15/06/2013
Poème du jour...
Afin qu'on ne doute point de notre joie qu'en ce Jour soit née
Celle dont la vie est tenue par nous pour une noble fête
Sans date, comme la Conscience ou l'Immortalité -
(Poème de Emily Dickinson - extrait de "Quatrains" Poésie/Gallimard - 2011)
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14/06/2013
La Petite note de Franck... (53)
Le monde capitaliste est en train de s’écrouler, l’émergence d’un Nouveau Monde apparaît, pour un monde humaniste et solidaire. La Grèce et la Turquie éclatent, les Printemps arabes sont dans la mouvance d’une mutation qui se fera par les réseaux sociaux et malheureusement aussi par les armes, tous les pays du Sud en ont ras le bol de ses politiciens qui sont, pour la plupart, corrompus (je ne dis pas que tous sont des voyous, ne tombons pas dans un amalgame dangereux). Le monde de la finance quant à lui est à revoir ; les banques ne cherchent que leur intérêt. Et le petit citoyen que je suis, pense, à un revenu universel pour tous !… Il pense, aussi, à un changement radical des pensées et des modes de vies actuelles. Être dans le positif et croire en l’avenir j’y crois... et je le verrais bien cet avenir avec les jeunes. Confidence pour confidence (titre d’une chanson), je pense sincèrement que les jeunes vivront mieux que leurs parents. Vous vous demandez comment : par les nouvelles technologies, les nouveaux métiers de demain (qui seront plus captivant) ; par l’informatique et les réseaux sociaux qui font bouger les sociétés de ce monde et font que les mentalités changent, que les pensées deviennent plus positives que négatives. D’ailleurs, ce sont les pensées négatives qui font avancer les pensées positives pour le bien de cette planète. Les consciences des peuples font leur travail de sape pour le bien de l’humanité ! Croyez-moi… Il faut créer un nouveau paradigme pour une planète plus vivable.
(Rendez-vous pour une nouvelle... note de Franck)
à suivre....
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13/06/2013
Mission 404 : Internet doit rester vivant...
05:00 Publié dans Humour | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : internet, orangina, humouristique, pub, rires, détente, société, danger, réflexion, comprendre, savoir, intelligence
12/06/2013
Chemins escarpés... (9)
De quelles natures sont faits notre organe amoureux et notre cerveau ? Je réponds de quatre lumières colorées qui se forment de quatre éléments bien distincts. Quels sont-ils : Le Coeur (on peut lui attribuer la couleur que l’on veut) ; l’esprit (d’une couleur lumineuse comme le rouge ou le jaune intense) ; l’âme (couleur naturellement blanche) ; la Conscience (qui peut être de toutes les couleurs, mais personnellement, pour moi, c’est la couleur : Grenat). Les miroirs de l’existence se superposent à ces couleurs d’une façon magique et essentielle, elles se reflètent dans la personne à travers son aura et ses yeux. Mais c’est par la simple expression que dégage son sourire que la présence éveillée de son âme apparaît. Toutes les expressions sont dans le sourire qui est le message providentiel de ces quatre couleurs ou de ces quatre éléments. La réponse de celui qui reçoit le sourire s’enregistre dans son cerveau qui se régénère ; toutes les ambiguïtés qui circulent dans sa tête voyagent à travers son sang, les choses positives ou négatives reçues par ce sourire. Spontanément, toutes les énergies se concentrent dans son corps et font battre les pulsations de son Coeur en harmonie avec son esprit et son âme. Seule la conscience le prédipose à ses états d’âme.
(Poème inédit de Franck ROY - à paraître in "Chemins escarpés")
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11/06/2013
Pour un revenu universel...
Au delà des clivages sociaux, des corporations, des écoles de pensée, nous, signataires du présent appel, voulons contribuer à provoquer dès maintenant une transformation réaliste et constructive de la société : celle du revenu de vie.
Qu’est-ce que le revenu de vie?
L’idée est soutenue de longue date par de nombreuses personnalités, de tous horizons politiques, de toutes confessions et de toutes nationalités. Elle est connue sous des appellations diverses : allocation universelle, revenu d’existence, revenu citoyen, revenu universel, revenu social garanti, dividende universel, revenu de base, etc. (cf. Wikipedia)
Le revenu de vie ne doit pas être confondu avec le RMI, le RSA et autres allocations attribuées de manière conditionnelle. Le revenu de vie, lui, est automatique, inconditionnel et inaliénable. Il concerne tout le monde, riches ou pauvres. Il est attribué à chaque individu, de la naissance à la mort. Son montant est suffisant pour garantir à chacun une existence décente – quoi qu’il arrive -. Il est cumulable avec les autres revenus (salariés ou non). Il ne peut être saisi aux plus modestes, mais il entre dans l’assiette d’imposition des plus aisés.
Le revenu de vie ne rémunère pas l’emploi, mais le travail au sens large
Ni l’emploi salarié, ni les revenus du capital, ni les aides sociales classiques ne peuvent prétendre désormais garantir le droit à l’existence de chacun tel que défini à l’article III de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme. C’est un fait : en raison de l’informatisation et de l’automatisation de la production, le plein-emploi ne peut plus être atteint. Par contre le travail est toujours d’actualité, et sa tâche est immense.
Il est plus que jamais nécessaire que chacun puisse travailler, d’abord à prendre soin de lui-même, de ses parents, de ses enfants et de ses proches, travailler ensuite pour contribuer aux biens communs accessibles à tous (connaissances, arts, culture, logiciels, etc.), travailler enfin à inventer et à mettre en oeuvre à toutes les échelles les moyens qui permettront de léguer une planète vivable aux générations futures.
Loin d’être un encouragement à la paresse, nous affirmons que le revenu de vie permettra à chacun, dans la mesure de ses capacités et de son désir, de s’engager de manière sereine, libre et responsable, dans des travaux essentiels pour l’intérêt général que les emplois traditionnels n’ont pas vocation à assumer.
Comment financer le revenu de vie ?
Il s’agit précisément d’engager pour le financement du revenu de vie tous les moyens alloués à l’entretien de la chimère du plein emploi. L’institution du revenu de vie implique pour les pays qui le mettront en place de revoir leur système fiscal et social, et probablement de reprendre un certain niveau de contrôle sur la création monétaire qu’ils avaient abandonné aux banques. Les calculs des économistes qui ont réfléchi en profondeur à cette question montrent que cela est parfaitement possible (cf. simulations).
Il n’est nul besoin d’attendre quelque cataclysme pour envisager cette profonde transformation. Cela peut se faire progressivement et sans dommage, à condition qu’il existe une prise de conscience et un engagement suffisamment massif. C’est à cet engagement que nous, signataires de cet appel, voulons amener.
Qu’avons-nous à perdre ?
L’illusion d’un emploi salarié et dûment rémunéré pour tous s’est volatilisé avec la crise. Avec cette disparition, va s’évanouir aussi pour beaucoup le réflexe de se définir en fonction de son activité professionnelle. Il ne faut pas le cacher, l’institution du revenu de vie amènera probablement à s’interroger plus encore, sur notre identité, notre rôle dans la société, notre aspiration à procréer en regard des problèmes de démographie, et sur la nature de ce que nous voulons transmettre à nos enfants.
L’institution du revenu de vie ne va pas sans mises en cause profondes de nombreuses habitudes. Nous pensons néanmoins que cette mutation des consciences et des comportements peut s’effectuer sans violence, et dans un esprit d’entr’aide mutuelle afin que se développe une nouvelle culture de la responsabilité.
Qu’avons-nous à gagner ?
L’institution du revenu de vie remet en cause le “travail” tel qu’il est compris usuellement, à savoir comme base du capital et des rapports sociaux. On le sait, la réduction du “travail” au seul “emploi” provoque automatiquement l’exclusion de ceux qui en sont privés, la peur du chômage chez les salariés, et le contrôle social des assistés. Cette confusion entre “travail” et “emploi” a un coût énorme pour la société aussi bien financièrement que socialement. Les pathologies sociales et psychiques qu’elle entraîne ne sont tout simplement plus soutenables.
Nous n’attendons pas du revenu de vie qu’il règle tous les maux, mais nous affirmons qu’il est absolument nécessaire pour surmonter la crise de confiance actuelle en réduisant le niveau intolérable, de pauvreté, d’exclusion et de peur.
Action
Au moment où les médias annoncent quotidiennement l’imminence de catastrophes provoquées par l’effondrement des économies, le réchauffement climatique ou les pandémies, nous affirmons qu’il existe un moyen efficace pour faire face collectivement et pour mobiliser les forces vives: c’est la voie du revenu de vie.
Nous citoyens signataires de cet appel, demandons, aux politiques de tous bords, aux syndicats et aux experts, en France et partout dans le monde, de prendre en compte cette voie dans les délais les plus brefs et d’engager avec nous cette grande transformation.
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05:00 Publié dans société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : revenu, universel, vivre, liberté, bien-être, raisonnable, communauté, fraternité, solidarité, intelligent, action
10/06/2013
Astuces Feng shui... (26)
Stimulez votre confiance avec du rouge :
Le rouge est la meilleure couleur à porter si votre confiance a besoin d'être stimulée ou si vous travaillez comme commercial, car il est une source complémentaire d'énergie pour conclure des ventes. Le rouge n'est pas simplement la couleur de l'élément feu, il suggère aussi une personne solide et assurée. Particulièrement efficace en hiver, saison yin obscure, à laquelle son essence yang confère un excellent équilibre.
(Extrait de "365 astuces Feng shui" de Lillian Too - Guy Trédaniel Editeur - 2006)
à suivre...
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09/06/2013
"Ces affreuses années"...(2)
2. Gains de productivité et structure de la population active
Le monde agricole est en fort déclin numérique : le secteur primaire représentait plus de 25 % des actifs en 1958, il est à moins de 5 % aujourd'hui. De plus, il s'est profondément transformé : les « paysans », au mode de vie encore traditionnel, ont cédé la place aux « agriculteurs », bien plus ouverts au monde et à la modernité, et dont le mode de vie se distingue de moins en moins de celui des autres Français.La proportion d'ouvriers est demeurée stable (un peu moins de 30 %), mais les ouvriers d'aujourd'hui ne ressemblent guère à ceux de 1958 : leurs tâches sont moins pénibles et des pans entiers du monde ouvrier traditionnel comme la mine ont disparu (la dernière mine française a fermé en 2004), au profit d'activités dont certaines se rapprochent de celles des « cols blancs ».
En revanche, le secteur tertiaire a explosé : il rassemble la majorité absolue des actifs depuis les années 1970 ; il est aussi de plus en plus diversifié. Cette évolution s'est accompagnée d'une nette progression de l'emploi des femmes. La croissance de l'emploi féminin compense la diminution de la population active qu'impliquent l'allongement des études et l'abaissement de l'âge de la retraite (passé à 60 ans en 1982 mais relevé depuis quelques années).
3. L'évolution du chômage et de la précarité de l'emploi
Il est apparu au cours des années 1970 un chômage massif qui touche depuis le début des années 1980 environ 10 % de la population. Beaucoup de chômeurs bénéficient de la protection sociale ; en revanche, ceux qui n'y ont pas ou plus droit, notamment les chômeurs de longue durée, connaissent une nouvelle pauvreté, intolérable dans une société riche. Dans l'ensemble, les inégalités se creusent, la précarité progresse. Des régions entières sont sinistrées, comme par exemple la Lorraine, ancien bastion industriel.Contrairement à celles d'avant la crise, les générations actuelles ne sont pas sûres que leurs enfants vivront mieux qu'elles. Une nouvelle pauvreté apparaît en France, d'où la mise en place de dispositifs (RMI puis RSA) montrant les difficultés de l'État à régler la situation. C'est la fin de l'État providence.
Transition
Les Trente Glorieuses (1945-1973) ont été une période d'essor économique. Le milieu des années 1970 marque donc une rupture majeure, avec la chute de la croissance, la fin des certitudes économiques et la persistance d'un chômage élevé contre lequel toutes les mesures ont échoué. Toutefois, certains secteurs d'activité ont connu une ascension fulgurante (informatique, téléphonie mobile, services aux entreprises, immobilier). On ne peut donc pas parler de crise économique ou de récession continue, mais seulement de croissance ralentie. Ce ralentisement a-t-il interrompu la mutation des modes de vie ? La société ressort-elle des bouleversements socio-économiques plus unifiée ou au contraire fragilisée ? A-t-elle connu l'uniformisation ou la fracture ?© Rue des écoles
à suivre...
05:00 Publié dans société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : monde, économie, années 50-60, société, vie, malaise, réflexion, comprendre, savoir, intelligences, crise