants d’un pays.

On a ainsi de quoi s’interroger sur la pertinence de la croissance en tant qu’indicateur de progrès et se demander à quoi servent nos efforts acharnés pour son développement, si cela ne contribue pas à offrir plus de bonheur aux vivants ?

Serait-elle seulement une idéologie savamment distillée à toute l’humanité pour la défense des intérêts privés de quelques uns et communément admise par tous par habitude ou
résignation ?

(source : Association "Colibris")

 

22/10/2013

La Petite note de Franck... (58)

petite note,roy,réflexion,nouveau monde, nouvelle technologie,survie, intelligence, positiver,changement,altruismeDans mes interventions précédentes, je disais que l’avenir était dans les nouvelles technologies, mais il y a du danger à tout. Je m’explique : toutes les avancées technologiques sont faites (en principe) pour améliorer le sort de nous-mêmes, elles doivent être bonnes si elles sont maîtrisées, car elles peuvent dans des mains malsaines être destructives... Il ne faut pas que cela soit livré à une absurdité d’usage, l’évolution de ces choses ne peuvent être que révolutionnaire, la bombe nucléaire était aussi une découverte, sachons être avant tout être intelligents dans l’usage de ces choses nouvelles. Sachons les adapter à notre sens de l’altruisme dans un esprit d’éthique par rapport à ce que nous devons faire de ces avancées scientifiques pour que nous soyons à la hauteur de ce Nouveau Monde qui se prépare, un monde basé sur le bon sens par rapport à la vie à venir, qui de toute façon sera différente de celle qui meurt sous nos yeux. Préparons-nous vers ce changement salutaire qui se fera, j’essaye de le positiver dans ma tête et cela avec d’autres. Ce changement se fera naturellement et en bonne intelligence devant les difficultés rencontrées par ce monde là, lorsque l’on sera face et devant l’évidence d’un Nouveau Monde à créer, il faudra bien se résoudre à trouver une autre alternative. Soyons nombreux à le formuler dans nos têtes, là est notre survie, notre bonheur, notre nouvelle vie. 

 

 

(Rendez-vous pour une nouvelle ... Note de Franck)


à suivre...

02/09/2013

Nouveau monde... (4)

06/08/2013

La Petite note de Franck... (55)

note,réflexion,philosophie,comprendre,savoir,utopie,bien-être,changement,monde,éveilleurs,conscience,intelligenceSi dans nos têtes rêveuses (pour la plupart) nous rêvions tous ensemble à un autre monde ! Alors que ce monde du capital expire, on pourra dire que ceux qui font travailler les autres n’auront plus besoin de ses salariés. Que le monde du travail aujourd’hui n’ait vocation qu’à disparaître, car il ne sert que les intérêts financiers des grosses entreprises, de leurs dirigeants, de leurs actionnaires et toutes ces masses hideuses des requins de la finance… Je propose une autre solution : Le rêveur, je suis peut-être un doux rêveur, en somme un utopiste, mais on donne comme définition du mot UTOPIE : « Pays imaginaire où les habitants sont gouvernés d’une manière idéale et sont parfaitement heureux ». Tout d’abord, je suis pour « Un revenu universel de base » (cliquez sur le lien… Revenu universel)  ; qui donnera la possibilité à chaque individu sur cette Terre à un salaire : de sa naissance à sa mort (quelle belle idée ! Enfin des personnes pourront vivre décemment). Ce changement-là ne peut qu’éclore par une majorité de gens dont les consciences se sont éveillées. Dans mon roman « Méloé », je parle de ces gens « Les Éveilleurs de Conscience » et puis j’en fais le prolongement, dans mon merveilleux roman, à compte d’auteur « Ce que doivent être les choses »... Où je parle d’une société en 2081 qui grâce à la conscience de ces personnes qui ont éveillé ces gens-là à la télépathie,  à l’intelligence, leur rapport à la nature, aux êtres, aux végétaux, aux choses de l’esprit, de la pensée à la pensée. Lorsque ce grand moment arrivera où « DES GENS DE "BONNES CONSCIENCES" SE METTRONT AUTOUR D’UNE TABLE POUR DISCUTER ET SE DIRE QUE CE MONDE CAPITALISTE N'EST PLUS CELUI QUI PERMET A L'HOMME ET AUX HOMMES DE VIVRE DECEMMENT, ET QU'IL FAUT DONNER SA CHANCE UN AUTRE MONDE PLUS HUMAIN » en évitant toute effusion de sang et que ce monde nouveau sera le fruit de l’intelligence offerte à la raison !


(Rendez-vous pour une nouvelle petite... de Franck)


à suivre...

30/06/2013

"Ces affreuses années"...(4)

Unknown.jpegIII. L'évolution des croyances, des pratiques culturelles et des mentalités

1. L'évolution des croyances
En 1972, 87 % des Français se disaient catholiques contre 64  % aujourd'hui. La pratique religieuse s'est effondrée : à l'heure actuelle moins de 5 % des Français vont à la messe. La culture religieuse recule et les recommandations de l'Église en matière sexuelle, notamment, ne sont plus guère suivies.
Par ailleurs, l'immigration a amené un autre changement radical avec l'apparition d'une communauté musulmane importante. L'islam est aujourd'hui la deuxième religion de France. Il demeure cependant limité, pour l'essentiel, aux milieux issus de l'immigration.
2. La montée de la culture de masse : vers la démocratisation et la diversification ?
Les Français ont plus de loisirs aujourd'hui qu'en 1958, grâce à l'allongement des vacances, à une plus grande longévité et donc du temps passé à la retraite, grâce enfin à la diminution globale du temps de travail (40 heures par semaine en 1945, 39 heures en 1982, 35 heures en 1998 mais remises en cause depuis 2002 par les incitations fiscales aux heures supplémentaires). Ainsi, les loisirs, avec l'industrie touristique, sont devenus l'un des secteurs les plus actifs de l'économie : les Français partent de plus en plus, et de plus en plus loin. Les mass medias et les industries de la musique se sont aussi considérablement développés et ont acquis une prospérité sans précédent.
Entre 1945 et 1975, la durée moyenne des études s'étant elle ausi allongée, le nombre d'adolescents scolarisés de plus de 14 ans passe de quatre cent cinquante mille à quatre millions. Grâce à un accès plus facile aux études supérieures, l'école joue pleinement son rôle d'ascenseur social. Cela revient à dire que les enfants vivent mieux que leurs parents et que les enfants d'ouvriers ne sont plus nécessairement eux-mêmes ouvriers comme autrefois. Le développement des moyens matériels et l'allongement de la scolarisation ont finalement rendu la culture accessible à un plus grand nombre de personnes et créé une catégorie nouvelle de consommateurs de biens culturels. Ce phénomène émerge dans les années 1960 lorsque les « baby-boomers » arrivent à l'adolescence, et se généralise par la suite. 
L'État se dote d'une politique culturelle – dès 1958, un ministère des Affaires culturelles confié à André Malraux est créé – et impulse de grands projets liés à la Culture. Ce sont les « grands chantiers » de la Ve République : le Centre Beaubourg, le Grand Louvre, la BNF, le musée des Arts premiers.

© Rue des Ecoles


à suivre...

14/06/2013

La Petite note de Franck... (53)


images-1.jpegLe monde capitaliste est en train de s’écrouler, l’émergence d’un Nouveau Monde apparaît,  pour un monde humaniste et solidaire. La Grèce et la Turquie éclatent, les Printemps arabes sont dans la mouvance d’une mutation qui se fera par les réseaux sociaux et malheureusement aussi par les armes, tous les pays du Sud en ont ras le bol de ses politiciens qui sont, 
pour la plupart, corrompus (je ne dis pas que tous sont des voyous, ne tombons pas dans un amalgame dangereux). Le monde de la finance quant à lui est à revoir  ; les banques ne cherchent que leur intérêt. Et le petit citoyen que je suis, pense, à un revenu universel pour tous !…  Il pense, aussi, à un changement radical des pensées et des modes de vies actuelles. Être dans le positif et croire en l’avenir j’y crois... et je le verrais bien cet avenir avec les jeunes. Confidence pour confidence (titre d’une chanson), je pense sincèrement que les jeunes vivront mieux que leurs parents. Vous vous demandez comment  : par les nouvelles technologies, les nouveaux métiers de demain (qui seront plus captivant) ;  par l’informatique et les réseaux sociaux qui font bouger les sociétés de ce monde et font que les mentalités changent, que les pensées deviennent plus positives que négatives. D’ailleurs, ce sont les pensées négatives qui font avancer les pensées positives pour le bien de cette planète. Les consciences des peuples font leur travail de sape pour le bien de l’humanité ! Croyez-moi… Il faut créer un nouveau paradigme pour une planète plus vivable.



(Rendez-vous pour une nouvelle... note de Franck)


à suivre....

10/05/2011

On refait le Mac...


On refait le Mac e61 --PC bientôt du passé ?