Allez les yeux invisibles vers le beau.

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03/07/2013

La Petite note de Franck... (54)

Unknown.jpegSuis-je un optimiste béat, un doux rêveur (comme le pensent mes amis) pour résumer un utopiste ? Je ne pense pas être la seule personne au monde qui imagine que ça bouge positivement à travers la planète. Je vois chaque jour des initiatives heureuses et conscientes à chaque coin du globe. Tenez, par exemple, l’écologie fait un grand « boum » dans les têtes et je vois, moi qui regarde ou écoute les reportages ou documentaires, une prise de conscience individuelle ou collective de la population pour améliorer le sort de la planète. Même des actes de solidarité ou des effets de bon sens que des gens apportent au quotidien pour une aide salutaire. Ou d’autres initiatives pour parfaire un bien-être immédiat pour que cela aille mieux pour nous tous. Les grincheux ne cesseront pas de nous dire que tout va mal, que ce monde va à sa perte, mais ne voient pas ou ne cherchent pas à voir (ce qui est plus grave) ces choses positives. Non, je ne suis pas pessimiste pour notre avenir et arrêtons de voir le mal partout. Mais il est sûr qu’il y a beaucoup à faire pour que ça change radicalement, laissons le temps au temps pour nous permettre de vivre mieux. En tout cas, la conscience humaine est en marche pour ce changement-là ! Utopiste même dans mes écrits, je veux être, je suis l’auteur d’un roman (publié il y a 5 ans à compte d’auteur) qui s’intitule « Ce que doivent être les choses » où je raconte le monde en 2081, un monde fait de conscience, de bon sens et d’intelligence dont les rapports humains se dévoilent au fil du roman et nous font comprendre les connexions entre les êtres aussi bien des humains, des végétaux et même de toutes les intelligences du cosmos  ! Je vous invite à lire ce beau roman (que j’ai envoyé aux Maisons d’Édition) sur mon blog, (un petit rappel pour une lecture judicieuse) oublier les cinq premières pages et commencer l’ouvrage au chapitre « Éveil à la nourriture des choses »…


Demain, est devant nous, il suffit d’y croire !


(Rendez-vous pour une nouvelle... note de Franck)


à suivre...

30/06/2013

"Ces affreuses années"...(4)

Unknown.jpegIII. L'évolution des croyances, des pratiques culturelles et des mentalités

1. L'évolution des croyances
En 1972, 87 % des Français se disaient catholiques contre 64  % aujourd'hui. La pratique religieuse s'est effondrée : à l'heure actuelle moins de 5 % des Français vont à la messe. La culture religieuse recule et les recommandations de l'Église en matière sexuelle, notamment, ne sont plus guère suivies.
Par ailleurs, l'immigration a amené un autre changement radical avec l'apparition d'une communauté musulmane importante. L'islam est aujourd'hui la deuxième religion de France. Il demeure cependant limité, pour l'essentiel, aux milieux issus de l'immigration.
2. La montée de la culture de masse : vers la démocratisation et la diversification ?
Les Français ont plus de loisirs aujourd'hui qu'en 1958, grâce à l'allongement des vacances, à une plus grande longévité et donc du temps passé à la retraite, grâce enfin à la diminution globale du temps de travail (40 heures par semaine en 1945, 39 heures en 1982, 35 heures en 1998 mais remises en cause depuis 2002 par les incitations fiscales aux heures supplémentaires). Ainsi, les loisirs, avec l'industrie touristique, sont devenus l'un des secteurs les plus actifs de l'économie : les Français partent de plus en plus, et de plus en plus loin. Les mass medias et les industries de la musique se sont aussi considérablement développés et ont acquis une prospérité sans précédent.
Entre 1945 et 1975, la durée moyenne des études s'étant elle ausi allongée, le nombre d'adolescents scolarisés de plus de 14 ans passe de quatre cent cinquante mille à quatre millions. Grâce à un accès plus facile aux études supérieures, l'école joue pleinement son rôle d'ascenseur social. Cela revient à dire que les enfants vivent mieux que leurs parents et que les enfants d'ouvriers ne sont plus nécessairement eux-mêmes ouvriers comme autrefois. Le développement des moyens matériels et l'allongement de la scolarisation ont finalement rendu la culture accessible à un plus grand nombre de personnes et créé une catégorie nouvelle de consommateurs de biens culturels. Ce phénomène émerge dans les années 1960 lorsque les « baby-boomers » arrivent à l'adolescence, et se généralise par la suite. 
L'État se dote d'une politique culturelle – dès 1958, un ministère des Affaires culturelles confié à André Malraux est créé – et impulse de grands projets liés à la Culture. Ce sont les « grands chantiers » de la Ve République : le Centre Beaubourg, le Grand Louvre, la BNF, le musée des Arts premiers.

© Rue des Ecoles


à suivre...

19/06/2013

"Ces affreuses années"...(3)

II. L'évolution de la population et des modes de vie

société,50-60,évolution,démographie,population,modes de vie,facteurs,exode rural,croissance urbaine,réflexions,comprendre,savoir,philosophie1. L'évolution démographique et ses facteurs
La population a augmenté de 17 millions entre 1954 et le début du xxie siècle, soit davantage qu'entre 1700 et 1950. De 1940 à 1965, la natalité a augmenté, c'est ce qu'on appelle le « baby-boom », puis celle-ci a diminué pour se stabiliser depuis quelques années à un niveau qui assure à peine le renouvellement des générations.
L'immigration explique en partie l'augmentation de la population : un Français sur quatre a aujourd'hui au moins un grand-parent d'origine étrangère. Encouragée pendant la période de reconstruction et les Trente Glorieuses, l'immigration est toutefois stoppée lorsque survient la crise économique. Il s'agit de réduire le nombre de travailleurs étrangers en interdisant leur entrée et en incitant ceux qui sont déjà présents à repartir dans leur pays d'origine. Les filières clandestines subsistent mais le regroupement familial est de plus en plus limité, tout comme l'accueil des réfugiés.
L'espérance de vie a elle aussi nettement progressé : la population, après avoir rajeuni à l'époque du baby-boom, compte désormais une proportion de plus en plus importante de personnes âgées. La différence entre l'espérance de vie des hommes et celle des femmes se creuse, au profit de ces dernières.
2. Exode rural et croissance urbaine
Du fait des changements dans l'agriculture, la France connaît une accélération de l'exode rural et une urbanisation rapide, caractérisée par la croissance des banlieues. L'exode rural atteint son apogée dans les années 1950. Les transformations du territoire français sont telles que le sociologue Henri Mendras évoque la « fin des paysans », c'est-à-dire la fin d'un mode de vie. Depuis les années 1980 cependant, les campagnes ont cessé de se vider, accueillant de plus en plus de non-agriculteurs.
La France s'est nettement urbanisée : à peine majoritaires en 1945, les villes rassemblent désormais 77 % de la population. Au cours des Trente Glorieuses on assiste à l'émergence de la « grande distribution » qui permet d'écouler la production et les biens de consommation dans les grands centres urbains. En 1963, Carrefour ouvre à Sainte-Geneviève-des-Bois, dans la banlieue parisienne, le premier hypermarché de France et d'Europe. Parallèlement, certaines banlieues concentrent les populations en difficulté et il s'y déroule de violentes émeutes, comme en novembre 2005.

© Rue des Ecoles

à suivre...

 

14/06/2013

La Petite note de Franck... (53)


images-1.jpegLe monde capitaliste est en train de s’écrouler, l’émergence d’un Nouveau Monde apparaît,  pour un monde humaniste et solidaire. La Grèce et la Turquie éclatent, les Printemps arabes sont dans la mouvance d’une mutation qui se fera par les réseaux sociaux et malheureusement aussi par les armes, tous les pays du Sud en ont ras le bol de ses politiciens qui sont, 
pour la plupart, corrompus (je ne dis pas que tous sont des voyous, ne tombons pas dans un amalgame dangereux). Le monde de la finance quant à lui est à revoir  ; les banques ne cherchent que leur intérêt. Et le petit citoyen que je suis, pense, à un revenu universel pour tous !…  Il pense, aussi, à un changement radical des pensées et des modes de vies actuelles. Être dans le positif et croire en l’avenir j’y crois... et je le verrais bien cet avenir avec les jeunes. Confidence pour confidence (titre d’une chanson), je pense sincèrement que les jeunes vivront mieux que leurs parents. Vous vous demandez comment  : par les nouvelles technologies, les nouveaux métiers de demain (qui seront plus captivant) ;  par l’informatique et les réseaux sociaux qui font bouger les sociétés de ce monde et font que les mentalités changent, que les pensées deviennent plus positives que négatives. D’ailleurs, ce sont les pensées négatives qui font avancer les pensées positives pour le bien de cette planète. Les consciences des peuples font leur travail de sape pour le bien de l’humanité ! Croyez-moi… Il faut créer un nouveau paradigme pour une planète plus vivable.



(Rendez-vous pour une nouvelle... note de Franck)


à suivre....

13/06/2013

Mission 404 : Internet doit rester vivant...

09/06/2013

"Ces affreuses années"...(2)


images-1.jpeg2. Gains de productivité et structure de la population active
Le monde agricole est en fort déclin numérique : le secteur primaire représentait plus de 25 % des actifs en 1958, il est à moins de 5 % aujourd'hui. De plus, il s'est profondément transformé : les « paysans », au mode de vie encore traditionnel, ont cédé la place aux « agriculteurs », bien plus ouverts au monde et à la modernité, et dont le mode de vie se distingue de moins en moins de celui des autres Français.
La proportion d'ouvriers est demeurée stable (un peu moins de 30 %), mais les ouvriers d'aujourd'hui ne ressemblent guère à ceux de 1958 : leurs tâches sont moins pénibles et des pans entiers du monde ouvrier traditionnel comme la mine ont disparu (la dernière mine française a fermé en 2004), au profit d'activités dont certaines se rapprochent de celles des « cols blancs ».
En revanche, le secteur tertiaire a explosé : il rassemble la majorité absolue des actifs depuis les années 1970 ; il est aussi de plus en plus diversifié. Cette évolution s'est accompagnée d'une nette progression de l'emploi des femmes. La croissance de l'emploi féminin compense la diminution de la population active qu'impliquent l'allongement des études et l'abaissement de l'âge de la retraite (passé à 60 ans en 1982 mais relevé depuis quelques années).
3. L'évolution du chômage et de la précarité de l'emploi
Il est apparu au cours des années 1970 un chômage massif qui touche depuis le début des années 1980 environ 10 % de la population. Beaucoup de chômeurs bénéficient de la protection sociale ; en revanche, ceux qui n'y ont pas ou plus droit, notamment les chômeurs de longue durée, connaissent une nouvelle pauvreté, intolérable dans une société riche. Dans l'ensemble, les inégalités se creusent, la précarité progresse. Des régions entières sont sinistrées, comme par exemple la Lorraine, ancien bastion industriel.
Contrairement à celles d'avant la crise, les générations actuelles ne sont pas sûres que leurs enfants vivront mieux qu'elles. Une nouvelle pauvreté apparaît en France, d'où la mise en place de dispositifs (RMI puis RSA) montrant les difficultés de l'État à régler la situation. C'est la fin de l'État providence.
Transition
Les Trente Glorieuses (1945-1973) ont été une période d'essor économique. Le milieu des années 1970 marque donc une rupture majeure, avec la chute de la croissance, la fin des certitudes économiques et la persistance d'un chômage élevé contre lequel toutes les mesures ont échoué. Toutefois, certains secteurs d'activité ont connu une ascension fulgurante (informatique, téléphonie mobile, services aux entreprises, immobilier). On ne peut donc pas parler de crise économique ou de récession continue, mais seulement de croissance ralentie. Ce ralentisement a-t-il interrompu la mutation des modes de vie ? La société ressort-elle des bouleversements socio-économiques plus unifiée ou au contraire fragilisée ? A-t-elle connu l'uniformisation ou la fracture ?

© Rue des écoles


à suivre...

07/06/2013

L'histoire du tout...