 Un arbre unique et solitaire fait offrande de ses ramures au ciel incandescent.
Un arbre unique et solitaire fait offrande de ses ramures au ciel incandescent.
Nul ne sait par quel stratagème il a, dès son enfance, échappé à la main prédatrice de l’homme armé de fer, à la dent avide de l’animal famélique, à la rareté de l’eau et au dard du soleil plus que nulle part au sommet de son ardeur.
Alentour est le désert infini submergé de silence séculaire parfois troublé par la rumeur lointaine de troupeaux évanescents allant sur les dunes et les immenses plateaux ensemencés de rocailles.
Ici, l’espace et le temps sont confondus l’un par l’autre tenus, et n’ont d’autre mesure que la démesure de l’éternité. Dans cette vastitude lunaire librement parcourue de bise en février ou de vent en ouragan de sable, rugissant d’une fureur dont on ne sait la raison, l’arbre demeure en patience témoin superbe et pathétique d’un temps révolu.
En m’approchant de la colline où il se tient en vigile de silence, il grandit à mes yeux. Il s’anime à mes oreilles et la main qui en caresse le tronc me dit sa puissance.
Des battements sourds se font entendre. Je ne sais d’abord leur provenance, ils sont de mon propre cœur.
Car ici la rareté de la vie donne à la vie sa vraie mesure. Et en contemplant cet être magnifique drapé des secrets d’une longue histoire qu’il est seul à pouvoir conter, j’imagine ses innombrables compagnons que la terre nourrissait pour en être mieux nourrie.
Et dans cette réciprocité vitale s’exprimait toute l’intelligence de la vie car l’arbre n’est pas seulement racine, tronc, branche et feuillage, il est un pont vertical unissant les forces telluriques à celles du cosmos.
Il est prière incessante adressée à l’univers pour attirer tous les bienfaits de la vie sur la terre et les humains et sur toute créature de la création.
Tuer les arbres hors des nécessités d’une vie simple, c’est commettre un grave préjudice à la vie. C’est un délit passible des plus grandes tristesses. Les arbres disparus, il ne restera plus que vide et solitude et désert jusque dans les cœurs.

 
 






 
  
  
  
  
 


 Le rapport du GIEC se montre alarmiste (voir ma page d'hier) pour les années à venir, c’est maintenant qu’il nous faut réagir à l’échelle planétaire. Il faut écouter la parole des experts, mais non seulement tous ceux qui œuvrent pour un changement radical de paradigme. En effet, ouvrons nos consciences, alors qu’il est encore temps, arrêtons ce gaspillage de nos dernières ressources. Je dis : halte au déferlement abusif, dont « les dévoreurs » de nos vies et des vies à venir exécutent dans les pays. Ce que j’appelle « les dévoreurs », ce sont les multinationales, les grosses industries, les gros, capitalistes du Cac 40 et autres pourvoyeurs qui détruisent notre si jolie planète, il nous faut savoir balayer à notre porte aussi. Il est temps de repenser la société, laissons les chercheurs découvrir des moyens plus sains, plus écologiques, plus innovateurs pour ne pas détruire ce qu’il reste de notre planète, donnons les moyens à ces chercheurs de faire évoluer ce monde dans le bon sens. On n’a pas le droit de sacrifier les générations de demain qui demande qu’à vivre, il est temps de voir émerger une autre génération de jeunes gens un peu partout pour faire changer les choses. Puisque les vieilles générations (trop égoïstes) gaspillent toutes les énergies possibles. Je souhaiterais voir
Le rapport du GIEC se montre alarmiste (voir ma page d'hier) pour les années à venir, c’est maintenant qu’il nous faut réagir à l’échelle planétaire. Il faut écouter la parole des experts, mais non seulement tous ceux qui œuvrent pour un changement radical de paradigme. En effet, ouvrons nos consciences, alors qu’il est encore temps, arrêtons ce gaspillage de nos dernières ressources. Je dis : halte au déferlement abusif, dont « les dévoreurs » de nos vies et des vies à venir exécutent dans les pays. Ce que j’appelle « les dévoreurs », ce sont les multinationales, les grosses industries, les gros, capitalistes du Cac 40 et autres pourvoyeurs qui détruisent notre si jolie planète, il nous faut savoir balayer à notre porte aussi. Il est temps de repenser la société, laissons les chercheurs découvrir des moyens plus sains, plus écologiques, plus innovateurs pour ne pas détruire ce qu’il reste de notre planète, donnons les moyens à ces chercheurs de faire évoluer ce monde dans le bon sens. On n’a pas le droit de sacrifier les générations de demain qui demande qu’à vivre, il est temps de voir émerger une autre génération de jeunes gens un peu partout pour faire changer les choses. Puisque les vieilles générations (trop égoïstes) gaspillent toutes les énergies possibles. Je souhaiterais voir 