02/10/2012
Postface... Pascal Quignard
"Tout mythe explique une situation actuelle par le renversement d'une situation antérieure. Tout à coup quelque chose désarçonne l'âme dans le corps. Tout à coup un amour renverse le cours de notre vie. Tout à coup une mort imprévue fait basculer l'ordre du monde et surtout celui du passé car le temps est continûment neuf. Le temps est de plus en plus neuf. Il afflue sans cesse directement de l'origine. Il faut retraverser la détresse originaire autant de fois qu'on veut revivre."
09:57 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : désarçonnés, livre, littérature, quignard, postface, comprendre, réflexion, écrivain, roman, vie, mort, revivre
24/09/2012
Postface de "Un Temps pour une Conscience"...
La fusion des êtres, des végétaux, de la nature avec tout ce qui nous entoure crée des ondes positives et négatives pour la planète entière, le sort d’un arbre, les ondes qu’il dégage... Le fait que, nous aussi, les humains, nous avons une influence sur la végétation comme sur nous-mêmes, mais j’en parlerai plus loin (...). Il y a dans la personne humaine (mais non seulement), des êtres de demain pour des vies antérieures et futures pour une symbiose de l’état harmonieux de notre univers. L’agnostique que je suis n’a pas réponse à tout, mais il propose des voies dans la nuit, dans le prétendu néant. Car le néant nous réunit dans l’absolu et en nous-mêmes, dans l’accomplissement de nos intelligences, de nos consciences. Philosophe, de ma propre raison, de ma propre intelligence, de mon propre esprit végétatif, je veux dire en vérité prédisposer à cet état. Il nous faut consommer ensemble le meilleur pour que tout cela libère des pulsions vers cette alchimie spirituelle qui nous gouverne, à cela essayons de capter la connexion cérébrale de nos cerveaux en ébullition. Le travail des uns pourrait servir le travail des autres dans l’approche d’une acuité communicative que ce livre offre. On se doit de remettre le lecteur gentiment en place et en accord avec lui-même dans cette vie, où tout lui échappe, lui donner des liens avec les autres, avec ce qui nous entoure, lui faire prendre conscience, comme le dit Sartre : « Toute conscience est conscience de quelque chose ». Reste à faire une vie en harmonie ; un corps en harmonie ; un esprit en harmonie avec les choses. À cela, l’assurance d’un monde plus vivant saura être à notre portée et nous fera comprendre le Cosmos et ce que nous sommes.
(Postface de "Un temps pour une conscience" de Pôl Kraly - Ed. "Pays d'Herbes" - 2012)
11:46 Publié dans Littérature | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : essai, réflexion, kraly, avenir, comprendre, monde nouveau, écrivain, regards, éveilleurs, conscience
14/09/2012
Rentrée littéraire... Pascal Quignard
08:53 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : littérature, écrivain, talent, désarçonnés, quignard, réflexion, rentrée
15/08/2012
Chemins escarpés... (7)
J’erre dans le cycle des existences, et d’une violente colère naît l’écoute d’un corps de plénitude et de vie. La voie se veut royale et distante, être dans cette voie te rapproche de l’essentiel de ce qui demeure en toi comme une force vitale. Ta présence intrinsèque et comme une présence éveillée qui fait naître au-dessus de certaines têtes la lumière de l’âme. Corps d’Eveillés au sein de l’espace lumineux et éternel. Une porte s’ouvre vers la dévotion de l’esprit, abandonne cette propension, ne t’y attache pas, n’y adhère pas, soit la confiance de l’éclatante splendeur qu’elle suscite. Je t’invite à suivre la lumière jaune de l’ampoule qui conjointement épouse ton âme propre à l’âme de ce monde. Les représentations mentales de ton cerveau sont exposées à la détermination de l’esprit, et vers ce fleuve… Tu dois aller pour te ressourcer, pour t’abreuver… Un langage universel est à naître sous l’impulsion authentique de ton cœur et ton esprit, prépare-toi à divulguer ce langage, de toute façon il viendra naturellement à la parole simultanément. À ce moment-là, sous l’emprise d’une force réelle, l’universel langage éveillera pleinement ton esprit à une plénitude sereine. Les visions pures et les sagesses se feront semblables à ce que tu es, un roi !
(Poème de Pôl kraly - inédit extrait de "Chemins escarpés" - à paraître)
05:00 Publié dans Littérature | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : poète, prose, réflexion, écrivain, inédit, chemins
03/08/2012
Eveil à la conscience...
Consciences éveillez-vous !
06:53 Publié dans Philosophie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : consciences, éveil, philosophie, poète, écrivain, kraly, espérance, avenir
12/07/2012
Poème du jour...
Ici, il ouvre sa bouche blanche. Là, il se défend sur toute la ligne, avec ces arbres retranchés, ces êtres noirs. Là encore, il prend la forme lourde et chaude de la fatigue, comme des membres de terre écorchés par une charrue.
Je m'arrête au bord de mon souffle, comme d'une porte, pour écouter son cri.
Ici, dehors, il y a sur nous une main, un océan lourd ert froid, comme si on accompagnait les pierres.
(Poème de André du Bouchet - " Le Moteur Blanc" -Ed. Galimard - 1961)
11:09 Publié dans Littérature | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : poésie, poète, du bouchet, écrivain, littérature, sensibilité, émotion, gallimard, recueil
06/07/2012
Un Temps pour une Conscience... (9)
La mort du corps charnel...
La mort du corps charnel intervient lors de la non-utilité de l’être dans l’instant, dans ses pensées et ses actes ; je m’explique… L’humain vient à disparaître lorsque celui-ci n’est plus en concordance avec ce monde, lorsque son âme a saisi toute la somme des expériences sur cette Terre dans ses capacités. Son esprit a alors amassé tous les vécus de ses vies antérieures et fera de lui un être en symbiose dans la future vie qui l’attend. Ainsi il rentre dans ce que j’appelle « L’état végétatif » — à voir dans le chapitre à suivre — qui est un état où son esprit végète dans les courants des pensées les plus diverses, elles se remplissent (ses pensées) de connaissances. La mort n’est ici que transitoire et se persuade qu’elle est le trait d’union (élément nécessaire et bref) ; car la mort existe, mais n’est que purement le lien vers une nouvelle vie. Je veux dire par là que pendant que nous sommes dans cette « mort », l’âme poursuit son chemin pour un état végétatif, lui aussi transitoire — je m’expliquerai dans le chapitre à suivre —. Le corps ; notre corps de cette vie présente se disloque et devient cendre et poussière. Le droit à vivre une nouvelle vie dans un autre corps se conçoit dans l’univers et le cosmos. Ce corps fait de particules et molécules interagit et fusionne avec les éléments réceptifs des vies précédentes. Notre future vie est déjà bien programmée, mais elle commence à notre naissance, elle saura être le fruit de ce que nous avons accompli en bien et mal dans les vies précédentes. Je parlerai — dans l’avant-dernier chapitre (vers l’accomplissement) de son rôle et de la force que ces vies nous apportent —. La renaissance dans un autre corps a pour le but de nous emplir d’une autre enveloppe corporelle, vêtue d’une âme nouvelle plus riche et plus saine. Je crois à ce que je vous dis, fruit de lectures sur le sujet, vision propre et personnelle. La vie étant le réservoir à cette conjugaison d’une nouvelle âme et d’un nouveau corps pour des pensées tout inédites à venir. Pensées de toute une vie qui viendront nourrir les autres pensées des vies antérieures. L’être n’aura plus qu’à suivre son propre destin qu’il agrémentera de lui-même, de ses expériences et problèmes que la vie lui mettra en chemin. Mais il s’en sortira toujours plus fort, même dans la difficulté. Ceux dont le chemin est plus facile avec moins d’embûches ne sont que les êtres qui dans les vies antérieures ont su franchir les obstacles. De toute façon, nous nous enrichissons de nos échecs et de nos capacités à nous mouvoir devant les obstacles, je crois fortement que les « heureux » d’une vie le méritent, car ils sont enrichis des autres vies. Nous ne sommes pas tous égaux en face de notre destin, ceux qui se persuadent du contraire ont tort, car nous façonnons chacun le destin de nos vies. L’univers est le complément, le refuge de nos âmes, dans ce lieu, elles s’alimentent, la couleur de leur enveloppe se recompose de nouvelles couleurs dont elles distillent un parfum nouveau qui s’échappe à travers le cosmos. C’est pour cela que chaque élément qui le constitue rentre en symbiose avec toutes les particules de ce vaste monde, et nous lie par ce que j’appelle l’esprit.
(Extrait de "Un temps pour une conscience" de Franck Roy alias Pôl Kraly - Vient de paraître aux Ed. "Pays d'Herbes" - 2012)
02:24 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : littérature, écrivain, kraly, essai, temps, conscience, vie, mort, espérance, réflexion, comprendre, analyser