Allez les yeux invisibles vers le beau.

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17/11/2012

Astuces feng shui... (16)

Les couleurs vives compensent

l'épuisement de l'esprit yin :

 

philosophie, bien-être, réflexion, équilibre, feng shui, énergies, respiration de l'esprit,Si vous vous retrouvez à court d'énergie et être constamment fatigué ou léthargique, vous souffrez probablement d'un "épuisement de l'esprit yin" - votre yin est excessif. Pour y remédier, portez des couleurs yang intenses, rouge, jaune, blanc. Si vous ne compensez pas cet effet, vous risquez soit de tomber très malade ou, pire, d'être dépassé au travail. L'épuisement de l'esprit yin est un état Feng shui létal, qui prive d'énergie. Pour vous remettre sur vos pieds, placez un dragon Ru Yi à votre gauche au travail, qui stimulera vos niveaux de chi et vous fera sentir immédiatement mieux. 

 

(Extrait de "365 astuces feng shui" de Lillian Too - Guy Trédaniel Editeur - 2006)

10/11/2012

Petit traité de vie intérieure... (1)

Prologue

 

images-2.jpegExister est un fait, vivre est un art.

Nous n'avons pas choisi de vivre, mais il nous faut apprendre à vivre comme on apprend à jouer du piano, à cuisiner, à sculpter le bois ou la pierre. C'est le rôle de l'éducation. Pourtant, celle-ci se préoccupe de moins en moins de transmettre un savoir-être, au profit d'un savoir-faire. Elle vise davantage à nous permettre de faire face aux défis extérieurs de l'existence qu'aux défis intérieurs : comment être en paix avec soi-même et avec les autres ? Comment réagir face à la souffrance ? Comment nous connaître nous-mêmes et résoudre nos propres contradictions ? Comment acquérir une vraie liberté intérieure ? Comment aimer ? Comment finalement accéder à un bonheur vrai et durable, qui relève sans doute davantage de la qualité de relation à soi-même et aux autres que de la réussite sociale et de l'acquisition de biens matériels ?

 

(Extrait de "Petit traité de vie intérieure" de Frédéric Lenoir - Ed. "Plon" - 2012)

à suivre...

09/11/2012

Zénitude... (13)

Vous vous sentez fébrile :

 

images-2.jpegLe travail de la voix est l'un des moyens les plus rapides pour obtenir un bien-être physique complet.

- Debout, les jambes légèrement écartées, bien en appui sur vos pieds, bras ballants, fermez les yeux. Commencez une respiration lente, profonde et "circulaire" : il ne doit pas y avoir d'arrêt entre l'inspiration et l'expiration, ni entre l'expiration et l'inspiration.

- A l'expiration, sans forcer, chantez "A" en faisant le son qui, pour vous, sera le plus naturel possible, en détendant bien la mâchoire inférieure.

- Lorsque vous avez trouvé votre son, chantez chacune de ces syllabes à chaque expiration, pendant toute la durée de l'expiration : MA - ME - MI - MO - MU - ME - MOU.

Faites cette série 10 fois.

 

(Extrait de "Petit cahier d'exercices pour rester zen dans un monde agité" de Erik Pigani - Ed. "jouvence" - 2010) 

à suivre...

04/11/2012

La Lumière sur le sentier... (29)

images-2.jpegLes opérations des lois actuelles du Karma ne doivent pas être étudiées par le disciple avant que celui-ci soit arrivé au point où ces lois ne peuvent plus l'affecter. L'Initié a le droit de demander les secrets de la nature et de connaître les lois qui gouvernent la vie humaine. Il a conquis ce droit par le fait même de s'être libéré des règles qui gouvernent la vie de l'homme. Il est devenu un fragment reconnu de l'Elément divin et n'est plus affecté par ce qui est passager. Il obtient alors la connaissance des lois qui gouvernent les conditions temporaires. C'est pourquoi, toi qui désires comprendre les lois du Karma, tente premièrement de te libérer de ces lois, et tu ne pourras y arriver qu'en fixant ton attention sur ce que ces lois n'affectent pas.


(Extrait de "La lumière sur le sentier" de Mabel Collins - Ed. "Adyar" - Première édition 1887)

Suite & fin.

26/10/2012

La notion de conscience dans le bouddhisme...



24/10/2012

Trois maîtres de vie... (3)


Dire "oui" à la vie : 

 

images-2.jpegMais au-delà de cette diversité de points de vue, quelque chose s'entend chez nombre de sages de tous courants, auquel je souscris pleinement : le bonheur a surtout à voir avec un juste amour de soi et de la vie. Une vie que l'on accepte comme elle se présente, avec son lot de joie et de tristesse, en essayant de faire reculer le malheur autant que possible, mais sans fantasme écrasant de bonheur absolu. Une vie que l'on aime en commençant par s'accepter et s'aimer soi-même tel que l'on est, dans une "amitié" pour soi-même tel que l'a prôné Montaigne. Une vie qui doit être appréhendée avec souplesse, dans l'accompagnement de son mouvement permanent, à l'image de la respiration, comme le rappellent  les sagesses chinoises. Le meilleur moyen d'être le plus heureux possible, c'est de dire "oui" à la vie.

 

(Extrait de "Socrate, Jésus, Bouddha" de Frédéric Lenoir - Ed. "Fayard" - 2009)

à suivre...

12/10/2012

Trois maîtres de vie... (2)

Dire "oui" à la vie :

 

images.jpegEn lisant les grands sages et maîtres spirituels de l'humanité, on ressent toutefois une tension permanente, qui dépasse la diversité culturelle, entre deux conceptions du bonheur. D'un côté, le bonheur est recherché comme un état stable, définitif, absolu. C'est le paradis promis dans l'au-delà, dont on peut avoir un avant-goût ici-bas en menant une vie sainte. C'est aussi la quête des sages bouddhistes ou stoïciens, qui vise à acquérir un bonheur durable ici et maintenant, au-delà de toutes les souffrances de ce monde. Le paradoxe d'une telle quête, c'est qu'elle est théoriquement offerte à tous, mais qu'elle exige une ascèse et un renoncement aux plaisirs ordinaires que bien peu d'individus sont prêts à vivre. A l'autre extrême, le bonheur est présenté comme aléatoire, nécessairement provisoire et, tout compte fait, assez injuste puisqu'il dépend beaucoup du caractère de chacun : comme le rappelle Schopenhauer, à la suite d'Aristode, le bonheur réside dans l'accomplissement de notre potentiel et il existe de fait une inégalité radicale de tempérament de chaque individu. Le bonheur, comme le signifie son étymologie, doit donc à la chance : "bonne heure". Et le mot grec eudaimonia renvoie au fait d'avoir un bon daîmon.


(Extrait de "Socrate, Jésus, Bouddha" de Frédéric Lenoir - Ed. "Fayard" - 2009)

à suivre...