Chemins & Dialogues... (13)

 

Chemin… (13)

  

L’esprit dispersé agit sur ma conscience en lui délivrant des messages en forme d’images, que la conscience traduit par des pensées, nous devons en humbles pisteurs tracer cet itinéraire… À destination d’un soleil frétillant, nous nous dirigerons jusqu’à cette chose qui se trémousse, alors un ciel harmonieux nous fera voir des paysages fantastiques. Vers ce qui nous guidera, à distance nous pourrons marcher dans les pas d’autres promeneurs avec cette clarté en point de mire. De là, à percevoir ce que la vie nous inculque, il nous faudra nous montrer modestes, de cet enseignement nous parviendrons à grandir. Dans notre tête, une superbe écoute saura nous solliciter, pour nous conduire en pleine lumière, nous suivrons notre but avec l’idée précise de vivre sur le bon sentier.

 

&

 

 Dialogue… (13)

 

 Des images passent par notre conscience, par-delà notre cerveau, elles vivent. Des méditations nobles en viennent à naître de la dispersion parfois intentionnelle de l’esprit. Il y a toujours plus près que l’on pense une lumière frétillante qui sait nous appeler, derrière elle se cache des paysages multicolores et merveilleux. Il nous faudra avec raison marcher vers eux, d’autres pas se retrouveront sur le chemin. Guider par une étoile certaine dont la clarté suffira à nous faire comprendre nos foulées, nous irons avec la fierté de connaître bien des choses. Notre but de pouvoir exister au bout de cette promenade flamboyante, dont l’idée, se précise dans notre tête.

 

(Pensée & réflexion inédites de Pôl Kraly in "Chemins & Dialogues" - à paraître)

 

à suivre...

 

 

 

 

Trois maîtres de vie... (23)

 (Suite... ) Parce qu'il a vécu en un temps lointain et dans une société où l'écriture était peu répandue, c'est du Bouddha que nous disposons le moins de traces historiques proches et fiables. Selon toute vraisemblance, le Bouddha est né et a vécu en Inde au VIe siècle avant notre ère. Les premiers traces écrites, se référant non pas tant à lui qu'à son enseignement, datent d'à peu près deux siècles et demi après sa mort. Il ne s'agit pas de textes, mais de stèles royales : les stèles du roi Ashoka, qui a régné sur une grande partie du sous-continent indien englobant l'actuel Afghanistan jusqu'au Bengale, entre environ 269 et 232 avant notre ère. D'abord souverain tyrannique, Ashoka s'est converti à la loi bouddhiste (dharma) alors qu'il avait à peine une vingtaine d'années. Dès lors, il a fait graver sur des stèles, des parois de caverne, des colonnes et des blocs de stèles, des parois de caverne, des colonnes et des blocs de granit des sentences proclamant son aversion pour la violence et son adhésion aux enseignements du dharma. Ces sentences sont souvent accompagnées d'un dessin : une roue qui symbolise la roue du dharma, la loi mise en mouvement par le Bouddha.

 

(Extrait de "Socrate, Jésus, Bouddha" de Frédéric Lenoir - Ed. "Fayard" - 2009)

 

à suivre...

Salon du livre de Paris 2014...

Les temps forts du Salon du livre de Paris 2014

Poème du jour...

Ame, cours ton risque,

Etre avec la Mort

Vaudrait mieux qu'avec toi ne pas être.

 

(Poème de Emily Dickinson - extrait de "Quatrains" - Poésie/Gallimard - 2011)

Chemins & Dialogues... (12)

 

Chemin… (12)

 

On se doit de connaître la lente métamorphose d’une conscience en attente, d’aller et de se fondre en elle. Nous le devons de la poursuivre vers ce qu’elle aura de plus lumineux à nous offrir afin que se réalise ce miracle accompli de la concision de ce feu émergeant de nous. Fusionnera, avec notre accord intérieur et conjointement avec notre intelligence, le savoir dans la magnificence des choses. Voir ce qui se portera à nos oreilles après discernement se traduira en une langue toujours utile et pleine de promesses. Comprendre son mécanisme se voudra à la portée de tous, il nous faudra juste percevoir la voix de l’esprit propre de celle de l’inconscient plus abstrait dans sa parole, plus tortueuse, et aussi plus nébuleuse. Le langage de la conscience apparaîtra audible et se devra de devenir clair ; nous aspirons à l’intelligence afin de nous construire dans la démarche et dans l’intention d’aider celle-ci pleinement et sereinement.

 

 

&

 

 

Dialogue… (12)

 

 

Il y a des voix multiples qui traversent notre cerveau. Écouter celle qui possède le pouvoir de nous répondre et de se faire entendre se trouve le plus merveilleux. La parole de la conscience se souhaite harmonieuse, de celle qui envahit notre entité, elle nous vient du cosmos. Elle parfume la création, musique du tréfonds de l’obscurité pour éclater en une éloquence sonore grâce au big-bang et parvenir aux auditions des plus attentives, de l’humain, mais de toutes les espèces de la Terre. L’arbre se veut le grand récepteur sur la planète, l’onde de transmission à ceux qui savent par son intermédiaire écouter sa symphonie. Chant de perception aux oreilles des  éveilleurs de conscience, son nom demeure l’euphonie.

 

(Pensée et réflexion inédite in "Chemins & Dialogue" de Pôl Kraly - à paraître)

Ainsi se lève l'aube...

Ainsi se lève l’aube victorieuse, paisible et heureuse, sous la forme de corps flamboyants où de riches liens s’unissent. De ton imagination, tu en fais un dialogue et une saine nourriture de l’esprit en osmose avec les consciences actuelles… De celles qui s’échappent du cerveau par leur émanation naturelle et qui se dirigent vers les êtres de lumière. Bien que je me félicite de les voir ainsi voler tels des papillons vers leurs nids, par une sagesse souveraine, toutes ces luminescences sentent bon la connaissance et s’offrent le bonheur. Promesse de matins radieux sous un ciel tout bleu, j’implore, alors, votre patience pour ce défilé génial qui en ordre serré entrera dans ces esprits clairvoyants. Nul doute, on s’écoutera dire : « Elles sont en lieu sûr pour l’éternité qu’elles sachent en garder les substances essentielles à nos vies. » Semblables aux choses qui s’octroient un décor, ces luminescences seront les gardiennes des lieux. À nous d’en sauvegarder leurs âmes. 

 

(Extrait de "Chemins existants" de Pôl Kraly - vient de paraître)

Chemins & Dialogues... (11)

Chemin… (11)

 

Nous grandissons du langage qu’impose notre conscience à notre inconscient. Ici se mesure l’échange positif de notre cerveau en action. Permettez-moi de regarder dans notre esprit ce qui nous rapproche, je remarque une superbe connaissance de ce qui nous unit. La pensée se forge par l’instrument de cette rencontre, de notre intelligence avec celle-ci. Ne cherchons pas à voir autre chose que l’image verbale de ce que la conscience nous délivre, savoir en déchiffrer le message et transmettre par télépathie ou autre, le positif. Osons de ce pouvoir-là et l’on pourra développer notre sens à comprendre et à agir en toute sagesse, notre force de persuasion viendra d’un langage universel ouvert et surtout utile à tous.

 

 &

 

 Dialogue… (11)

 

 Voir la différence importante de notre conscience avec notre inconscient, mettre notre cerveau dans l’action et le laisser se réaliser par le positif… De ce que nous dit notre conscience, qui purifie ce langage nécessaire et utile propre à valoriser cette part de vérité. Notre esprit par celui qui orchestre tout, en accord avec notre intelligence, sachons lui donner le pouvoir de nous aimer. Le déchiffrage apparaîtra plus simple, le travail s’organisera en toute connaissance par notre encéphale, nous pourrons créer. Une langue nouvelle viendra à nos paroles, elle deviendra belle et magnifique, elle représentera cette clé pour nous. Faudra-t-il après, que nous nous apprenions à nous comprendre pour en faciliter une perception commune, cela se situera, dans notre désir à tous.

 

 (Pensées et Réflexions inédites in "Chemins & Dialogues" de Pôl Kraly - à paraître)