02/09/2016
Sagesse...(3)
L’importance de l’Amour dans le Bouddhisme
Le Bouddhisme est une religion pacifique. En effet, selon les enseignements de Bouddha, l’amour et le Bouddhisme sont indissociables. Amour de son prochain, amour de toute vie, amour de la sagesse… Elle peut prendre diverses formes.
Bouddhisme et Amour
La place de l’amour dans le Bouddhisme
Le Bouddhisme est une religion qui cherche la libération de l’âme de chaque personne grâce à son éveil, l’empêchant ainsi de vivre et revivre dans la souffrance. L’initiation au Bouddhisme implique la connsaissance du principe du Karma et de la renaissance. Le Karma étant une relation de cause à effet, effectuer de bonnes actions dans la vie permet d’échapper au mauvais Karma. Mais une action ne peut être bonne que si elle est guidée par la compassion. De ce fait, la première forme d’amour dans le Bouddhisme est la compassion. Elle consiste à éviter de faire souffrir autrui. Elle pourrait même chercher à le guérir du mal.
L’amour à travers la bienveillance
La deuxième forme de l’amour est la bienveillance. La bienveillance vise à procurer du bonheur à autrui. Ces deux formes d’amour sont résumées et expliquées par cette citation de Bouddha :
« Que tous les êtres soient heureux ! Qu’ils soient en joie et en sûreté ! Toute chose qui est vivante, faible ou forte, longue, grande ou moyenne, courte ou petite, visible ou invisible, proche ou lointaine, née ou à naître, que tous ces êtres soient heureux ! Que nul ne déçoive un autre ni ne méprise aucun être si peu que ce soit ; que nul, par colère ou par haine, ne souhaite de mal à un autre. Ainsi qu’une mère au péril de sa vie surveille et protège son unique enfant, ainsi avec un esprit sans limites doit-on chérir toute chose vivante, aimer le monde en son entier, au-dessus, au-dessous et tout autour, sans limitation, avec une bonté bienveillante infinie. Étant debout ou marchant, assis ou couché, tant que l’on est éveillé, on doit cultiver cette pensée. Ceci est appelé la suprême manière de vivre. »
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20/08/2016
Sagesse...(1)
Irradiez la sagesse sur l’humanité.
TRANSMIS PAR JOELIAH LE 23 - SEPTEMBRE - 2013
La sagesse vous aide à lâcher prise vis à vis des agissements des autres. Lorsque la sagesse de la conscience est activée, alors vous trouvez votre propre liberté, car, vous comprenez qui vous êtes et ce que les autres sont : des étincelles divines en incorporation de matière.Vous êtes tous issus du grand Soleil cosmique de Vie.
11279366_sLorsque vous comprenez cela, vous vous apercevez que tous les autres, sont des étincelles divines en action et que certains ont bloqué, créé des nuages autour d’eux, d’ombre, de peurs, de colères, d’oubli de leur vraie nature et qu’ils réagissent en fonction de ce qu’ils sont sur ce moment-là.
Alors, envoyez un rayon jaune d’illumination sur le monde, afin que la sagesse pénètre à travers vous et tous les hommes.
Envoyez ce rayon jaune sur le monde politique, les chefs d’états et les dirigeants, afin qu’ils révèlent en eux la sagesse qui est toujours emprunte de respect, d’amour et de compréhension.
Ne critiquez pas, ne condamnez pas ceux qui œuvrent, qui ne sont pas dans l’amour ou qui ne sont pas encore dans la paix ou dans la transparence du cœur. Ils font ce qu’ils peuvent et si, vous leurs envoyez des critiques ou une dévalorisation, alors vous accentuez leurs nuages et ils ne peuvent pas s’en sortir et de plus, vous augmentez le votre.
Et comme ce sont de grands dirigeants qui ont du pouvoir, alors vous n’œuvrez pas pour la libération de la Terre. Chaque fois que vous condamnez un dirigeant, que vous le critiquez, que vous en rajoutez, vous maintenez la vision de ces hommes et cette Terre en troisième dimension.
Œuvrez vraiment pour la lumière, envoyez de la lumière, irradiez la vertu de sagesse du rayon jaune, et aussi le rayon or, qui est jumelé, de l’amour christique, envoyez-le à tous les responsables, à l’humanité afin que cette lumière pénètre totalement et puisse se manifester.
Cette lumière sort de votre coeur, et ne peut le faire que si elle est activée en vous. Nul ne peut donner ce qu’il n’émet pas, ce qu’il n’aime pas.
Glorifiez tous les humains et envoyez beaucoup, beaucoup, beaucoup d’amour, tout en sachant, qui ils sont.
A ce moment là, vous devenez des vrais travailleurs d’amour, vous devenez des vrais travailleurs de la lumière.
Dans votre coeur, dans votre vie, dans votre famille, c’est la même chose. Commencez par vous emplir de cette sagesse afin de trouver l’illumination, la pureté, le respect et ensuite irradiez ces vertus à ceux qui sont autour de vous, afin qu’ils éveillent leur sagesse intérieure, qu’ils trouvent la lumière et lorsque la lumière est, alors l’amour suit – tout est parfait.
Pensez à être de bons modèles rayonnants.
Soyez honorés et remerciés pour tout votre travail de lumière.
Un EnSeigneur du deuxième rayon.
Canalisé par Joéliah.
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01/06/2016
Pensée Zen... (8)
Que j'apprenne à me nourrir
de joie chaque jour.
Que je sois capable de vivre dans la fraîcheur,
la solidité et la liberté.
Thich Nhat Hanh
à suivre...
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11/06/2013
Pour un revenu universel...
Au delà des clivages sociaux, des corporations, des écoles de pensée, nous, signataires du présent appel, voulons contribuer à provoquer dès maintenant une transformation réaliste et constructive de la société : celle du revenu de vie.
Qu’est-ce que le revenu de vie?
L’idée est soutenue de longue date par de nombreuses personnalités, de tous horizons politiques, de toutes confessions et de toutes nationalités. Elle est connue sous des appellations diverses : allocation universelle, revenu d’existence, revenu citoyen, revenu universel, revenu social garanti, dividende universel, revenu de base, etc. (cf. Wikipedia)
Le revenu de vie ne doit pas être confondu avec le RMI, le RSA et autres allocations attribuées de manière conditionnelle. Le revenu de vie, lui, est automatique, inconditionnel et inaliénable. Il concerne tout le monde, riches ou pauvres. Il est attribué à chaque individu, de la naissance à la mort. Son montant est suffisant pour garantir à chacun une existence décente – quoi qu’il arrive -. Il est cumulable avec les autres revenus (salariés ou non). Il ne peut être saisi aux plus modestes, mais il entre dans l’assiette d’imposition des plus aisés.
Le revenu de vie ne rémunère pas l’emploi, mais le travail au sens large
Ni l’emploi salarié, ni les revenus du capital, ni les aides sociales classiques ne peuvent prétendre désormais garantir le droit à l’existence de chacun tel que défini à l’article III de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme. C’est un fait : en raison de l’informatisation et de l’automatisation de la production, le plein-emploi ne peut plus être atteint. Par contre le travail est toujours d’actualité, et sa tâche est immense.
Il est plus que jamais nécessaire que chacun puisse travailler, d’abord à prendre soin de lui-même, de ses parents, de ses enfants et de ses proches, travailler ensuite pour contribuer aux biens communs accessibles à tous (connaissances, arts, culture, logiciels, etc.), travailler enfin à inventer et à mettre en oeuvre à toutes les échelles les moyens qui permettront de léguer une planète vivable aux générations futures.
Loin d’être un encouragement à la paresse, nous affirmons que le revenu de vie permettra à chacun, dans la mesure de ses capacités et de son désir, de s’engager de manière sereine, libre et responsable, dans des travaux essentiels pour l’intérêt général que les emplois traditionnels n’ont pas vocation à assumer.
Comment financer le revenu de vie ?
Il s’agit précisément d’engager pour le financement du revenu de vie tous les moyens alloués à l’entretien de la chimère du plein emploi. L’institution du revenu de vie implique pour les pays qui le mettront en place de revoir leur système fiscal et social, et probablement de reprendre un certain niveau de contrôle sur la création monétaire qu’ils avaient abandonné aux banques. Les calculs des économistes qui ont réfléchi en profondeur à cette question montrent que cela est parfaitement possible (cf. simulations).
Il n’est nul besoin d’attendre quelque cataclysme pour envisager cette profonde transformation. Cela peut se faire progressivement et sans dommage, à condition qu’il existe une prise de conscience et un engagement suffisamment massif. C’est à cet engagement que nous, signataires de cet appel, voulons amener.
Qu’avons-nous à perdre ?
L’illusion d’un emploi salarié et dûment rémunéré pour tous s’est volatilisé avec la crise. Avec cette disparition, va s’évanouir aussi pour beaucoup le réflexe de se définir en fonction de son activité professionnelle. Il ne faut pas le cacher, l’institution du revenu de vie amènera probablement à s’interroger plus encore, sur notre identité, notre rôle dans la société, notre aspiration à procréer en regard des problèmes de démographie, et sur la nature de ce que nous voulons transmettre à nos enfants.
L’institution du revenu de vie ne va pas sans mises en cause profondes de nombreuses habitudes. Nous pensons néanmoins que cette mutation des consciences et des comportements peut s’effectuer sans violence, et dans un esprit d’entr’aide mutuelle afin que se développe une nouvelle culture de la responsabilité.
Qu’avons-nous à gagner ?
L’institution du revenu de vie remet en cause le “travail” tel qu’il est compris usuellement, à savoir comme base du capital et des rapports sociaux. On le sait, la réduction du “travail” au seul “emploi” provoque automatiquement l’exclusion de ceux qui en sont privés, la peur du chômage chez les salariés, et le contrôle social des assistés. Cette confusion entre “travail” et “emploi” a un coût énorme pour la société aussi bien financièrement que socialement. Les pathologies sociales et psychiques qu’elle entraîne ne sont tout simplement plus soutenables.
Nous n’attendons pas du revenu de vie qu’il règle tous les maux, mais nous affirmons qu’il est absolument nécessaire pour surmonter la crise de confiance actuelle en réduisant le niveau intolérable, de pauvreté, d’exclusion et de peur.
Action
Au moment où les médias annoncent quotidiennement l’imminence de catastrophes provoquées par l’effondrement des économies, le réchauffement climatique ou les pandémies, nous affirmons qu’il existe un moyen efficace pour faire face collectivement et pour mobiliser les forces vives: c’est la voie du revenu de vie.
Nous citoyens signataires de cet appel, demandons, aux politiques de tous bords, aux syndicats et aux experts, en France et partout dans le monde, de prendre en compte cette voie dans les délais les plus brefs et d’engager avec nous cette grande transformation.
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05:00 Publié dans société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : revenu, universel, vivre, liberté, bien-être, raisonnable, communauté, fraternité, solidarité, intelligent, action
20/02/2013
Poème du jour...
Liberté
Sur mes cahiers d'écolier
Sur mon pupitre et les arbres
Sur le sable de neige
J'écris ton nom
Sur toutes les pages lues
Sur toutes les pages blanches
Pierre sang papier ou cendre
J'écris ton nom
Sur les images dorées
Sur les armes des guerriers
Sur la couronne des rois
J'écris ton nom
Sur la jungle et le désert
Sur les nids sur les genêts
Sur l'écho de mon enfance
J'écris ton nom
Sur les merveilles des nuits
Sur le pain blanc des journées
Sur les saisons fiancées
J'écris ton nom
Sur tous mes chiffons d'azur
Sur l'étang soleil moisi
Sur le lac lune vivante
J'écris ton nom
Sur les champs sur l'horizon
Sur les ailes des oiseaux
Et sur le moulin des ombres
J'écris ton nom
Sur chaque bouffées d'aurore
Sur la mer sur les bateaux
Sur la montagne démente
J'écris ton nom
Sur la mousse des nuages
Sur les sueurs de l'orage
Sur la pluie épaisse et fade
J'écris ton nom
Sur les formes scintillantes
Sur les cloches des couleurs
Sur la vérité physique
J'écris ton nom
Sur les sentiers éveillés
Sur les routes déployées
Sur les places qui débordent
J'écris ton nom
Sur la lampe qui s'allume
Sur la lampe qui s'éteint
Sur mes raisons réunies
J'écris ton nom
Sur le fruit coupé en deux
Du miroir et de ma chambre
Sur mon lit coquille vide
J'écris ton nom
Sur mon chien gourmand et tendre
Sur ses oreilles dressées
Sur sa patte maladroite
J'écris ton nom
Sur le tremplin de ma porte
Sur les objets familiers
Sur le flot du feu béni
J'écris ton nom
Sur toute chair accordée
Sur le front de mes amis
Sur chaque main qui se tend
J'écris ton nom
Sur la vitre des surprises
Sur les lèvres attendries
Bien au-dessus du silence
J'écris ton nom
Sur mes refuges détruits
Sur mes phares écroulés
Sur les murs de mon ennui
J'écris ton nom
Sur l'absence sans désir
Sur la solitude nue
Sur les marches de la mort
J'écris ton nom
Sur la santé revenue
Sur le risque disparu
Sur l'espoir sans souvenir
J'écris ton nom
Et par le pouvoir d'un mot
Je recommence ma vie
Je suis né pour te connaître
Pour te nommer
Liberté
Paul Eluard
in Poésies et vérités, 1942
05:00 Publié dans Littérature | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : eluard, poésie, poète, liberté, réflexion, comprendre, savoir, surréaliste
18/09/2011
La petite note de Franck ... (39)
L’équipe de France de basket-ball se qualifie pour la finale du Championnat d’Europe aux dépens des Russes, je dis bravo ! Et je me dis que les joies du sport sont fortement bénéfiques et crées de l’enthousiasme. Personnellement, je les découvre au quotidien à 54 ans, il est bien temps, même si j’ai fait du football dans ma prime jeunesse... En effet, je fais de la marche et du vélo d’appartement à raison de 45 minutes pour le vélo et de 1 heure pour la marche. Les joies que cela entraîne sont plus qu’heureuses, car elles m’ouvrent un sentiment de bien-être et de confort d’esprit, à croire que le sport permet à l’esprit de se libérer du stress et vous donne à penser plus positivement et vous mène à plus de tolérance et de compréhension. Les autres conséquences sont tout aussi bonnes, la marche en campagne vous accueille et vous êtes en osmose avec la nature, le vélo vous relaxe et apaise de votre déprime passagère. Je ne vois que des vertus dans tout cela pour le plus grand bien de votre corps et de votre esprit sachant que ces deux-là marchent ensemble pour l’équilibre de la personne. Je n’ai qu’un seul mot à vous dire faites du sport !
(Rendez-vous pour une nouvelle petite... de Franck)
à suivre...
28/06/2011
Proses des ivresses... (8)
L'herbe du diable n'est qu'un chemin parmi des millions d'autres. N'importe quoi peut servir de chemin. C'est pourquoi il ne faut jamais oublier qu'un chemin est seulement un chemin ; si tu sens que tu ne dois pas le suivre, alors sous aucun prétexte ne continue d'y avancer. Pour obtenir une telle lucidité d'esprit il faut discipliner sa vie. Alors, seulement, tu pourras comprendre que tout chemin n'est chemin auquel tu peux renoncer si ton coeur le désire sans faire affront à personne, ni à toi ni aux autres. Mais ta décision de poursuivre sur un chemin ou l'abandonner doit être libre de peur ou d'ambition. Je te préviens, considère chaque chemin en toute liberté et avec une grande attention. Essaie-le autant de fois que le jugeras nécessaire. Puis pose-toi, et à toi seul, une question ; une question que seul un vieil homme peut se poser. Lorsque mon benefactor m'en parla j'étais bien trop jeune et mon sang était trop ardent pour que je puisse la saisir. A présent, je comprends la question et je vais te la dire " ce chemin a-t-il un coeur ?" Tous les chemins sont les mêmes, ils ne conduisent nulle part. Il y a des chemins qui traversent la forêt, d'autres qui vont dans la forêt. Dans ma propre vie, je puis dire que j'ai parcouru de longs, longs chemins, mais je suis arrivé quelque part. Et maintenant la question de mon benefactor a pris tout son sens. Ce chemin a-t-il un coeur ? Si oui, le chemin est bon, sinon il est inutile. Ces deux chemins ne conduisent nulle part, mais l'un d'entre eux a un coeur et l'autre n'en a pas. L'un est propice à un merveilleux voyage ; aussi longtemps que tu le suis, tu ne fais qu'un avec lui. L'autre te fera maudire ta vie. L'un rend fort, l'autre t'affaiblit.
("L'herbe du diable et la petite fumée" de Carlos Castaneda - 1935 - Ed. du Soleil noir)
04:09 Publié dans Littérature | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : livre, récit, prose, casteneda, réflexion, intelligence, chemin, liberté, sagesse