18/12/2013
Chemins & Dialogues... (6)
Chemin… (7)
Mon corps tout entier aspire longuement à se créer en ingérant toutes les pulsations possibles. Sa capacité à se mouvoir par des pensées claires venues à lui et à son esprit, par toutes les activités dans une métamorphose agréable au cortex. Des milliers de luminosités captives libéreront par la simple contraction de celui-ci à respirer et à inspirer les suggestions les plus dynamiques à ses cellules. De là se régénéreront de nouvelles cellules, grâce à l’effort du corps pour assimiler les idées parcourant les neurones du cerveau jusqu’à l’intégralité de l’organisme. La conscience apparaîtra utile à cette réalisation avec le soutien de l’inconscient dans une sorte d’émulation collective d’elles-mêmes ; de cette alchimie méditative tout à l’intérieur de l’être se considéra comme transformer par cette seule expérience positive du corps et de l’esprit.
&
Dialogue… (7)
Adopter toutes les respirations utiles, au fonctionnement du corps par des solutions mentales. Absorber toutes les pensées sonores et lumineuses afin que tout s’harmonise dans l’intégralité de l’organisme, par-delà les efforts à accomplir. De façon que de nouvelles cellules intègrent toutes les informations concevables pour l’amélioration du corps et de l’esprit ! Pour que l’inconscient réclame à la conscience comment créer à l’intérieur de l’être une osmose tranquille pour une vie inédite ? Par le positif, atteindre cet idéal, comme référence de l’intelligence en action, de cette pratique immuable viendront se greffer d’autres possibilités merveilleuses que nous réserve notre anatomie.
(Pensées et Réflexions inédites de Pôl Kraly in "Chemins & Dialogues" - à paraître)
à suivre...
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17/12/2013
Textes pour grandir... (2)
L’HOMME SANS COSTUME
L’homme est pour une grande part, absent de lui-même, de cette révélation qui le met en cause ; voilà la raison simple ou sotte de se vouloir se grandir. En même temps qu’il essaie de paraître de lui-même par la pensée, l’homme s’habitue à lui-même. De son désir d’être celui qui fait homme, de porter l’habit qu’il se doit d’enfiler pour montrer à tous qu’il est bien habillé. « Des petits jeux de lumière tournaient avec agilité autour de sa tête en des chercheuses de poux, pour se trouver un sens, il demeurait l’homme sans costume ». Alors intervient le vrai bon sens de sa conscience ; de celle qui le détermine à se vêtir lui-même cet humain et par-delà même de se croire nu, que cache-t-il ? Ce que le monde lui offrait, c’est-à-dire d’être un homme civilisé, l’homme ne se sentit pas ses os à travers cet habit qui n’était pas fait pour lui. Être de ces hommes dont la nudité n’est pas un tabou aux yeux des autres où craindre que « l’habit ne fait pas le moine » selon l’usage que l’on veut bien donner à l’homme qui se voit nu. Chercher alors dans la conscience le vêtement que son inconscience ne veut pas qu’il porte n’est pas à la portée du dernier venu. Une longue étude poussa des savants émérites à savoir la raison de ce désir de ne pas se vêtir. De ne pas comprendre cette pudique chose d’être en somme habillé comme les gens dits « normaux ». Ainsi les consciences se veulent en conformité dès lors qu’elles se reconnaissent avec l’ensemble des êtres vêtus. Que penser de cet homme dont la nudité se situe dans son inconscience, sa conscience le rend-il aveugle ? Pourquoi ce message partant de son inconscience n’est-il pas arrivé à sa conscience, alors ? Je vous réponds simplement que son habit est resté dans son inconscience parce que l’homme en question se croyait habillé. Que faut-il alors que vous pensiez de cette petite histoire dont je vous narre la plus confidentielle intrigue ? Je vous en délivre, enfin, l’épilogue : le vêtement n’est pas d’usage à être porté, si on le porte c’est que la décence nous dit de le porter. C’est alors qu’intervient la conscience et l’on doit comprendre que notre attitude doit tenir de ce que nous dit cette seule vérité dans la subjectivité la plus concrète, l’habit se porte sans le pouvoir d’analyse qu’il est sur nous ce vêtement fait de chair et d’os.
(Texte inédit de Pôl Kraly sur "Ce que la conscience à nous dire de l'homme sans costume")
15:16 Publié dans Littérature | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : kraly, conscience, inconscience, sans costume, philosophique, texte, inédit, écrivain, réflexion, comprendre, savoir
14/12/2013
Trois maîtres de vie... (18)
... En réalité, il n'existe aucune preuve définitive de leur existence historique. Celui que l'on appelle "le Bouddha", titre qui signifie "l'Eveillé", aurait vécu dans le nord de l'Inde il y a deux mille cinq cent ans. Le Grec Socrate aurait vécu à Athènes il y a environ deux mille trois cent ans. Jésus serait né en Palestine il y a un peu plus de deux mille ans. Leurs tombes ni leurs ossements n'ont été conservés. Il n'existe nulle monnaie, nulle trace archéologique qui leur soient contemporaines et qui puissent attester de leur existence ou valider les évènements de leur vie, comme ce fut le cas pour les grands monarques tels Alexandre le Grand ou Jules César. Ils n'ont eux-mêmes rien écrit, et les textes qui racontent leur vie sont principalement l'oeuvre de disciples et ont été rédigés quelques années après sa mort pour Socrate, quelques décennies pour Jésus, plusieurs siècles pour le Bouddha. En l'absence de traces archéologiques et de témoignages historiques variés et concordants, les historiens ne peuvent donc affirmer avec une certitude absolue l'existence de ces trois personnages. Pourtant, tous s'accordent à reconnaître comme "hautement probable" l'existence historique de Socrate, de Jésus et du Bouddha. Et cela, encore une fois, malgré l'absence de preuves tangibles de cette existence, de décrets signés de leur nom propre, de traces palpables qu'ils auraient directement léguées à la postérité. Pourquoi ?
(Extrait de "Socrate, Jésus, Bouddha" de Frédéric Lenoir - Ed. "Fayard" - 2009)
à suivre...
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05/12/2013
Le Miracle de la Pleine Conscience... (3)
Laver la vaisselle pour laver la vaisselle :
Il y a trente ans, alors que j'étais novice à la pagode. Tu Hieu, laver la vaisselle était une tâche difficilement plaisante. Lors de la saison de retraite, quand tous les moines revenaient au monastère, deux novices devaient cuisiner et faire la vaisselle parfois pour plus de cent moines. Il n'y avait pas de savon, seulement des cendres, de la balle de riz et de noix de coco, c'était tout. Nettoyer une telle pile de bols était une vraie corvée, surtout l'hiver lorsque l'eau était glacée. Il fallait alors faire chauffer une grosse marmite d'eau avant de pouvoir commencer à récurer.
De nos jours, faire la vaisselle est infiniment plus plaisant. Les cuisines sont équipées de savon liquide, de brosses à récurer et même d'eau chaude courante qui rendent les choses tellement plus agréables. N'importe qui peut la faire en un rien de temps, puis s'asseoir pour boire tranquillement une tasse de thé. Bien que je lave mes vêtements à la main, je conçois parfaitement l'utilité d'une machine à laver le linge, mais je trouve qu'une machine à laver la vaisselle, c'est aller un peu trop loin.
Lorsque nous lavons les assiettes, lavons les assiettes. C'est tout. Cela signifie que nous devons être complètement conscients du fait que nous sommes en train de laver des assiettes. A première vue, cela paraît un peu idiot. Pourquoi accorder autant d'importance à une chose aussi évidente ? Mais tout est précisément là, ainsi qu'il est expliqué dans le Satipatthana Sutta, le Soutra de l'Etablissement de la Conscience.
Le fait même que je sois là, debout près de l'évier, à laver ces assiettes, est tout simplement merveilleux. Je suis entièrement moi-même, en harmonie avec ma respiration, conscient de mon corps, de mes pensées et de mes gestes. Je suis fermement présent et non pas distrait, dispersé, semblable à une bouteille ballottée à la crête des vagues sur une mer agitée.
(Extrait de "Le Miracle de la Pleine Conscience " de Thich Nhat Hanh - Ed. "J'ai Lu" - 2008)
à suivre...
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03/12/2013
Poème du jour...
Nous
rien que nous
nos corps dans une seule
ombre
mariant nos désirs
épousant l'infini
captant chaque émotion
pour mieux ressentir
la lumière
la lumière
confiée à cette éternité
et se dire
le temps nous appartient.
(Poème de Franck Roy in "Je Toi Nous" - Ed. "Pays d'Herbes" - 1999)
05:00 Publié dans Littérature | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : amour, roy, poésie, poète, écrivain, nous, réflexions, comprendre, savoir, émotions, beau
27/11/2013
Poème du jour...
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09:03 Publié dans Littérature | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : poésie, détente, livre, poète, réflexion, comprendre, savoir, jardinier, rabindranath, amour
25/11/2013
Textes pour grandir... (1)
Pour signifier la grandeur de ta conscience, tu dois la développer dans son sens positif, cela est la seule possibilité qu’elle a de se mouvoir dans ton esprit. Il s’agit là de son pouvoir à être et à devenir. J’irais même à ce qu’elle aille au-delà de ses possibilités pour créer. Comme tout se rattache à notre intelligence, il serait urgent de saisir le sens de la positivité sur la négativité. Être dans le positivisme tu en ouvres le chemin de l’espoir, mais j’irais même au-delà du succès. Tu peux, aussi, renverser une idée négative pour qu’elle soit positive par son paradoxe et par son ridicule. Confectionner ces aspects de victoire de l’esprit authentique, sur la vacuité incertaine du négativisme, est la seule force probante d’une vérité qui se veut dans un premier temps temporelle. Il faut toujours suivre la bonne étoile, de celle qui nous conduit à comprendre. À chaque acte, il y a en retour une conséquence, savoir que cela peut servir l’autre dans le bonheur existant est en fait une preuve d’intelligence. J’en viens à dire : « Que du concret, la vie se forme en belle mariée, que le bonheur est dans le positif ».
(Extrait de "Chemins escarpés" de Pôl Kraly - Septembre 2013 - à paraître)
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